mardi 5 avril 2016

Dernières mises en ligne _ Ste Catherine Thomas & Ste Julienne du Mont-Cornillon

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« Tenons pour certain que, 
comme elle est plus puissante 
que tous les Saints auprès de Dieu, 
Marie est aussi plus zélée que tous 
pour notre salut. »

(Saint Alphonse de Liguori)

LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS


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« À Palma dans l'île de Majorque,
la naissance au ciel de sainte Catherine Thomas,
vierge, chanoinesse régulière de l'Ordre de saint Augustin ;
 elle a été inscrite parmi les saintes Vierges par le Pape Pie XI. »

(Le Martyrologe Romain au 5 avril)
 





À Liège en Belgique,
sainte Julienne, vierge,
prieure des Augustines hospitalières de Mont-Cornillon,
et promotrice de la fête du Saint-Sacrement.

(fêtée le 5 avril)


8 Cantiques au Saint-Sacrement

(les vidéos se suivent)

de St Louis-Marie Grignion de Montfort :


1) Premier Intégral


2) Deuxième Intégral


3) Troisième Intégral


La sainte pratique de la COMMUNION SPIRITUELLE par St Alphonse de Liguori




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  Le FOREZ à LOURDES

  sur les Ave Maria de Lourdes & Fatima

 

 

Interprète : Gilbert Chevalier (aveugle) 
Enregistrement : septembre 2015

  

  1- Des bords de la Loire,
Nous venons joyeux
Et pour votre gloire
Vous offrir nos vœux.


R./ Ave, ave, ave Maria !
    Ave, ave, ave Maria !

  


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Le SERVICE de DIEU en ESPRIT et en VÉRITÉ

  (cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)

   



Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 2006



1- Servons Dieu, mais sans aucun partage,
Car un cœur qui partage périt.
« Tout ou rien ! » dit Dieu dans son langage.
« Quelque peu, dit Satan, me suffit. »

2- Donnez tout, c’est Dieu qui le réclame :
« Je suis Maître absolu de tout bien.
Tout le cœur, tout l’esprit, toute l’âme :
Donnez tout, ou ne me donnez rien.

3- « Jusqu’au vif, ce partage me touche,
Je ne puis souffrir un cœur perclus :
Je vomis le tiède de ma bouche
Et jamais je ne le reprends plus. »

4- Lui donner un demi-sacrifice,
Partager en deux son petit cœur,
Quel larcin, quelle horrible injustice,
Quel mépris de ce puissant Seigneur !

5- Quoi ? ce cœur, si petit en soi-même
Qu’un oiseau n’en serait pas content,
Est trop grand pour ce grand Dieu qui l’aime ?
Grand mépris d’un Monarque si grand !

6- Ce bon Dieu, par un amour immense,
Donne tout, promet tout ce qu’il est :
Donnons tout, c’est la reconnaissance
Qu’il demande, et pour notre intérêt.

7- On ne peut, c’est un divin oracle,
Bien servir deux maîtres à la fois,
Puisqu’ils font l’un à l’autre un obstacle,
Puisqu’ils ont de différentes lois.

8- On se perd, quand on prend la méthode
De mêler l’or et l’argent à Dieu,
D’allier l’Évangile à la mode :
Fuyons donc ce funeste milieu !

9- Très souvent le Seigneur nous imite :
Il est saint avec ceux qui sont saints ;
Partageons : Dieu partage et limite ;
Donnons tout : il donne à pleines mains.

10- Veillons-nous ? Il ne dort point, il veille.
L’aimons-nous ? Il brûle, il est en feu !
Dormons-nous ? Il est froid, il sommeille :
Notre peu l’oblige à donner peu.

11- Qui fait un péché considérable
Transgresse tous les commandements,
Perd le ciel et devient tout coupable
De l’enfer et de tous ses tourments.

12- Vous péchez, la faute est peu de chose,
Mais hélas ! sans en faire d’état ;
De là naît cette métamorphose
Où le saint devient un scélérat.

13- Pour un rien être à son Dieu rebelle,
Pour un rien le mettre en compromis,
Pour un rien le mettre en parallèle :
Ce n’est plus être de ses amis !

14- Tout d’un coup on ne va pas au crime,
Tout d’un coup le bon n’est pas méchant,
Mais l’abîme attire un autre abîme
Pour avoir trop suivi son penchant.

15- C’est un rien où l’on n’est pas fidèle :
On néglige un petit règlement,
Puis on est infidèle et rebelle,
Puis on tombe en l’endurcissement.

16- Un article, un seul point de pratique
Négligé, combattu, rejeté,
A formé l’impie et l’hérétique
Et conduit à toute iniquité.

17- Un défaut qu’on flatte avec attache
Est souvent l’écueil des plus grands saints :
Souvent c’est où le Seigneur attache
Leur salut et ses plus grands desseins.

18- Loin de nous ces personnes flottantes
Qui prennent parti des deux côtés,
Loin de nous ces âmes négligentes :
Malheur sur leurs infidélités !

19- Combattons ces passions malignes,
Cette humeur, ce péché dominant !
Détruisons ces renardeaux des vignes
Qui nous font un dommage étonnant.

20- Mettons donc tout l’esprit à connaître,
Tout le cœur pour aimer ardemment,
Tout le corps pour servir ce grand Maître,
Mais sans cesse et sans ménagement !

21- Tenez bon, ô serviteur fidèle :
Pour avoir été fidèle à peu,
Vous serez dans la vie éternelle
Établi sur tous les biens de Dieu.

22- Je vous prends, ô fidèle Marie,
Après Dieu pour mon original :
Que j’imite en tout temps de ma vie,
Votre Cœur fidèle et libéral !

23- Jamais plus, grand Dieu, de résistance !
J’obéis à vos moindres attraits,
Je soumets à votre obéissance
Tout mon cœur, sans partage, à jamais !






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Les 5 MYSTÈRES JOYEUX

  sur les Ave Maria de Lourdes & Fatima

(première version)

 

(à retrouver ICI dans la Playlist "Intégral Ave Maria")



Interprète : Gilbert Chevalier (aveugle) 
Enregistrement : mars 2016







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LA DANSE ET LE BAL

(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)

3ème version

du troisième Intégral :

 

Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :

https://youtu.be/YQCoEHtvnXQ

(exemple de site de téléchargement :  

https://www.onlinevideoconverter.com/fr/video-converter )

 

Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle) 
Enregistrement : 2014



1- On veut me perdre, Seigneur,
Par le piège de la danse :
Coupez ce piège trompeur
Qu’on tend à mon innocence !
Les mondains dansent malgré vous :
Ô Seigneur, secourez-nous !

2- Voici l’encens de Vénus
Et son école agréable,
Voici le jeu de Bacchus,
Voici le cercle du diable,
Voici sa belle invention
Pour notre perdition.

3- Oui, Satan est l’inventeur
De la danse malheureuse :
Il est le premier auteur
De cette peste joyeuse,
Pour damner bien joyeusement
Et comme insensiblement.

4- À la danse il est le roi :
C’est là qu’on lui fait hommage,
C’est là qu’il donne la loi
D’un joyeux libertinage ;
Il a pris séance en ce lieu,
Il a son trône au milieu.

5- C’est lui qui met tout en train
En ce maudit exercice,
Il y glisse son venin
Et sa flamme et sa malice ;
C’est de lui que vient le désir
Et le funeste plaisir.

6- Il anime les danseurs
À danser, chanter et rire ;
C’est là qu’il gagne leurs cœurs
Et leurs corps à son empire ;
Il en fait tous les mouvements,
Les pas et les tournoiements.

7- Il se glisse dans la voix
Pour chanter de bonne grâce,
Il anime le hautbois
Pour chanter sans qu’il se lasse ;
Il y fait tous les agréments
Et les sons des instruments.

8- Il se glisse dans le corps
Des danseurs et des danseuses
Pour leur donner des transports
De ses flammes amoureuses ;
Il conduit les pieds et les yeux
De ces pauvres malheureux.

9- Leur corps est tout déréglé,
Leur esprit est sans lumière,
Leur cœur est ensorcelé :
C’est ce que le diable opère,
Leur faisant nommer scrupuleux
Ceux qui ne font pas comme eux.

10- Le démon chez les païens
À ce tribut ordinaire,
Il n’en cherche pas les biens,
Mais qu’ils dansent pour lui plaire ;
On tient que Satan leur promet
Pour danser quelque bienfait.

11- Les sorciers dans les sabbats
Ont, dit-on, cette pratique :
Ils font après leurs repas
Une danse diabolique.
C’est l’encens, le culte fatal
De cet esprit infernal.

12- Presque tous les réprouvés
Croient que la danse est permise ;
Mais ceux qui seront sauvés,
Les vrais enfants de l’Église,
L’ont tous en exécration,
En abomination.

13- En parlant en général,
La danse est indifférente,
De soi ce n’est pas un mal,
Elle peut être innocente,
Car David dansa de ferveur
Devant l’arche du Seigneur.

14- Mais pour danser sans pécher,
Il faut tant de circonstances,
Qu’on ne peut pas s’empêcher
D’offenser Dieu dans les danses.
C’est un mal ordinairement,
C’est un grand dérèglement.

15- La façon, le temps, la fin
Et la personne qui danse
Y jette tant de venin
Qu’on y perd son innocence,
Le malheur suit tous les danseurs
Et même leurs spectateurs.

16- Comment vient-on au malheur
De ce fin libertinage ?
Avec poudre de senteur,
Avec fard sur le visage,
Avec des fines nudités,
Le luxe et les vanités.

17- Hélas ! Comment danse-t-on ?
La manière en est infâme,
Tout inspire le poison
D’une très impure flamme :
Ces regards si doux et perçants,
Ces mouvements si pressants.

18- Les pas sont si mesurés,
Les cadences sont si belles,
Les acteurs si bien parés
Et les chansons si nouvelles !
Qui pourrait s’empêcher d’aimer,
De brûler et d’enflammer ?

19- Que dire de ces baisers
Qu’on donne pour la clôture,
De ces cruels messagers
D’une flamme toute impure ?
Sont-ils pas les sceaux du démon
Qu’on n’imprime qu’en son nom ?

20- On sait bien par quels motifs
On danse pour l’ordinaire,
Ils sont cachés, mais lascifs :
On veut aimer, on veut plaire,
Émouvoir ou bien être ému,
Ou voir, ou bien être vu.

21- On danse avec des chansons
Toutes pleines d’amourettes,
On se prend aux hameçons
De ces infâmes sornettes ;
Puis ont dit, quand on a dansé :
« Dieu n’en est point offensé. »

22- On danse aux jours défendus,
Et plus qu’aux jours ordinaires,
Et c’est en ces temps perdus
Que Satan fait ses affaires ;
Et l’on fait du jour du Seigneur
La fête du tentateur.

23- Hélas ! on compte pour rien
Le temps qu’on perd à la danse,
Quoiqu’il soit le plus grand bien,
Quoiqu’il soit d’un prix immense ;
Temps si court, temps si précieux,
Donné pour gagner les cieux.

24- Si la danse en un païen
Est toujours très condamnable,
Que sera-ce en un chrétien ?
Oh ! le crime abominable !
Apostat qui renonce au vœu
Qu’il avait fait à son Dieu !

25- N’avait-il pas renoncé
À toute pompe du diable ?
La danse a toujours passé
Pour la plus considérable.
En dansant, il fait au Seigneur
Un sensible déshonneur.

26- Danseur, masque de chrétien,
Jésus-Christ n’est pas ton maître !
Mais Satan t’a pris pour sien,
Comme un apostat, un traître.
Va, suppôt du malin esprit,
Opprobre de Jésus-Christ !

27- Un criminel en dansant
Va mourir à la potence ;
Dans un danger si pressant
Un soldat qui rit et danse :
Ô folie, ô malheur cruel
D’un danseur tout criminel !

28- Ô grand fou, qui danse au bord
D’un éternel précipice,
Sans appréhender la mort
Ni Dieu même en sa justice !
Ah ! Satan l’a tout aveuglé,
Il tuera ce bœuf vilé.

29- Les danseurs, dans leurs transports
De bras, de pieds et de tête,
Et le reste de leur corps,
Sont moins sages que les bêtes.
Les chevaux sont bien moins fougueux
Et bien plus paisibles qu’eux.

30- L’un et l’autre Testament
Condamnent toutes les danses
Et menacent hautement
Des plus terribles vengeances
Les danseurs et les bateleurs,
Leurs fauteurs et spectateurs.

31- Dieu maudit tous leurs atours,
Leurs parfums et leurs cadences,
Leurs peines pleines d’amours,
Leurs gestes pleins d’imprudence ;
Il défend de les imiter,
De les voir et fréquenter.

32- La danse est même un tyran,
Le plus fin qui soit peut-être ;
Elle a fait mourir saint Jean,
Précurseur de notre Maître.
Ô grand Dieu, qu’elle a fait de morts
Et dans l’âme et dans le corps !

33- Les saints Pères, les docteurs,
Les canons, l’Église même
Ont condamné les danseurs,
Les ont frappés d’anathème,
Aussi bien que les bateleurs,
Les comédiens, les farceurs.

34- Les hommes sont aveuglés
Par la danse, dit un Père,
Les enfants sont déréglés,
Ils méprisent père et mère,
Les femmes y perdent l’honneur
Et la grâce du Seigneur.

35- Les danses font transgresser
Toutes les lois de l’Église,
Elles font aussi briser
Toute la loi de Moïse ;
Un danseur a perdu la foi
Et ne garde plus de loi.

36- Quand on danse en quelque lieu,
Le ciel pleure de tristesse,
Par cette offense de Dieu
L’enfer est dans l’allégresse ;
Tandis que le saint en gémit,
Le pécheur impie en rit.

37- Dieu punit fort fréquemment
Les danseurs, de morts subites,
Vomissant en un moment
Leurs âmes déjà maudites.
Tout d’un coup des bals et des jeux
Ils descendent dans les feux.

38- Va-t’en, monde et tes amis,
Quoi que je vienne de dire,
Dire à tous qu’il est permis
Et de danser et de rire ;
Loin de moi, monde scandaleux !
Adieu, monde malheureux !
 




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