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« Toutes les plus grandes peines
deviennent douces
à qui regarde Jésus-Christ sur la Croix. »
« Toutes les plus grandes peines
deviennent douces
à qui regarde Jésus-Christ sur la Croix. »
« En Perse,
les saints frères et martyrs Jonas et Barachise,
sous Sapor, roi des Perses.
Jonas, ayant été pressé sous une vis,
eut tous les os brisés,
et fut scié par le milieu du corps ;
l'autre fut suffoqué avec de la poix ardente
dont on lui avait rempli la bouche. »
* * *
Le ROSAIRE
14- L'Ascension
sur les Ave Maria de Lourdes & Fatima
(à retrouver ICI dans la Playlist "Intégral Ave Maria")
Interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : mars 2016
Enregistrement : mars 2016
Fichier PDF
des 6 Cantiques du Rosaire ici :
des 6 Cantiques du Rosaire ici :
+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/cu13d-Les_15_mysteres_du_Rosaire_Ave_Maria_de_Lourdes_Fatima_.pdf
Toutes
les versions chantées :
* * *
LES OUTRAGES FAITS AU SAINT-SACREMENT
(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)
1ère version
du troisième Intégral :
(à
retrouver ici : https://gloria.tv/track/8WEsQUo12d2P3x6dERxAv4Rew
Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 2009
1- Écoutez ma juste plainte,
Amantes de mon Sauveur ;
Je vais vous dire sans crainte
Les sentiments de mon cœur :
On oublie, on abandonne
Jésus au Saint-Sacrement !
L’on n’y voit presque personne,
Je le dis en soupirant.
2- Les maisons des grands sont pleines
D’un très grand nombre de gens
Qui n’ont souvent pour leurs peines
Que la perte de leur temps ;
Mais l’église est délaissée,
Son séjour est ennuyeux :
Une heure y semble une année...
Ah ! pleurez, pleurez, mes yeux !
3- Voyez-vous le Roi de gloire
Délaissé sur nos autels
Et banni de la mémoire
De la plupart des mortels ?
Celui qui ravit les anges
Par ses divines splendeurs
Est dans des mépris étranges :
Ah ! coulez, coulez, mes pleurs !
4- Souvent ce tout adorable
Est logé très pauvrement :
L’église semble une étable
Malpropre et sans ornement ;
Tandis que les grands du monde
Ont chez eux tout bien paré,
Rien n’y manque, tout abonde,
Tout reluit, tout est doré.
5- Tout est dans un grand silence
Dedans la chambre des rois,
On révère leur présence,
Leurs paroles sont des lois ;
Tandis qu’on voit l’homme impie
Sans respect devant son Dieu
Et par son immodestie
Déshonorer son saint lieu !
6- Ce meilleur de tous les maîtres,
Après avoir tout donné,
Est, par mille et mille traîtres,
Trahi, moqué, profané :
On lui donne pour demeure
Celle même du démon,
Où son Cœur souffre à toute heure
Une amère passion !
7- On a vu les hérétiques
Renverser les lieux sacrés,
Et malgré les catholiques
Fouler l’Hostie à leurs pieds !
Voilà comme l’homme offense
Son aimable bienfaiteur !
Je frémis lorsque j’y pense :
Quel sensible crève-cœur !
8- Quoi ! peut-on être insensible
À ces mépris, ces abus ?
Non, non, il n’est pas possible,
Pleurons donc ce doux Jésus !
Rendons-lui souvent visite
Au lieu de tant de chrétiens :
Son Cœur nous en sollicite,
Il nous veut combler de biens.
9- Pour réparer ces outrages,
Aimons-le d’un grand amour !
Rendons-lui tous mille hommages,
Allons lui faire la cour ;
Faisons amende honorable
À son Cœur si méprisé,
Puisque ce Cœur très aimable
S’est pour nous tout épuisé !
10- Régnez partout, puissant Maître,
Même au Très Saint-Sacrement !
Grand Dieu, faites-vous connaître,
Car enfin n’est-il pas temps ?
Empêchez qu’on vous aborde
Pour vous couvrir de mépris,
Et faites miséricorde
À nos cœurs vraiment contrits.
11- Puisque nos biens sont les vôtres,
Les ayant reçus de vous,
Que vos mépris soient les nôtres
Et qu’ils retombent sur nous !
Pour réparer tous ces crimes,
Voilà nos cœurs, prenez-les !
Pour les rendre des victimes
Aux pieds de vos saints autels.
12- Vous, soyez loué sans cesse,
Jésus au Saint-Sacrement !
Chacun vous y reconnaisse
Pour notre Dieu Tout-Puissant !
Ô Jésus miséricorde !
Pour cet oubli, ces mépris ;
Ô Jésus miséricorde !
Exaucez les cœurs contrits.
« Ô Jésus, présent dans la Sainte Eucharistie,
je vous adore et je vous désire.
Venez dans mon cœur par votre grâce,
en attendant d’y venir par votre Sacrement. »
je vous adore et je vous désire.
Venez dans mon cœur par votre grâce,
en attendant d’y venir par votre Sacrement. »
Saint Alphonse vous répond ici :
* * *
LES JEUX DE HASARD
(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)
1ère version
du troisième Intégral :
Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :
Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 2012
Enregistrement : 2012
1- Le jeu, de soi, n’est pas un mal,
Il ne contient rien de fatal,
C’est bien tout le contraire :
C’est une récréation
Sans effort ni contention,
C’est un juste relâchement
Pour travailler plus fortement
Quand il est nécessaire.
2- Dieu n’a pas défendu le jeu
Quand il est fait en temps et lieu,
Sans choquer sa Sagesse ;
Pour se délasser doucement,
Pour se réjouir saintement,
Pour récréer notre prochain,
Pour chasser de soi le chagrin,
Le trouble et la tristesse.
3- Des saints, quoique très sérieux,
Ont joué quelquefois des jeux,
Comme on lit dans l’histoire :
Leur charité les inventait,
Le Saint-Esprit les y portait,
C’était des jeux très innocents,
Charitables compatissants,
Pleins de grâce et de gloire.
4- Voici les qualités du jeu
Pour être glorieux à Dieu,
Pour être salutaire :
Évitez les jeux de hasard,
Car l’âme s’y perd tôt ou tard.
Les jeux d’esprit sont les meilleurs :
Dieu les aime en ses serviteurs,
Ceux qui jouent pour lui plaire.
5- Le jeu ne doit pas être ardent,
Mais modéré, doux et prudent,
Dans un temps convenable,
Sans dispute, plein de douceur,
Sans injustice, plein d’honneur,
Modeste sans captivité,
Sans intérêt d’iniquité,
Honnête et charitable.
6- Au lieu des cartes et des dés,
Prenez les dames, les échecs
Ou des jeux de la sorte ;
N’y jouez pas à tous moments,
Mais en certains lieux, certains temps,
Avec quelque ami du bon Dieu.
Pour lors, on vous permet le jeu
Et même on vous y porte.
7- Mais combien de jeux défendus !
Combien de gens s’y sont perdus
Sans en voir la malice !
Les jeux du hasard sont trouvés
Par le diable et les réprouvés,
Pour perdre le temps précieux
Donné pour acquérir les cieux
En faisant la justice.
8- Ô temps, ô don du Saint-Esprit,
Ô prix du Sang de Jésus-Christ,
Ô temps d’un prix immense !
Joueur de cartes et de dés,
Quand tu mourras, mille regrets
D’avoir ainsi perdu ton temps
En tes jeux et vains passe-temps,
Sans faire pénitence.
9- Si les damnés dans les enfers
Avaient une heure que tu perds,
Suivraient-ils ta folie ?
On les verrait pleurer, crier,
Jeûner et se mortifier.
Ah ! que feraient-ils s’ils l’avaient ?
Tu l’as, fais donc ce qu’ils feraient,
Le reste de ta vie !
10- Un joueur est toujours troublé,
Inquiet, changeant, déréglé,
De même que sa chance ;
Il perd, par son esprit de gain,
La charité pour le prochain :
Il ne cherche qu’à l’attraper,
Qu’à le surprendre et le tromper,
Sans aucune indulgence.
11- Que de péchés fait un joueur,
Des mains, de la bouche et du cœur,
Sans presque qu’il y pense !
Des blasphèmes, des jurements,
Des cris et des emportements,
Mille mensonges déguisés,
Mille larcins fins et rusés,
La haine et la vengeance.
12- Un joueur passe dans son jeu,
Il n’est plus pour soi ni pour Dieu,
C’est le jeu qui l’entraîne.
Dans le jeu sont tous ses transports,
Toute son âme et tout son corps :
C’est pour lui seul qu’il est actif,
C’est de lui seul qu’il est captif,
C’est sa cruelle chaîne.
13- On croit au jeu gagner du bien,
Mais tant s’en faut : on perd le sien,
C’est ce que l’on éprouve.
L’argent gagné par un joueur,
N’étant point béni du Seigneur,
Tôt ou tard fait mauvaise fin,
Les saints l’appellent un larcin,
Mais le plus fin qu’on trouve.
14- Un joueur ami du brelan
Est un fin voleur de Satan,
Mais voleur véritable
Qui vole ses pauvres enfants,
Sa femme et ses pauvres parents ;
Croyant que son bien est à lui,
Il meurt avec le bien d’autrui,
Ô malheur déplorable !
15- Il est pour Dieu plein de froideur,
Plein de paresse et de tiédeur
Pour le bien de son âme :
La messe dure trop longtemps,
Il s’éloigne des sacrements ;
Méchant, endurci, paresseux,
Il roule, il va de jeux en jeux
Et des jeux dans les flammes.
16- Les joueurs sont des boute-feux,
Des fainéants, des scandaleux
En toute république ;
Ils montrent toute iniquité
En enseignant l’oisiveté.
Ces jeux publics et les brelans
Font périr quantité de gens,
C’est la perte publique !
17- Les rois ont défendu les jeux
Sous des châtiments rigoureux,
Comme une fine peste.
Les Conciles par leurs canons,
Les saints Pères par leurs raisons
Lancent anathèmes contre eux.
Malgré tout, le monde en tous lieux
Met le poison funeste.
18- Monde trompeur, retire-toi !
Tu ne me feras pas la loi
Par tes jeux diaboliques.
Avec toi jamais, nulle part !
Malheur à tes jeux de hasard !
Malheur même à tous tes joueurs !
Afin d’éviter leurs malheurs,
J’évite leurs pratiques.
* * *
CHAPELET INSTRUMENTAL :
3ème DIZAINE
(10 "JE VOUS SALUE, MARIE")
(à
retrouver ici : https://gloria.tv/track/6gFJsdjLMyQXDEWXtGP3q9eks
+ Lien direct (après connexion) de TÉLÉCHARGEMENT (DOWNLOAD) audio/vidéo)
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
MYSTÈRES JOYEUX
Interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : septembre 2015
Je vous salue, Marie,Enregistrement : septembre 2015
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
MYSTÈRES JOYEUX
MYSTÈRES DOULOUREUX
MYSTÈRES GLORIEUX
« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :