jeudi 25 août 2022

Le 25 AOÛT avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Ou bien il y a une vraie Foi, 
et alors il ne peut y avoir d’autre Religion vraie que la nôtre ; 
ou bien il n’y a pas de vraie Foi, 
et alors toutes les religions sont fausses. 
Or le second cas est impossible 
puisque, s’il y a un Dieu, 
il faut nécessairement qu’il y ait une vraie Foi 
et partant une vraie Religion. »
 
(Saint Alphonse de Liguori)


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saint entre les Saints, 
priez pour nous.



 

 

25 AOÛT

 

 
              
                Considérez aujourd’hui la Sainte Vierge comme la Bienfaitrice universelle. Elle a tant déclaré qu’elle était la servante du Seigneur, et la voilà, comme la plus fidèle, devenue la souveraine Maîtresse, entrée dans la joie de son Seigneur et Fils, constituée sur tous ses biens, et, sans aucune comparaison, bien mieux en pouvoir d’aider et de secourir les siens que ne fut jamais Joseph, le vice-roi d’Égypte. Ô Marie ! Refuge de tous les pauvres, Bienfaitrice de tous les peuples, à qui aurai-je mon recours, si vous ne priez pour moi, si vous ne me départez le bien de votre protection auprès de votre Fils ? Hélas ! je demeurerai dans une pauvreté éternelle.

(Ce Cantique "À MARIE, NOTRE REINE, MÈRE DE MISÉRICORDE"
est à retrouver ici : https://gloria.tv/post/2aPc7XxyTRCp1pPq6U9epvL6d
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dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622) 

parfait exemple de prudence et de charité 
dans la conduite des âmes,
priez pour nous.
 

              Notre saint Fondateur, écrivant à notre digne Fondatrice, nommait le jour de Saint-Louis de l’an 1604, jour fourrier du jour éternel. Cette digne Mère lui fit en ce jour sa confession générale à Saint-Claude et son premier vœu d’obéissance qu’elle lui donna par écrit. En échange, il lui remit les premiers règlements pour sa vie spirituelle, et la corrigea, ayant su qu’une de ses femmes de chambre dormait et passait la nuit vêtue pour être plus promptement auprès d’elle la nuit quand elle l’appelait. « Les gens de service, lui dit-il, sont nos frères et nos sœurs que la nature a humiliés ; il faut avoir de la considération pour eux. Dieu m’a donné cette connaissance, et, si la nuit je ne peux pas dormir et que je veuille lire ou écrire, je me ferais conscience d’appeler un valet ou un laquais ; je me lève doucement et allume moi-même ma lampe, car notre pauvre prochain n’a que faire de nos inquiétudes. » Il ôta à notre bonne veuve quantité de pratiques, sous lesquelles elle souffrait beaucoup, et la réduisit à sa méthode, plus intérieure qu’extérieure.

            Notre Saint aimait grandement saint Louis et son royaume. L’année 1602, il prêcha ses louanges dans l’église de Saint-Louis des Jésuites, à Paris, et recommanda surtout la lecture de la vie de ce saint Roi, écrite par le sire de Joinville, disant que l’âme chrétienne y trouvait un goût inexplicable et un profit incomparable. En l’année 16019, notre Saint étant à Paris, prêcha dans la même église à la prière des Révérends Pères Jésuites, et ne fit autre chose que réciter et moraliser la vie de ce saint Roi, ce qui fut d’un fruit incomparable pour l’augmentation de la dévotion à ce grand Saint et la conversion de plusieurs courtisans ; ce qui étant rapporté à ce digne prédicateur, il dit avec une aimable simplicité : « Je le crois, car ce fut saint Louis qui prêcha et non ce prédicateur François. »


 
 


ÉGALEMENT au 25 AOÛT :
 
 

https://montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-recite-avec-vous.html


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