15 AOÛT
Le triomphe de Marie est aujourd’hui si grand entre les chrétiens, qu’il
ne faut que suivre l’intention de la très-sainte Église, et ce serait
faire tort à la piété universelle de donner des pratiques et des
assignations particulières. Disons seulement avec saint François de
Sales : « Ah ! qu’elle est belle cette
aube du jour éternel, laquelle, après sa résurrection, par la puissance
et appui de son Fils bien-aimé, va montant au ciel en ce jour de son
Assomption, et va, ce semble, de plus en plus croissant ès
bénédiction de son incomparable gloire. Qu’à jamais les odeurs
d’éternelles suavités éparses sur les cœurs de ses dévots remplissent
les cœurs des filles de la petite Congrégation de Sainte-Marie, toute vouée à la louange du Fils et de la Mère. Ah ! que je fais ce souhait de bon cœur au jour de la glorification de notre très-honorée Mère et Maîtresse ! »
À
l’exemple de ce saint Fondateur, laissez courir votre cœur et toutes
vos affections après cette Sainte Vierge, qui, appuyée sur son
Bien-Aimé, monte au ciel. Ne demeurons en la terre que pour adorer, aimer, louer et servir Jésus, Marie et Joseph, glorieux dans le ciel.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
enfant bien-aimé de Marie,priez pour nous.
Le triomphe de Marie est aujourd’hui si grand entre les chrétiens, qu’il
ne faut que suivre l’intention de la très-sainte Église, et ce serait
faire tort à la piété universelle de donner des pratiques et des
assignations particulières. Disons seulement avec saint François de
Sales : « Ah ! qu’elle est belle cette
aube du jour éternel, laquelle, après sa résurrection, par la puissance
et appui de son Fils bien-aimé, va montant au ciel en ce jour de son
Assomption, et va, ce semble, de plus en plus croissant ès
bénédiction de son incomparable gloire. Qu’à jamais les odeurs
d’éternelles suavités éparses sur les cœurs de ses dévots remplissent
les cœurs des filles de la petite Congrégation de Sainte-Marie, toute vouée à la louange du Fils et de la Mère. Ah ! que je fais ce souhait de bon cœur au jour de la glorification de notre très-honorée Mère et Maîtresse ! »
À
l’exemple de ce saint Fondateur, laissez courir votre cœur et toutes
vos affections après cette Sainte Vierge, qui, appuyée sur son
Bien-Aimé, monte au ciel. Ne demeurons en la terre que pour adorer, aimer, louer et servir Jésus, Marie et Joseph, glorieux dans le ciel.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
enfant bien-aimé de Marie,priez pour nous.
Le triomphe de Marie est aujourd’hui si grand entre les chrétiens, qu’il ne faut que suivre l’intention de la très-sainte Église, et ce serait faire tort à la piété universelle de donner des pratiques et des assignations particulières. Disons seulement avec saint François de Sales : « Ah ! qu’elle est belle cette aube du jour éternel, laquelle, après sa résurrection, par la puissance et appui de son Fils bien-aimé, va montant au ciel en ce jour de son Assomption, et va, ce semble, de plus en plus croissant ès bénédiction de son incomparable gloire. Qu’à jamais les odeurs d’éternelles suavités éparses sur les cœurs de ses dévots remplissent les cœurs des filles de la petite Congrégation de Sainte-Marie, toute vouée à la louange du Fils et de la Mère. Ah ! que je fais ce souhait de bon cœur au jour de la glorification de notre très-honorée Mère et Maîtresse ! »
À l’exemple de ce saint Fondateur, laissez courir votre cœur et toutes vos affections après cette Sainte Vierge, qui, appuyée sur son Bien-Aimé, monte au ciel. Ne demeurons en la terre que pour adorer, aimer, louer et servir Jésus, Marie et Joseph, glorieux dans le ciel.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
enfant bien-aimé de Marie,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Cette fête était celle du cœur de saint François de Sales ; il en donna une insigne preuve l’année 1602, prêchant un admirable sermon à Saint-Jean en Grève, sur ces paroles : Qui est celle-ci qui monte du désert ? Son discours fut aussi doux que fort et pénétra les cœurs de dévotion envers la sainte Mère de Dieu. Ce Saint parle de ce sermon dans la préface du Théotime et dit ingénument que c’est de là qu’il a tiré les chapitres treize et quatorze du septième livre de l’Amour de Dieu, qu’on pourra lire en cette fête pour avoir une vraie et amoureuse intelligence de la mort et de la gloire de la Sainte Vierge. M. Loysel, curé de Saint-Jean, ayant rencontré l’original du Mémoire de ce sermon, écrit de la propre main de notre Saint, le fit enchâsser dans le cristal, l’or et l’argent, avec les attestations et approbations de Mgr l’Archevêque de Paris, pour être vénéré comme relique dans la même église où il avait été prononcé.
Notre Saint prêchait ordinairement au jour de cette fête et se glorifiait d’être né dans son octave. Il écrivit une fois à notre digne Mère : « Je vous confesse, ma chère fille, que mon cœur est toujours hardi, quand il faut entreprendre quelque chose de grand pour le service de Dieu et des âmes, sous la protection de la glorieuse et triomphante Mère de Dieu ! »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »