4- INTÉGRAL AVE MARIA VIDÉO
3 FÉVRIER
pour se préparer aux Premiers Vendredi & Samedi
Employons ce jour à honorer la préparation intérieure que la Sainte Vierge et saint Joseph firent pour s’en retourner de Jérusalem en leur petite demeure de Nazareth.
Ils ne s’arrêtèrent à Bethléem que pour accomplir la prophétie et
donner au monde le Pain de vie dans cette MAISON de PAIX. Ils ne
demeurèrent non plus à Jérusalem que pour obéir à la loi de la
Purification.
Bien que notre Père saint François de Sales ait remarqué que les fêtes de la Circoncision et de la Purification ne portent point d’octave, parce qu’il faut toujours nous circoncire et nous purifier, ce ne sera pas contre l’intention de ce grand Directeur de nos âmes de nous occuper quelques jours du mystère de cette sainte Purification, ruminant et repassant par nos esprits ses principales circonstances. Voyons aujourd’hui l’humilité profonde de la Sainte Vierge, offrant au Père éternel son divin Enfant.
Toutes les autres offrandes et tous les holocaustes qui avaient été
consumés n’étant que des figures de cette adorable vérité, il est à
croire que cet Agneau de Dieu dut être posé sur l’autel d’or de
Thimiame, et que l’odeur de l’éternelle suavité dut être fort agréable
au Père éternel. Ô Marie ! Ô SAINTE SACRIFICATRICE ! donnez-nous
part au sacrifice que vous faites de cet Agneau de Dieu ! Offrez cette
Victime sacrée pour nos péchés.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/pr%C3%A9sentation-de-notre-seigneur:6 >>> PAROLES & PARTITION originale pour quatre voix mixtes de ce Cantique du petit séminaire de la Primatiale de Lyon "PRÉSENTATION de NOTRE-SEIGNEUR"
Employons ce jour à honorer la préparation intérieure que la Sainte Vierge et saint Joseph firent pour s’en retourner de Jérusalem en leur petite demeure de Nazareth. Ils ne s’arrêtèrent à Bethléem que pour accomplir la prophétie et donner au monde le Pain de vie dans cette MAISON de PAIX. Ils ne demeurèrent non plus à Jérusalem que pour obéir à la loi de la Purification.
Bien que notre Père saint François de Sales ait remarqué que les fêtes de la Circoncision et de la Purification ne portent point d’octave, parce qu’il faut toujours nous circoncire et nous purifier, ce ne sera pas contre l’intention de ce grand Directeur de nos âmes de nous occuper quelques jours du mystère de cette sainte Purification, ruminant et repassant par nos esprits ses principales circonstances. Voyons aujourd’hui l’humilité profonde de la Sainte Vierge, offrant au Père éternel son divin Enfant. Toutes les autres offrandes et tous les holocaustes qui avaient été consumés n’étant que des figures de cette adorable vérité, il est à croire que cet Agneau de Dieu dut être posé sur l’autel d’or de Thimiame, et que l’odeur de l’éternelle suavité dut être fort agréable au Père éternel. Ô Marie ! Ô SAINTE SACRIFICATRICE ! donnez-nous part au sacrifice que vous faites de cet Agneau de Dieu ! Offrez cette Victime sacrée pour nos péchés.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Ce sixième jour de l’octave de la fête de notre saint Fondateur, appliquons-nous à le considérer dans son âge plus avancé. Il fut sacré Évêque à trente-cinq ans. Dieu le rendit non-seulement père d’un peuple et d’une province particulière, mais père et directeur universel, patriarche et fondateur d’Ordre, réformateur de couvents, médiateur entre les rois et les princes, restaurateur de la piété, auteur sacré et mystique d’ouvrages canonisés dans l’Église de Dieu ; enfin homme parfait, père tout à tous, Prélat accompli, thaumaturge et protecteur très-puissant de ceux qui réclament son intercession auprès de Dieu.
Nous avons vu, dans la déposition de notre très-honorée Sœur Marie-Adrienne Fichet, la septième Religieuse de notre Institut, et dans les Mémoires de l’ancien Curé de Saint-Maurice d’Annecy, qu’en l’année 1613, notre vénérable Mère de Chantal étant grièvement malade d’une cruelle esquinancie, notre Père saint François de Sales envoya dire à ce bon Curé de lui apporter la relique de saint Blaise, Évêque de Sébaste et Martyr. Le saint Prélat, voyant la relique qu’il lui avait apportée, lui dit : « Monsieur le Curé, mon ami, venez avec moi, vous serez l’un de mes compagnons ; notre bonne Mère de Sainte-Marie est en danger de mort, prions pour elle. » Étant au Monastère, le saint Prélat toucha la malade avec la relique, et dans un instant elle fut guérie. La bonne Sœur Fichet, toujours un peu trop prompte et ardente, dit assez haut : « Vraiment, il n’était pas besoin d’aller chercher, dans l’Arménie, un Saint du quatrième siècle ; Monseigneur aurait tout aussi bien guéri notre Mère, s’il l’avait voulu. » L’humble Prélat, les larmes aux yeux, la reprit et la mortifia grandement devant toute la compagnie, et lui donna pour pénitence de demander pardon à ce saint Évêque et Martyr et de jeûner trois ans durant, la veille de sa fête, pour avoir parlé de lui avec indévotion et manquement de respect. Il fit ensuite un magnifique discours sur les péchés d’irréligion qui se commettent par flatterie humaine et par complaisance naturelle.
« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »
Alors, rendez-vous ici :
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »