Regardez aujourd’hui la très-sainte Vierge sommeillant dans son berceau ; elle est plutôt ravie qu’endormie, et je crois que l’Époux divin la voyait en cet état, lorsqu’il disait : N’éveillez pas ma Bien-Aimée jusqu’à ce qu’elle le veuille bien ;
c’est-à-dire, ô sainte Anne ! jusqu’à ce que vous aperceviez, par
quelque soupir amoureux qui sortira de sa sainte bouche, qu’il est temps
de donner une trêve apparente à sa divine contemplation. Sainte Vierge,
votre berceau était moins le lieu de votre repos que votre oratoire ; mais vous avez voulu m’enseigner de bonne heure que tous les lieux sont bons à la prière, quand l’âme s’applique à Dieu intérieurement. Et, comme nous disait notre vénérable Mère de Chantal : Il ne faut pas toujours être à genoux pour faire l’oraison ; elle se peut faire en tous lieux, en tous temps, au lit, au berceau et partout.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "AIMÉ SOIT le SACRÉ-CŒUR !", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/aim%C3%A9-soit-le-sacr%C3%A9-c%C5%93ur:9?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, modèle d’humilité et imitateur de la pureté des Anges,priez pour nous.
Regardez aujourd’hui la très-sainte Vierge sommeillant dans son berceau ; elle est plutôt ravie qu’endormie, et je crois que l’Époux divin la voyait en cet état, lorsqu’il disait : N’éveillez pas ma Bien-Aimée jusqu’à ce qu’elle le veuille bien ;
c’est-à-dire, ô sainte Anne ! jusqu’à ce que vous aperceviez, par
quelque soupir amoureux qui sortira de sa sainte bouche, qu’il est temps
de donner une trêve apparente à sa divine contemplation. Sainte Vierge,
votre berceau était moins le lieu de votre repos que votre oratoire ; mais vous avez voulu m’enseigner de bonne heure que tous les lieux sont bons à la prière, quand l’âme s’applique à Dieu intérieurement. Et, comme nous disait notre vénérable Mère de Chantal : Il ne faut pas toujours être à genoux pour faire l’oraison ; elle se peut faire en tous lieux, en tous temps, au lit, au berceau et partout.
Pensez à TÉLÉCHARGER cette vidéo du Cantique du R.P. Jules Chevalier "AIMÉ SOIT le SACRÉ-CŒUR !", en cliquant sur les 3 points de suspension sous le titre, ici : https://odysee.com/@CantiquesAnciens:4/aim%C3%A9-soit-le-sacr%C3%A9-c%C5%93ur:9?lid=ca2b0d2104e92ba4fcad187706285c9b7b6b922a (les paroles sont dans le descriptif de la vidéo)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales, modèle d’humilité et imitateur de la pureté des Anges,priez pour nous.
Regardez aujourd’hui la très-sainte Vierge sommeillant dans son berceau ; elle est plutôt ravie qu’endormie, et je crois que l’Époux divin la voyait en cet état, lorsqu’il disait : N’éveillez pas ma Bien-Aimée jusqu’à ce qu’elle le veuille bien ; c’est-à-dire, ô sainte Anne ! jusqu’à ce que vous aperceviez, par quelque soupir amoureux qui sortira de sa sainte bouche, qu’il est temps de donner une trêve apparente à sa divine contemplation. Sainte Vierge, votre berceau était moins le lieu de votre repos que votre oratoire ; mais vous avez voulu m’enseigner de bonne heure que tous les lieux sont bons à la prière, quand l’âme s’applique à Dieu intérieurement. Et, comme nous disait notre vénérable Mère de Chantal : Il ne faut pas toujours être à genoux pour faire l’oraison ; elle se peut faire en tous lieux, en tous temps, au lit, au berceau et partout.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Saint François de Sales,
Le 13 septembre 1594, notre Père saint François de Sales fit la revue de son âme par une confession extraordinaire, « Afin d’aller, disait-il, avec le plus d’humilité et de pureté qu’il lui serait possible combattre l’orgueil et la sensualité des hérétiques. » Monsieur son père ne le voulut point voir, parce qu’il répugnait absolument à son emploi apostolique, duquel il l’avait voulu divertir par tous les efforts imaginables, sans avoir pu ébranler sa généreuse résolution. Le soir, il dit adieu à Madame sa vertueuse mère fort en secret, et passa une partie de la nuit en oraison avec son cher cousin et coadjuteur Louis de Sales.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »