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« Le démon met tout en œuvre
pour faire perdre aux âmes
la dévotion à la Mère de Dieu,
car, ce canal des grâces une fois coupé,
il réussit facilement à s’emparer de l’âme elle-même. »
« Le démon met tout en œuvre
pour faire perdre aux âmes
la dévotion à la Mère de Dieu,
car, ce canal des grâces une fois coupé,
il réussit facilement à s’emparer de l’âme elle-même. »
« À Barcelone, en Espagne,
saint Joseph Oriol, prêtre,
bénéficier de l'église de Sainte-Marie-des-Rois.
Il s'est rendu célèbre par la pratique de toutes les vertus,
surtout par la rigueur avec laquelle il traitait son corps,
par le culte de la pauvreté,
par sa charité envers les pauvres et les infirmes.
Illustre par les miracles opérés
pendant sa vie et après sa mort,
il a été canonisé par le Pape saint Pie X. »
* * *
NEUVAINE au SACRÉ-CŒUR de JÉSUS
pour se préparer
à chaque premier Vendredi du mois
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* * *
TRADUCTION du STABAT MATER
(cantique de St Alphonse de Liguori)
(à
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Chant : Jean-Myriam Chevalier
Mélodie & accompagnement : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 9 novembre 2015
« Debout la Mère de douleurs
Près de la Croix fondait en pleurs,
Contemplant son Fils unique ;
Son Cœur désolé gémissait,
Et la douleur le transperçait
Par le glaive prophétique. »
La Dévotion aux Douleurs de Marie + tous ses Cantiques :
https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/03/notre-dame-des-7-douleurs-vendredi-de.html
* * *
Le MONDAIN DÉSABUSÉ
sur le canon de Pachelbel
(cantique attribué à St Louis-Marie Grignion de Montfort)
(à
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1- En secret le Seigneur m'appelle
Et me dit : « Donne-moi ton cœur ! »
Ô mon Dieu, vous voilà vainqueur :
Je vous serai toujours fidèle !
Ô mon Dieu, vous voilà vainqueur,
Le monde n'est qu'un perfide, un trompeur !
2- Tout finit, tout nous abandonne,
Les plaisirs s’en vont et les jeux.
Vous, Seigneur, n’êtes pas comme eux :
Prenez mon cœur, je vous le donne !
Vous, Seigneur, n’êtes pas comme eux.
Pour vous seront désormais tous mes vœux !
3- Malheureux qui veut plaire aux hommes !
On n’a pas toujours leur faveur.
Mais pour être amis du Sauveur,
Dès que nous voulons, nous le sommes ;
Mais pour être amis du Sauveur,
En un moment on obtient ce bonheur.
4- L’amitié n’est plus qu’un langage,
C’est en vain qu’on en fait serment.
Je ne vois que déguisement,
Que des gens qui font personnage ;
Je ne vois que déguisement :
On dit qu’on aime et l’on hait très souvent.
5- Tout est plein de ruse et d’adresse,
La mode est de nuire avec art.
Tel pour vous a beaucoup d’égard,
Il vous sourit, il vous caresse ;
Tel pour vous a beaucoup d’égard,
Qui doucement enfonce le poignard.
6- Ah ! Seigneur, dans votre service,
On n’a point de fâcheux retours,
On ne craint aucuns mauvais tours
De la brigue ou de l’artifice,
On ne craint aucuns mauvais tours,
On voit couler tranquillement ses jours.
7- Vous fixez notre inquiétude :
Vous pouvez seul nous contenter !
Votre joug est doux à porter,
Celui du monde est bien plus rude ;
Votre joug est doux à porter,
À peu de frais le ciel peut s’acheter.
8- Le monde nous promet merveilles,
L’abord n’est qu’éclat, que beauté.
Mais après qu’il nous a flatté,
Quel est le fruit de tant de veilles ?
Mais après qu’il nous a flatté,
On voit trop tard qu’il n’est que vanité.
9- Le monde n’est jamais paisible :
Cette mer ne peut se calmer.
Ah ! j’ai pu m’en laisser charmer,
Et pour Dieu seul être insensible !
Ah ! j’ai pu m’en laisser charmer,
Et j’ai vécu, Seigneur, sans vous aimer !
10- Ancienne, mais toujours nouvelle,
Ancienne et nouvelle Beauté,
Je vous ai longtemps résisté,
J’étais un ingrat, un rebelle ;
Je vous ai longtemps résisté,
Enfin, mon Dieu, vous l’avez emporté.
11- Que sans Dieu l’on est misérable !
Rien sans lui ne nous parait doux,
Mais sitôt qu’il est avec nous,
La peine même est agréable ;
Mais sitôt qu’il est avec nous,
D’un mauvais sort on ne craint plus les coups.
12- Loin du monde en quelque retraite,
Que l’on goûte une heureuse paix !
Que mon cœur sent de doux attraits
Pour une vie aussi parfaite !
Que mon cœur sent de doux attraits
Pour vous y suivre et servir désormais !
Et me dit : « Donne-moi ton cœur ! »
Ô mon Dieu, vous voilà vainqueur :
Je vous serai toujours fidèle !
Ô mon Dieu, vous voilà vainqueur,
Le monde n'est qu'un perfide, un trompeur !
2- Tout finit, tout nous abandonne,
Les plaisirs s’en vont et les jeux.
Vous, Seigneur, n’êtes pas comme eux :
Prenez mon cœur, je vous le donne !
Vous, Seigneur, n’êtes pas comme eux.
Pour vous seront désormais tous mes vœux !
3- Malheureux qui veut plaire aux hommes !
On n’a pas toujours leur faveur.
Mais pour être amis du Sauveur,
Dès que nous voulons, nous le sommes ;
Mais pour être amis du Sauveur,
En un moment on obtient ce bonheur.
4- L’amitié n’est plus qu’un langage,
C’est en vain qu’on en fait serment.
Je ne vois que déguisement,
Que des gens qui font personnage ;
Je ne vois que déguisement :
On dit qu’on aime et l’on hait très souvent.
5- Tout est plein de ruse et d’adresse,
La mode est de nuire avec art.
Tel pour vous a beaucoup d’égard,
Il vous sourit, il vous caresse ;
Tel pour vous a beaucoup d’égard,
Qui doucement enfonce le poignard.
6- Ah ! Seigneur, dans votre service,
On n’a point de fâcheux retours,
On ne craint aucuns mauvais tours
De la brigue ou de l’artifice,
On ne craint aucuns mauvais tours,
On voit couler tranquillement ses jours.
7- Vous fixez notre inquiétude :
Vous pouvez seul nous contenter !
Votre joug est doux à porter,
Celui du monde est bien plus rude ;
Votre joug est doux à porter,
À peu de frais le ciel peut s’acheter.
8- Le monde nous promet merveilles,
L’abord n’est qu’éclat, que beauté.
Mais après qu’il nous a flatté,
Quel est le fruit de tant de veilles ?
Mais après qu’il nous a flatté,
On voit trop tard qu’il n’est que vanité.
9- Le monde n’est jamais paisible :
Cette mer ne peut se calmer.
Ah ! j’ai pu m’en laisser charmer,
Et pour Dieu seul être insensible !
Ah ! j’ai pu m’en laisser charmer,
Et j’ai vécu, Seigneur, sans vous aimer !
10- Ancienne, mais toujours nouvelle,
Ancienne et nouvelle Beauté,
Je vous ai longtemps résisté,
J’étais un ingrat, un rebelle ;
Je vous ai longtemps résisté,
Enfin, mon Dieu, vous l’avez emporté.
11- Que sans Dieu l’on est misérable !
Rien sans lui ne nous parait doux,
Mais sitôt qu’il est avec nous,
La peine même est agréable ;
Mais sitôt qu’il est avec nous,
D’un mauvais sort on ne craint plus les coups.
12- Loin du monde en quelque retraite,
Que l’on goûte une heureuse paix !
Que mon cœur sent de doux attraits
Pour une vie aussi parfaite !
Que mon cœur sent de doux attraits
Pour vous y suivre et servir désormais !
Fichier PDF des Paroles de ce cantique :
+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/djao2-Le_mondain_desabuse_cantique_montfortain_.pdf
Toutes
les versions chantées :
« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :