Honorez la Sainte Vierge dans les neuf mois de sa prison ès entrailles de la glorieuse sainte Anne. Elle y possédait toute la raison de l’âge parfait et toute la perfection d’une âme sanctifiée ; aussi faisait-elle méritoirement les actes de toutes les vertus. Le flanc de sainte Anne, sa mère, était pour elle un oratoire et un temple où elle sacrifiait à Dieu la plus pure oraison qui lui eût jamais été présentée. Ô Vierge Sainte ! premier miracle de vertu cachée, de sujétion et de captivité, donnez-moi part à vos premiers actes et permettez que je vous dise : Ô
Mère du Roi souverain, du Désiré de toutes les nations, Mine sacrée
dont le Saint-Esprit tirera la pierre angulaire qui fera l’union des
deux natures ensemble, venez travailler au salut de l’homme, qui a été
formé du limon de la terre !
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
Honorez la Sainte Vierge dans les neuf mois de sa prison ès entrailles de la glorieuse sainte Anne. Elle y possédait toute la raison de l’âge parfait et toute la perfection d’une âme sanctifiée ; aussi faisait-elle méritoirement les actes de toutes les vertus. Le flanc de sainte Anne, sa mère, était pour elle un oratoire et un temple où elle sacrifiait à Dieu la plus pure oraison qui lui eût jamais été présentée. Ô Vierge Sainte ! premier miracle de vertu cachée, de sujétion et de captivité, donnez-moi part à vos premiers actes et permettez que je vous dise : Ô
Mère du Roi souverain, du Désiré de toutes les nations, Mine sacrée
dont le Saint-Esprit tirera la pierre angulaire qui fera l’union des
deux natures ensemble, venez travailler au salut de l’homme, qui a été
formé du limon de la terre !
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
Honorez la Sainte Vierge dans les neuf mois de sa prison ès entrailles de la glorieuse sainte Anne. Elle y possédait toute la raison de l’âge parfait et toute la perfection d’une âme sanctifiée ; aussi faisait-elle méritoirement les actes de toutes les vertus. Le flanc de sainte Anne, sa mère, était pour elle un oratoire et un temple où elle sacrifiait à Dieu la plus pure oraison qui lui eût jamais été présentée. Ô Vierge Sainte ! premier miracle de vertu cachée, de sujétion et de captivité, donnez-moi part à vos premiers actes et permettez que je vous dise : Ô Mère du Roi souverain, du Désiré de toutes les nations, Mine sacrée dont le Saint-Esprit tirera la pierre angulaire qui fera l’union des deux natures ensemble, venez travailler au salut de l’homme, qui a été formé du limon de la terre !
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
restaurateur de la véritable dévotion,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le 6 septembre 1597, notre Père saint François de Sales disposa les choses pour les premières Quarante-Heures d’Annemasse, et, pour attirer les peuples, à l’imitation des anciens Pères de la primitive Église, qui commencèrent à faire chanter les hymnes et psaumes pour la consolation des fidèles, notre saint Missionnaire fit composer, par son cher frère Louis de Sales et par son frère d’alliance, Antoine Favre, plusieurs pièces de poésies et des chansons dévotes en forme d’hymnes et de cantiques sacrés. Il passa tout ce jour à préparer ses enfants spirituels par la pénitence et par de ferventes exhortations à la procession de Thonon à Annemasse, où il avait laissé les bons Pères Capucins et d’autres ecclésiastiques qui arrangeaient le lieu avec grande piété et zèle. Or, comme ces préparatifs se faisaient quasi aux portes et sur les avenues de Genève, les hérétiques faisaient de temps en temps sortir des troupes de soldats, tambour battant, pour venir épier ce qu’on voulait faire ; mais on ne s’en mettait point en peine, et l’on était bien aise de travailler tout de bon à l’œuvre du Seigneur.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »