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« Jamais, ô Marie,
vous ne refuserez de secourir
celui qui se recommande à vous. »
« Jamais, ô Marie,
vous ne refuserez de secourir
celui qui se recommande à vous. »
« La fête de l'archange saint Gabriel,
qui fut envoyé par Dieu
pour annoncer le mystère de l'Incarnation du Verbe. »
LITANIES des 3 Saints ARCHANGES
MICHEL, GABRIEL & RAPHAËL
Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :
https://youtu.be/76OgvuSsDVM
(exemple de site de téléchargement :
https://www.onlinevideoconverter.com/fr/video-converter )
PAROLES ici :
https://montfortajpm.blogspot.fr/2015/10/saint-raphael-24-octobre.html
« En Suède,
sainte Catherine, vierge,
fille de sainte Brigitte. »
* * *
Le ROSAIRE
11- Le Crucifiement
sur les Ave Maria de Lourdes & Fatima
(à retrouver ICI dans la Playlist "Intégral Ave Maria")
Interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : février 2016
Enregistrement : février 2016
Fichier PDF
des 6 Cantiques du Rosaire ici :
+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/cu13d-Les_15_mysteres_du_Rosaire_Ave_Maria_de_Lourdes_Fatima_.pdf
Toutes les versions chantées :
https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/10/le-Rosaire-sur-les-Ave-Maria-de-Lourdes-et-Fatima.html
des 6 Cantiques du Rosaire ici :
+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/cu13d-Les_15_mysteres_du_Rosaire_Ave_Maria_de_Lourdes_Fatima_.pdf
Toutes les versions chantées :
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* * *
Le BON MISSIONNAIRE
(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)
(à
télécharger ici : https://gloria.tv/track/DFnbka6boBGn2RCKm7iryDxLu
Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 2005
1- Je cours parmi le monde
Comme un enfant perdu,
Ne voulant, quoiqu’il gronde,
Ni bien ni revenu.
R./ En n’ayant rien,
Je possède tout bien.
Tout mon valant,
C’est d’être obéissant.
31- Si l’on me calomnie,
Je dis : « Dieu soit béni ! »
Si quelqu’un m’injurie,
Je lui dis : « Grand merci. »
32- La Croix est ma richesse,
La Croix est mon plaisir,
La Croix est ma maîtresse :
Ou souffrir ou mourir !
33- En tout lieu, je m’écrie :
« Vive toujours Jésus !
Vive toujours Marie !
Dans mon cœur et rien plus ! »
Comme un enfant perdu,
Ne voulant, quoiqu’il gronde,
Ni bien ni revenu.
R./ En n’ayant rien,
Je possède tout bien.
Tout mon valant,
C’est d’être obéissant.
31- Si l’on me calomnie,
Je dis : « Dieu soit béni ! »
Si quelqu’un m’injurie,
Je lui dis : « Grand merci. »
32- La Croix est ma richesse,
La Croix est mon plaisir,
La Croix est ma maîtresse :
Ou souffrir ou mourir !
33- En tout lieu, je m’écrie :
« Vive toujours Jésus !
Vive toujours Marie !
Dans mon cœur et rien plus ! »
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À NOTRE-DAME de MENDE
sur les Ave Maria de Lourdes & Fatima
(à retrouver ici : https://gloria.tv/track/8C272i2MTyH7BrAAXmwpmjTiA
Interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : septembre 2015
Enregistrement : septembre 2015
1- Mende, au premier âge,
Grâce à saint Martial,
Vous offrit l’hommage
D’un cœur tout filial.
R./ Ave, ave, ave Maria !
Ave, ave, ave Maria !
* * *
LES MALHEURS DU MONDE
2/3
(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)
Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :
https://youtu.be/Aux136HLAms
Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 2013
Enregistrement : 2013
Deuxième Partie
TROISIÈME MALHEUR :
(Il est tout pénétré de malice et l’ennemi de la vertu)
15- Pour détruire leur sainteté
Il se sert de mille malices ;
Pour les tourner de son côté,
Il invente mille injustices.
Mon Dieu, qu’il en a supplanté
Par ses pièges d’iniquité !
16- Il couvre, mais très finement,
Le péché de la vertu même :
Pour le faire entrer doucement
Il flatte, il proteste qu’il aime.
Par ses sourires, ce trompeur
Enfonce un poignard dans le cœur !
17- Le monde est le grand boute-feux
Et le grand instrument des diables
Pour autoriser en tous lieux
Les crimes les plus détestables :
Les mondains nomment scrupuleux
Tous ceux qui ne font pas comme eux.
18- Il sème l’orgueil chez les grands,
La mollesse et la suffisance ;
L’ignorance chez les paysans,
L’ivrognerie et médisance ;
L’envie et les divisions
Jusque dans la religion !
19- L’injustice dans les palais,
Dans les lieux publics, les scandales ;
Dans les lits et les lieux secrets,
Les impuretés les plus sales ;
Dans l’église et dans les lieux saints,
L’insolence des libertins !
20- La mollesse et l’oisiveté
Et le luxe parmi les dames,
Le babil et la vanité
Parmi presque toutes les femmes,
L’avarice chez les marchands
Et l’orgueil parmi les savants.
21- Dans les soldats, les jurements,
Les blasphèmes, les violences ;
Partout mille dérèglements,
Les jeux, les bals, les insolences :
De ces péchés tout est rempli,
Le sage même en est sali !
22- Que dis-je, hélas ! je dis trop peu,
Homme et garçon et fille et femme
Sont brûlés presque tous du feu
De sa concupiscence infâme !
Il met partout la vanité,
Presque partout l’impureté.
23- Le monde étant sur son déclin,
Il n’est que crime et qu’injustice :
Il n’a jamais été si fin,
Ni si pénétré de malice ;
Qui sait pécher plus en secret :
Il passe pour le plus discret.
QUATRIÈME MALHEUR :
(Le monde est aveugle)
24- Le monde est dans l’aveuglement
Et le malheureux se croit sage,
Il est dans l’endurcissement :
Quiconque le reprend, l’outrage...
Hélas ! il ne voit ni n’entend,
C’est ce qui rend son mal très grand.
25- Ne prend-il pas le mal pour bien,
L’utile pour le dommageable,
Pour un bonheur, ce qui n’est rien,
Et pour faux, un bien véritable,
Tant ses erreurs l’ont aveuglé,
Tant ses péchés l’ont déréglé.
26- Il ne sait point la vanité
Des biens que la terre présente,
Il ignore la cruauté
De l’esprit malin qui le tente :
Comme il ne voit que par ses sens,
Il juge mal des biens présents.
27- Il craint un fantôme trompeur ;
Si Dieu menace, il est sans crainte !
Il est sans loi, sans foi, sans peur
Devant cette Majesté sainte :
Il ne craint point ses jugements
Ni ses terribles châtiments.
28- Ses jugements sont renversés :
Il croit que les fous sont des sages ;
Que les sages sont insensés,
Des bigots, de sots personnages,
Et comme il croit très clairement,
Il décide tout hardiment.
29- Cet aveugle est fier et hardi !
Il ne veut pas qu’on le reprenne
Quoiqu’il soit un grand étourdi :
À le reprendre, on perd sa peine.
Il est, ainsi qu’il est écrit,
Incapable du Saint-Esprit.
30- Chose étonnante, il ne peut pas
Recevoir aucune lumière :
Il restera jusqu’au trépas,
Ainsi que le diable son père,
Impie, orgueilleux, scandaleux,
Aveugle, endurci, malheureux !
CINQUIÈME MALHEUR :
(Il est un scandaleux)
31- Oui malheur au monde, a dit Dieu,
Parce qu’il cause du scandale ;
Il vomit sans cesse en tout lieu
Contre tous sa rage infernale,
Tout homme en est scandalisé,
Le sage comme l’insensé.
32- Dans les métiers et les emplois,
Qu’on voit d’appâts épouvantables
Dont le monde s’est fait des lois
Pour damner plusieurs misérables !
Mais ses scandales sont si fins
Qu’il trompe même les plus saints.
33- Sous l’appât il met l’hameçon
Qui perd l’âme sans qu’elle y pense,
Il mêle en son vin le poison
Qui forme la concupiscence ;
Sous un seul mot dit en riant,
Il cache un poison très criant.
34- Il couvrira l’impureté
D’une fine plaisanterie,
Le luxe de la vanité,
De propreté, de modestie ;
L’avarice et l’orgueil du cœur
D’un bon ménage et point d’honneur...
35- Il fait tirer l’arc aux pécheurs
Contre les âmes innocentes ;
Pour percer leurs yeux et leurs cœurs
En mille façons différentes :
Il forme des pièges malins
De leurs yeux, leur bouche et leurs mains.
36- Il a tant d’adresse à tromper,
L’amorce est si belle et si tendre,
Qu’à peine peut-on l’échapper,
Qu’à peine peut-on s’en défendre :
Heureux celui qui s’est enfui
Dans un désert bien loin d’ici.
SIXIÈME MALHEUR :
(Ses richesses sont vaines et trompeuses)
37- Il promet à ses sectateurs
Honneurs, plaisirs, biens périssables
Qui sont au fond des biens trompeurs,
Qui ne font que des misérables.
Ô vanité des vanités !
La plus grande des vérités.
38- Qu’est-ce que tout l’or et l’argent
Et les richesses qu’on appelle ?
Un morceau de terre changeant
Dont la surface paraît belle,
Un morceau de terre doré,
Un métal un peu plus lustré.
39- L’argent est un bien passager,
Il veut toujours changer de maître ;
Quand on l’empêche de changer
Il devient le plus cruel traître,
Quand il est longtemps conservé
Il est un poison réservé.
40- Quelques dépouilles d’animaux,
Des morceaux de boue et de plâtre,
Quelques bois coupés en morceaux,
Une terre blanche et jaunâtre,
Voilà les plus grands biens des fous
Et qui les damnent presque tous.
41- On les perd par mille accidents,
Un voleur les pille ou les mange,
Une rouille se met dedans ;
Que leur changement est étrange !
Il ne durent qu’un seul moment
Pour les perdre éternellement.
42- Voyez-vous ce riche Crésus
Que son argent rend honorable ?
Il perdra bientôt ses écus,
Il mourra comme un misérable.
Qu’emportera-t-il de son bien ?
Hélas ! un linceul ; hélas ! Rien.
43- Tous ces biens ont je ne sais quoi
De pernicieux et funeste ;
Ils cachent un poison chez soi,
Qui nous souille et qui nous empeste,
C’est ce que la foi nous apprend,
C’est ce que le sage comprend.
44- Ces biens passés de main en main
Ont damné l’impie et l’avare,
Ont contracté tant de venin
Qu’à peine un sage s’en sépare.
Ce qui fait que la vérité
Les nomme : dieu d’iniquité.
45- Dès lors qu’on veut les acquérir,
Dès lors on pèche, on est coupable,
Puisque, quand on veut s’enrichir,
On est pris au piège du diable.
Si c’est un mal de les vouloir,
Que sera-ce de les avoir ?
46- Ces biens sont la poix et la glu
Pour lier et perdre les âmes,
Leur pouvoir est comme absolu
Pour les précipiter aux flammes,
À peine peut-on les toucher
Sans s’y coller, sans y pécher.
47- La plus grande difficulté,
Et la plus grande que je sache,
Est d’acquérir la sainteté
En les possédant sans attache :
C’est un effort miraculeux,
C’est un prodige merveilleux !
« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :