20 AOÛT
Appliquez ce jour, avec toute la cour céleste et avec toute l’Église, à faire hommage et à prêter le serment de fidélité à la Reine Marie.
Voyez tous les chœurs des Anges et des justes qui louent et remercient
la Sainte Trinité de l’élévation de cette Souveraine, et dites avec la
très-sainte Église l’antienne Assumpta est Maria in cœlum, etc. Ô Marie ! autant que Dieu sera Dieu, que l’éternité sera éternité, vous serez
Souveraine de cette cité de Dieu, de laquelle tant de choses nous sont
dites par la foi, promises par l’espérance et qui ne seront jamais
données qu’à la charité. Sainte Vierge, je vous reconnais aujourd’hui pour ma Souveraine après Dieu ; je fais serment à vos pieds de fidélité, de servitude et d’amour pour le temps et l’éternité !
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
qui avez su joindre la force pour corriger les vices et la douceur pour gagner les cœurs,priez pour nous.
Appliquez ce jour, avec toute la cour céleste et avec toute l’Église, à faire hommage et à prêter le serment de fidélité à la Reine Marie.
Voyez tous les chœurs des Anges et des justes qui louent et remercient
la Sainte Trinité de l’élévation de cette Souveraine, et dites avec la
très-sainte Église l’antienne Assumpta est Maria in cœlum, etc. Ô Marie ! autant que Dieu sera Dieu, que l’éternité sera éternité, vous serez
Souveraine de cette cité de Dieu, de laquelle tant de choses nous sont
dites par la foi, promises par l’espérance et qui ne seront jamais
données qu’à la charité. Sainte Vierge, je vous reconnais aujourd’hui pour ma Souveraine après Dieu ; je fais serment à vos pieds de fidélité, de servitude et d’amour pour le temps et l’éternité !
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
qui avez su joindre la force pour corriger les vices et la douceur pour gagner les cœurs,priez pour nous.
Appliquez ce jour, avec toute la cour céleste et avec toute l’Église, à faire hommage et à prêter le serment de fidélité à la Reine Marie. Voyez tous les chœurs des Anges et des justes qui louent et remercient la Sainte Trinité de l’élévation de cette Souveraine, et dites avec la très-sainte Église l’antienne Assumpta est Maria in cœlum, etc. Ô Marie ! autant que Dieu sera Dieu, que l’éternité sera éternité, vous serez Souveraine de cette cité de Dieu, de laquelle tant de choses nous sont dites par la foi, promises par l’espérance et qui ne seront jamais données qu’à la charité. Sainte Vierge, je vous reconnais aujourd’hui pour ma Souveraine après Dieu ; je fais serment à vos pieds de fidélité, de servitude et d’amour pour le temps et l’éternité !
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le vingtième jour d’août 1606, notre Père saint François de Sales prêcha encore dans l’église collégiale de Notre-Dame de l’Assomption de Samoëns, où les affaires et différends de plusieurs gentilshommes l’avaient arrêté. Cette province du Faucigny possédait plusieurs maisons très-nobles, très-anciennes et très-généreuses, et, je dois encore ajouter, très-pieuses. Elles en donnèrent un insigne témoignage par l’assiduité qu’elles eurent à suivre et à assister aux prédications de leur bon Pasteur, tant qu’il demeura dans cette province, et encore plus par la soumission chrétienne avec laquelle elles reçurent les décisions et les conclusions qu’il lui plut de donner sur leurs différents particuliers ou sur les difficultés générales qu’elles avaient avec le curé pour les dîmes et autres droits, lesquels font souvent des discussions entre les seigneurs de la campagne et les curés des paroisses, où ces seigneurs séculiers voudraient souvent prendre autant d’autorité que dans leurs châteaux. Le Prélat corrigeait cet abus avec une sainte force, et, comme nous l’avons appris de la bouche et de la déposition de M. le baron de Saint-Christophe, un des principaux gentilshommes du Faucigny, il disait les choses d’une manière si ecclésiastique et si sincère qu’on voyait que c’était par le mouvement divin, et qu’il servait d’organe au Saint-Esprit, ce qui était cause de la soumission des petits et des grands à ses décisions.
Ce saint Évêque était grandement dévot à saint Bernard, ainsi que nous l’avons remarqué au mois de juin, et le jour de la fête de ce grand Saint, 1622, moment où il était malade au Monastère de la Consolata de Turin, s’étant trouvé un peu mieux de la fièvre, il dit : « Quelqu’un de nos Frères a prié saint Bernard pour moi, car je me porte mieux. » Il se leva, célébra la Messe, fit une petite exhortation à la Communauté sur la vertu de son Père saint Bernard, surtout sur sa dévotion à la Mère de Dieu, et, dès ce jour-là, il n’eut plus de fièvre, et sa santé alla de jour en jour se fortifiant. C’est pourquoi il disait gracieusement aux Pères : « C’est ici une santé bernardine. »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »