et Notre-Dame de Lourdes nous le rappelle en écho :
4- INTÉGRAL AVE MARIA VIDÉO
4 FÉVRIER
a été indiqué à sainte Marguerite-Marie par Notre-Seigneur lui-même,
pour faire amende honorable à son Cœur.
Il est donc bien :
1° de s'y préparer par une Neuvaine ;
2° de communier aux intentions réparatrices
demandées par le Sauveur à sa fidèle Amante ;
3° de renouveler sa Consécration au Sacré-Cœur. »
(d'après le fascicule de la Garde d'honneur du Sacré-Cœur)
Employons ce jour à suivre pas à pas la sacrée Vierge
en son voyage de Jérusalem à Nazareth. Lorsqu’elle sortit de cette
petite ville pour obéir à César, son adorable Fils était en son sein ;
mais, à son retour, elle le portait entre ses bras. Admirons sa joie et sa modestie à la vue de ce divin Enfant, efforçons-nous de l’imiter lorsque nous le recevons, non-seulement dans nos bras, mais encore dans notre cœur.
Considérons aussi que les grâces et les consolations de Marie
s’augmentèrent beaucoup pendant ce saint voyage, et qu’elle eut mille
rencontres différentes de la part du ciel, de la terre et des Anges, des
bons et des mauvais, dont elle fit un saint usage. Ce qui nous peut apprendre que le
moyen d’augmenter les grâces de Dieu en nous, c’est de prendre
patiemment les choses qui nous arrivent, soit de la part de Dieu, soit
de la part des hommes.
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Employons ce jour à suivre pas à pas la sacrée Vierge en son voyage de Jérusalem à Nazareth. Lorsqu’elle sortit de cette petite ville pour obéir à César, son adorable Fils était en son sein ; mais, à son retour, elle le portait entre ses bras. Admirons sa joie et sa modestie à la vue de ce divin Enfant, efforçons-nous de l’imiter lorsque nous le recevons, non-seulement dans nos bras, mais encore dans notre cœur. Considérons aussi que les grâces et les consolations de Marie s’augmentèrent beaucoup pendant ce saint voyage, et qu’elle eut mille rencontres différentes de la part du ciel, de la terre et des Anges, des bons et des mauvais, dont elle fit un saint usage. Ce qui nous peut apprendre que le moyen d’augmenter les grâces de Dieu en nous, c’est de prendre patiemment les choses qui nous arrivent, soit de la part de Dieu, soit de la part des hommes.
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/Vierge-Sainte:5?lid=f8e20b63311d1cef9016a9e3146b63780f746a1c
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le septième jour de l’octave de notre Père saint François de Sales, jetons l’œil en général sur cet homme de Dieu, et, comme la santé et la maladie partagent toute la vie d’un homme, considérons quel a été notre Saint en l’une et en l’autre. Premièrement, il était d’une complexion sanguine et délicate, mais assez saine ; quand il se portait bien, il s’employait tout au service de Notre-Seigneur et de son Église. À la vérité, il était austère à l’égard de sa personne, mais c’était sans affectation ; il suivait fidèlement tous les mouvements de la grâce ; jamais il n’était oisif, et il savait si bien régler ses actions, qu’elles étaient aussi utiles à son prochain qu’à sa propre perfection ; pour son repos, il n’en prenait qu’en Dieu. Quand il était malade, il paraissait un prodige de patience, de résignation et d’obéissance. Il a fiat entre autres quatre grandes maladies : la première à Paris, où il tomba dans un accablement mortel, par l’effort d’une cruelle tentation dont il fut délivré et guéri miraculeusement, dans l’église Saint-Étienne des Grès. Sa deuxième maladie le surprit à Padoue ; ce fut en cette occasion qu’il fit cet admirable acte d’humilité de léguer son corps aux étudiants en chirurgie, pour en faire la dissection et s’en servir dans les leçons d’anatomie, bien qu’on ne demandât ordinairement pour cela que les corps des scélérats et des suppliciés. La troisième maladie considérable fut en Chablais, au temps de sa mission apostolique, où il s’était exposé pour le service des pestiférés. Sa bonne mère le fit porter à Sales, et, par ses prières et ses soins, le rétablit en parfaite santé. La quatrième fut dans le temps de son épiscopat, pendant lequel, étant atteint d’une fièvre violente et maligne, cet homme de Dieu témoigna que son plus grand soulagement était d’entendre chanter des motets à l’honneur de la sacrée Vierge. Il fut empoisonné, à Gex, par des hérétiques, fâchés de ses nouvelles conquêtes. Ayant su son accident par voie surnaturelle (comme on l’a toujours cru), il voulut sauver la vie à celui qui avait voulu la lui ôter et procura lui-même sa guérison par un vœu qu’il fit et accomplit dévotement d’aller à pied, en pèlerinage, visiter la chapelle de Notre-Dame de Compassion à Thonon. Il avait plusieurs petites incommodités habituelles, mais il les négligeait, disant que l’attention et la délicatesse sur ces petits maux les agrandissent toujours, et que qui vit médicinalement vit misérablement. On voit, dans son Institut et par ses écrits, qu’il a été le partisan des infirmes, le consolateur des malades et le refuge de tous les affligés.
« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
Alors, rendez-vous ici :
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »