jeudi 16 mai 2019

HISTOIRE du LÉTHARGIQUE qui ne fut point ENTERRÉ VIVANT grâce au SCAPULAIRE par le R.P. Duchaussois

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« Un pape qui aurait été séparé de l’Église par l’hérésie, 
cesserait par cela-même d’être la tête de l’Église
il ne pourrait être hérétique et rester Pape, 
parce qu’étant hors de l’Église, 
il ne peut posséder les clefs de l’Église. 
La raison en est qu’il ne peut pas être la tête 
s’il n’est pas membre. »

(Saint Antonin)

(Ces Paroles sur la pape hérétique, sont à télécharger ici : https://gloria.tv/audio/Vff47Njw7qux2cEq99zmphJsa )

Fichier PDF de ces Paroles relatives au pape hérétique :

http://www.montfortajpm.sitew.fr/fs/Root/dd2dw-Les_Saints_nous_parlent.pdf

+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/dd2dw-Les_Saints_nous_parlent.pdf 

https://montfortajpm.blogspot.com/2016/05/notre-dame-de-fatima-13-mai.html
 

 

 

 CANTIQUES & PRIÈRES pour MAI 2019 :





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NEUVAINE


à NOTRE-DAME AUXILIATRICE


ou MARIE, SECOURS des CHRÉTIENS

(16 - 24 mai) 

 

  Vierge très puissante,
aimable Auxiliatrice du peuple chrétien,
quelle reconnaissance ne vous devons-nous point 

pour l’assistance que vous avez donnée à nos pères, 
quand, menacés par les Turcs infidèles,
ils ont invoqué votre secours maternel
en récitant dévotement le saint Rosaire !
Du haut du Ciel vous avez vu leur danger,
vous avez entendu leur appel avec compassion :
vous avez accueilli favorablement
leur humble prière,
suggérée par le grand Pontife Saint Pie V,
et vous vous êtes hâtée de venir à leur secours.
Ah ! faites, ô Mère chérie,
qu’aujourd’hui encore...

(la suite ici : https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/05/notre-dame-auxiliatrice-ou-marie.html )
 


* * *


HISTOIRE du LÉTHARGIQUE
qui ne fut point ENTERRÉ VIVANT 
grâce au SCAPULAIRE de NOTRE-DAME du MONT-CARMEL

par le R.P. Duchaussois

dans "Apôtres inconnus" (1928)

(à retrouver ICI dans la Playlist "Florilèges")

 

Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)

   Enregistrement : mai 2018

 



             L’honneur de finir ce chapitre revient, nous semble-t-il, à un homme de cœur, dont l’histoire eût maintes fois étonné un romancier d’aventures, et dont tout le bonheur d’ici-bas fut de servir le bon Dieu et les pauvres, au poste de la plus froide solitude et de la plus grande misère : le Frère Guillet.
       Presque illettré, il trouva dans son ardeur surnaturelle et son amour pour sa Famille religieuse la pure éloquence du langage et de la plume.

           Célestin Guillet, né en 1842 à Brains-sur-les-Marches (Mayenne), se trouvait en garnison à Laval, en 1863, lorsqu’il fut atteint de la variole et transporté au lit n°17 de l’hôpital Saint-Julien.

           Dans son délire, il tenta de s’évader, et l’on ne put l’arrêter qu’au seuil de la cour. Comme, dans cette course, il avait pris froid, le mal empira aussitôt ; et, une heure après – onze heures du soir –, l’aumônier l’administra.
          Le soldat n’eut conscience que de la première onction. Durant la nuit, il parut mourir. Mais, dès ce moment même, sans signes extérieurs apparents, la connaissance lui revint et ne le quitta plus.

           Vers dix heures du matin, le médecin-major passa, l’examina et dit à la Sœur qui était de service :

      – Le n°17 mort. Veuillez le faire ensevelir.
      Guillet, dans l’intime de son être, protesta :
      – Mais non ! Vous voyez bien que je ne suis pas mort. Comment avez-vous le cœur assez dur pour m’enterrer avant ma mort ?

      Il pensait crier, s’agiter, se débattre. En fait, son corps restait glacé dans la rigidité cadavérique.

            Comme la Sœur procédait à l’ensevelissement, elle constata un faible reste de chaleur dans le dos, exactement à la place que touchait le pan du Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel. Cette coïncidence la détermina à attendre un peu, en dépit des assurances que lui donnait une autre Sœur, très habituée à discerner les signes de la mort :

      – Il est bien mort, il n’y a pas de doute, affirmait celle-ci.

      Sur quoi, le malade redoublait ses protestations. Mais aucun mouvement visible ne se produisait.

            Le lendemain, le docteur réprimanda la garde-malade :
      – Ah ! ça, ma Sœur ! Est-ce que vous voulez faire des reliques, avec le n°17 ?

           Mais la Sœur, constatant toujours l’apparence de chaleur locale, supplia le docteur de ne pas exiger l’enterrement immédiat et lui demanda même de tâcher à nouveau de ranimer le mort.

             Le huitième jour, au matin, le médecin se laissa fléchir. Il fit une incision à la bouche et donna quelques frictions. Aucun signe de vie ne se manifesta encore.

           Vers six heures de l’après-midi, Guillet poussa un grand cri.

      – Le n°17 est ressuscité, dirent les autres malades à la Sœur qui rentrait.

           Le major, averti, ordonna un traitement restaurateur ; et, le lendemain, un commencement de respiration se produisit. Mais l’état léthargique dura encore six jours.

             Au quinzième jour seulement, le « ressuscité » put articuler ses premières paroles, auxquelles la religieuse répondit (sans rien lui apprendre du reste, tant il avait suivi dans le détail les phases du drame) :
      – C’est à votre Scapulaire que vous devez de n’avoir pas été enterré vivant.

           Voulant témoigner sa reconnaissance à la Très Sainte Vierge, Célestin Guillet pria Dieu de lui faire connaître une Congrégation toute dévouée à la divine Mère et dans laquelle il pourrait La servir, en se sanctifiant.

           Marie lui envoya Mgr Grandin. Conquis par la piété et par la flamme apostolique de l’évêque de Saint-Albert, Guillet demanda d’être aussitôt emmené. C’était en 1867.

           Sur ses instances, on l’envoya faire son noviciat de frère Oblat au lac Caribou (vicariat actuel du Keewatin), mission incomparablement froide, pauvre, isolée où peinait le Père Gasté dans la difficile conversion des Montagnais.

            Le Frère Guillet resta près de quarante ans au lac Caribou, seul à assister le missionnaire dans tous ses travaux.


 

 

De Marie, voulez-vous revêtir
Les incomparables Livrées ?
Voici donc, pour vous faire plaisir
Où vous pourrez les trouver :

https://www.traditions-monastiques.com/fr/scapulaires-tissu-laine-carmel-notre-dame-vert-brun-violet/11-scapulaire-mont-carmel-etoffe-scp2301.html



À L’ÂME FIDÈLE :
« Ton Scapulaire autour du cou,
Porte-le bien toujours,
Et tu arriveras un jour
Où t’attend ton saint Époux. »

>>> Première Partie : Qu'est-ce que le Scapulaire ?
 
>>> Deuxième Partie : Histoire de St Simon Stock

>>> Troisième Partie : Le Scapulaire, Signe de salut

>>> Quatrième Partie : Le Scapulaire, Sauvegarde dans les dangers

>>> Cinquième Partie : Le Scapulaire, Sauvegarde contre le feu
 
>>> Sixième Partie : Le Scapulaire aux enfants

>>> Septième Partie : TOUS DOIVENT PORTER le SCAPULAIRE

>>> Huitième Partie : La Livrée de Marie
 


https://montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-recite-avec-vous.html


« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :