Quand les rois ou les reines arrivent dans leur royaume, tous les sujets crient : Vive le Roi ! Ou Vive la Reine ! La Sainte Vierge, en sa naissance, vient pour être Reine du ciel et de la terre ; destinez donc ce jour à faire autour de cette jeune Princesse le cri intérieur de respect et d’amour : Vive la Vierge conçue sans péché ; vive la Vierge naissante pour fouler au pied le serpent infernal ! Vive la Reine dans le Cœur du Roi de l’éternité, qui règnera uniquement et éternellement en son âme !
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "HONNEUR à NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/07-honneur-%C3%A0-notre-dame-du-sacr%C3%A9-c%C5%93ur:5?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, dont l’extérieur bon et affable, grave et modeste, rappelait Jésus-Christ conversant parmi les hommes,priez pour nous.
Quand les rois ou les reines arrivent dans leur royaume, tous les sujets crient : Vive le Roi ! Ou Vive la Reine ! La Sainte Vierge, en sa naissance, vient pour être Reine du ciel et de la terre ; destinez donc ce jour à faire autour de cette jeune Princesse le cri intérieur de respect et d’amour : Vive la Vierge conçue sans péché ; vive la Vierge naissante pour fouler au pied le serpent infernal ! Vive la Reine dans le Cœur du Roi de l’éternité, qui règnera uniquement et éternellement en son âme !
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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, dont l’extérieur bon et affable, grave et modeste, rappelait Jésus-Christ conversant parmi les hommes,priez pour nous.
Quand les rois ou les reines arrivent dans leur royaume, tous les sujets crient : Vive le Roi ! Ou Vive la Reine ! La Sainte Vierge, en sa naissance, vient pour être Reine du ciel et de la terre ; destinez donc ce jour à faire autour de cette jeune Princesse le cri intérieur de respect et d’amour : Vive la Vierge conçue sans péché ; vive la Vierge naissante pour fouler au pied le serpent infernal ! Vive la Reine dans le Cœur du Roi de l’éternité, qui règnera uniquement et éternellement en son âme !
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le 22 septembre 1598, pour finir heureusement et solennellement les Quarante-Heures de Thonon, comme notre Père saint François de Sales célébrait la sainte Messe, Mgr Thomas Pobel, Évêque de Saint-Paul, arriva avec la procession des petites villes de Cluses et de Sallanches, qui avait fait deux grandes journées de chemin ; elle était suivie d’un peuple innombrable des plus hautes montagnes du Faucigny ; la plupart étaient vêtus de blanc, à pied et nu-pieds, montrant une très-grande humilité en la représentation qu’ils firent de plusieurs scènes de la très-sainte Passion de Notre-Seigneur. Cette procession fut suivie de celle de la noblesse du Chablais, conduite par le gouverneur Jérôme de Lambert, lequel, ayant rencontré François de Sales à la porte de l’église, ne put contenir sa ferveur et lui dit en se jetant à genoux : « Ah ! Monsieur, vous êtes notre Père, bénissez-nous et nous offrez à Dieu. » L’humble François se prosterna lui-même à genoux, et, les faisant promptement relever, les conduisit à l’Évêque pour être bénis et introduits devant le Saint-Sacrement. Après midi, la procession d’Évian arriva avec une grande troupe d’enfants vêtus en anges, qui portaient divers instruments de la Passion du Sauveur, et qui, à l’heure de Vêpres, récitèrent publiquement de beaux vers à la louange du très-saint Sacrement. Cette poésie représentait le Prophète Élie mangeant le pain qui lui fut apporté par l’Ange sous le génévrier, lorsqu’il fuyait la persécution de l’infâme Jézabel. Au coucher du soleil arriva la procession de Ternier, qui aurait dû venir le jour précédent, mais qui avait été retardée par une insulte que ceux de Genève lui avaient faite lorsqu’elle avait passé près de leur ville. Notre saint Apôtre les accueillit et les embrassa d’une dilection singulière, et le P. Chérubin, Capucin, le chanoine Louis de Sales et notre bienheureux Apôtre les prêchèrent, les confessèrent et consolèrent alternativement une partie de la nuit, ce qui fit dire que les derniers venus avaient été les mieux partagés, vu que, la foule du peuple n’étant plus si grande, ils avaient possédé leur Apôtre plus à loisir.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »