2 SEPTEMBRE
« Ce jour du Premier Vendredi du mois
a été indiqué à sainte Marguerite-Marie par Notre-Seigneur lui-même,
pour faire amende honorable à son Cœur.
Il est donc bien :
1° de s'y préparer par une Neuvaine ;
2° de communier aux intentions réparatrices
demandées par le Sauveur à sa fidèle Amante ;
3° de renouveler sa Consécration au Sacré-Cœur. »
(d'après le fascicule de la Garde d'honneur du Sacré-Cœur)
2 SEPTEMBRE
a été indiqué à sainte Marguerite-Marie par Notre-Seigneur lui-même,
pour faire amende honorable à son Cœur.
Il est donc bien :
1° de s'y préparer par une Neuvaine ;
2° de communier aux intentions réparatrices
demandées par le Sauveur à sa fidèle Amante ;
3° de renouveler sa Consécration au Sacré-Cœur. »
(d'après le fascicule de la Garde d'honneur du Sacré-Cœur)
Nous ne devons rien admettre dans nos petites dévotions
particulières que ce qui est de la très-pure vérité catholique, de la
tradition incontestable et du sentiment des Pères. Or, il est certain que Marie, Mère de Dieu, est plus une Fille de la grâce que de la nature ; il est certain que la Providence voulut qu’elle fût un fruit de prières et d’attentes,
puisque son père et sa mère étaient âgés, et ne croyaient plus avoir
lignée quand le ciel leur donna cette sainte pouponne. Les contemplatifs
assurent que l’Ange Gabriel commença sa commission pour le mystère de l’Incarnation par une apparition à sainte Anne et à saint Joachim, et qu’il leur révéla le nom
qu’ils devaient donner à la Fille dont le ciel les voulait bénir. Cette
grâce ayant été faite à sainte Élisabeth et à saint Zacharie pour saint
Jean-Baptiste, nous pouvons penser pieusement qu’elle n’a pas été
déniée à sainte Anne et à saint Joachim, grand-père et grand-mère de
l’Homme-Dieu. Disons donc aujourd’hui avec ferveur : « Ô
Adonaï, Conducteur de la maison d’Israël, faites croître à la bonne
heure, dans la terre stérile de Joachim et d’Anne, ce buisson ardent, le
sein de Marie, d’où vous nous devez paraître et nous sauver par
l’extension de vos bras en la Croix ! »
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/Oraison-%C3%A0-Marie:3?lid=065ce26f852426e878116abad706c056a2141414 >>> PAROLES de cette ORAISON à MARIE
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
dont la patience et la sérénité n’ont jamais été altérées par les injures, les calomnies et les contradictions,priez pour nous.
Nous ne devons rien admettre dans nos petites dévotions
particulières que ce qui est de la très-pure vérité catholique, de la
tradition incontestable et du sentiment des Pères. Or, il est certain que Marie, Mère de Dieu, est plus une Fille de la grâce que de la nature ; il est certain que la Providence voulut qu’elle fût un fruit de prières et d’attentes,
puisque son père et sa mère étaient âgés, et ne croyaient plus avoir
lignée quand le ciel leur donna cette sainte pouponne. Les contemplatifs
assurent que l’Ange Gabriel commença sa commission pour le mystère de l’Incarnation par une apparition à sainte Anne et à saint Joachim, et qu’il leur révéla le nom
qu’ils devaient donner à la Fille dont le ciel les voulait bénir. Cette
grâce ayant été faite à sainte Élisabeth et à saint Zacharie pour saint
Jean-Baptiste, nous pouvons penser pieusement qu’elle n’a pas été
déniée à sainte Anne et à saint Joachim, grand-père et grand-mère de
l’Homme-Dieu. Disons donc aujourd’hui avec ferveur : « Ô
Adonaï, Conducteur de la maison d’Israël, faites croître à la bonne
heure, dans la terre stérile de Joachim et d’Anne, ce buisson ardent, le
sein de Marie, d’où vous nous devez paraître et nous sauver par
l’extension de vos bras en la Croix ! »
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/Oraison-%C3%A0-Marie:3?lid=065ce26f852426e878116abad706c056a2141414 >>> PAROLES de cette ORAISON à MARIE
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
dont la patience et la sérénité n’ont jamais été altérées par les injures, les calomnies et les contradictions,priez pour nous.
Nous ne devons rien admettre dans nos petites dévotions particulières que ce qui est de la très-pure vérité catholique, de la tradition incontestable et du sentiment des Pères. Or, il est certain que Marie, Mère de Dieu, est plus une Fille de la grâce que de la nature ; il est certain que la Providence voulut qu’elle fût un fruit de prières et d’attentes, puisque son père et sa mère étaient âgés, et ne croyaient plus avoir lignée quand le ciel leur donna cette sainte pouponne. Les contemplatifs assurent que l’Ange Gabriel commença sa commission pour le mystère de l’Incarnation par une apparition à sainte Anne et à saint Joachim, et qu’il leur révéla le nom qu’ils devaient donner à la Fille dont le ciel les voulait bénir. Cette grâce ayant été faite à sainte Élisabeth et à saint Zacharie pour saint Jean-Baptiste, nous pouvons penser pieusement qu’elle n’a pas été déniée à sainte Anne et à saint Joachim, grand-père et grand-mère de l’Homme-Dieu. Disons donc aujourd’hui avec ferveur : « Ô Adonaï, Conducteur de la maison d’Israël, faites croître à la bonne heure, dans la terre stérile de Joachim et d’Anne, ce buisson ardent, le sein de Marie, d’où vous nous devez paraître et nous sauver par l’extension de vos bras en la Croix ! »
Pensez à TÉLÉCHARGER ce MP3 en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@MontfortAJPM:b/Oraison-%C3%A0-Marie:3?lid=065ce26f852426e878116abad706c056a2141414 >>> PAROLES de cette ORAISON à MARIE
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
dont la patience et la sérénité n’ont jamais été altérées par les injures, les calomnies et les contradictions,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
dont la patience et la sérénité
Le deuxième jour de septembre 1616, un commandeur de Malte, outré de colère de ce que notre Père saint François de Sales n’avait pas donné une cure à un ecclésiastique qu’il avait recommandé au concours, entra brusquement et incivilement dans la chambre du saint Évêque. Il n’est sorte de reproches, de menaces et d’injures qu’il ne vomît contre ce Prélat, qui l’écouta, son bonnet à la main, quoique l’autre eût son chapeau sur la tête ; et, quand il eut fini son injurieux discours, il sortit promptement, comme il était entré, sans donner le loisir au bon Évêque de lui dire une seule raison. Ceux qui se trouvèrent présents furent fort indignés de ce procédé et disaient qu’il en fallait avoir justice ; mais le Saint leur imposa silence et leur dit : « Au contraire, je dois lui savoir bon gré de m’avoir ôté la peine d’opposer les raisons de la justice aux déraisons de son désir. » Monsieur son frère lui demandant s’il était possible que sa colère ne se fût point émue, le Saint, qui ne savait ni feindre ni mentir, lui déclara qu’alors et souvent la colère bouillait dans son cerveau comme l’eau sur le feu ; mais que, par la divine grâce, quand il devrait périr par la violence de sa résistance à cette passion, que son naturel sanguin et colérique allumait en sa partie inférieure, il ne dirait jamais un mot en sa faveur, et que c’est l’ouvrage particulier de la perfection intérieure de suffoquer les passions et de les étrangler à leur premier abord, comme le jeune David égorgeait les lions et les ours qui voulaient attaquer son troupeau.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »