samedi 19 février 2022

Le 19 FÉVRIER avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Nous pouvons croire que nous avons fait telle œuvre en vue de Dieu, 
quand nous ne désirons ni approbation ni reconnaissance du côté des hommes, 
quand nous voyons sans trouble nos bonnes entreprises échouées, 
quand le bien opéré par nous ne nous cause pas plus de joie 
que s’il eût été fait par d’autres. »

(Saint Alphonse de Liguori)


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qui avez apparu toujours belle
comme la fleur des champs et le lys des vallées,
priez pour nous.

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19 FÉVRIER

 
 

 

            Le neuvième jour du voyage d’Égypte, admirons la douceur et la soumission de jugement de la sacrée Vierge et de saint Joseph dans ce voyage. Ils l’ont entrepris sans avoir représenté à l’Ange que les Égyptiens étaient ennemis des Israélites depuis leur sortie et la défaite de Pharaon dans la mer Rouge ; que, voulant leur faire éviter un ennemi, il les jetait entre les mains de dix mille, et tous les jours dans des périls évidents. Apprenons de ceci l’anéantissement de nos propres pensées et raisonnements humains, et, sans faire toutes ces réflexions d’amour-propre, suivons simplement l’inspiration et la direction d’un homme donné de Dieu, tel qu’est notre saint Fondateur.

 

 
 

 

TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES

dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)

qui étiez le protecteur des pauvres et des opprimés,
priez pour nous.
 

         Le 19 février 1605, tandis que notre Père saint François de Sales prêchait le carême à La Roche, petite ville de son diocèse, on lui amena d’une autre province une fille de haute condition, à laquelle on avait donné un démon qui la tourmentait cruellement, au déplaisir extrême de ses parents, qui la tenaient cachée et enfermée. Ils ne crurent pas la pouvoir conduire à un meilleur médecin qu’au saint Évêque, qui la fit séjourner trois jours à La Roche, pour prier et faire un exorcisme sur sa personne. Lorsqu’elle fut heureusement délivrée, le Saint lui commanda de lui donner son busc qu’il brûla, ayant connu par voie surnaturelle que le maléfice avait été placé dans cet objet. Pour couvrir le miracle que Dieu avait fait par son moyen, il défendit aux parents et à la fille de parler jamais de cette maladie ni de cette guérison, leur disant que cela leur porterait préjudice, mais qu’ils prissent grand-soin de cette fille, qui bientôt leur serait demandée pour un mariage très-avantageux, ce qui arriva. Elle en fut si reconnaissante que, quelques années après la mort du Saint, elle vint visiter son tombeau à Annecy, où, ayant fait son offrande, elle déclara la grâce qu’elle avait reçue.


            « Je suis demeurée, ajouta-t-elle, quelque temps après ma délivrance, sans oser porter un busc ; pour cela j’envoyai exprès un laquais avec un billet au Saint, l’an 1617, pendant qu’il prêchait le carême à Grenoble. Il me répondit que je pouvais sans crainte reprendre un busc, puisque c’était pour me soulager et me soutenir, mais, qu’au lieu de tout autre chiffre, j’y fisse graver les saints Noms de Jésus et de Marie, afin de les avoir toujours sur le cœur. »


 

ÉGALEMENT au 19 FÉVRIER :
 
 
 
 

 


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Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
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