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« L’habitude de réciter fréquemment l’Ave Maria
constitue un signe éminent de prédestination. »
« L’habitude de réciter fréquemment l’Ave Maria
constitue un signe éminent de prédestination. »
(Bienheureux Alain de la Roche)
LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS
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« La naissance au ciel des bienheureux apôtres Philippe et Jacques.
Saint Philippe,
après avoir converti à la foi de Jésus-Christ
presque toute la Scythie,
fut crucifié à Hiérapolis en Asie,
et finit glorieusement sa vie
sous les pierres dont on l'accabla. »
« Saint Jacques,
appelé dans l’Écriture frère du Seigneur,
et premier évêque de Jérusalem,
ayant été précipité du haut du temple,
eut les jambes rompues,
la tête écrasée d'un coup de levier,
et fut enterré au même lieu, près du temple. »
« À Vienne en Dauphiné,
saint Mamert, évêque,
qui, pour détourner des calamités imminentes,
institua en cette ville de solennelles Litanies,
durant les trois jours
qui précèdent l'Ascension de Notre-Seigneur.
L’Église universelle,
ayant depuis reçu ce rite, l'approuva. »
« À Grotaglie, au diocèse de Tarente,
saint François de Girolamo, prêtre et confesseur,
de la Compagnie de Jésus,
qui était doué d'une charité et d'une patience rares
pour travailler au salut des âmes.
Le pape Grégoire XVI l'a mis au nombre des Saints.
Son corps repose, à Naples,
dans la maison professe de la Compagnie,
où sa fête se célèbre avec une grande solennité. »
(Le Martyrologe Romain au 11 mai)
(à
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...
113- Qui cause ce respect humain,
Sinon l’orgueil ou bien l’envie,
Le faste ou l’intérêt mondain,
L’attache aux plaisirs de la vie ?
L’amour du monde dans un cœur
En est le principal auteur.
114- On fait entrer en ce poison
Une promesse, une menace,
Une apparence de raison,
Une critique, une grimace,
Une injure, un vain sobriquet,
Une action qu’on contrefait.
115- Si l’homme n’est pas abattu
Avec toutes ces batteries,
On vient attaquer sa vertu
Des plus piquantes railleries,
Des outrages les plus sanglants
Et des coups les plus accablants.
116- Ce poison partout répandu
A mis toute la terre en flammes,
Il s’est presque partout rendu
Le maître des plus saintes âmes :
Le religieux le plus saint,
Avec le prêtre, en est atteint.
117- Ah ! que c’est un subtil poison
Et qu’il est aisé qu’on le boive !
Dans une apparente raison,
On le prend sans qu’on s’aperçoive :
De l’oreille il va jusqu’au cœur
Et terrasse enfin le pécheur.
118- Serai-je aussi vaincu, Seigneur ?
En ma faveur prenez les armes
Pour vaincre le monde trompeur,
Son respect humain et ses charmes !
Pour vous servir, plus que jamais,
Voici ce que je vous promets :
119- Je veux agir tout simplement,
Selon vous, Divine Sagesse,
Sans art et sans déguisement,
Sans politique et sans finesse,
Sans aucun mépris du prochain,
Mais aussi sans respect humain.
120- Je veux faire profession
D’être dévot, mais véritable ;
D’acquérir la perfection
Autant que j’en serai capable,
Et d’aller à la sainteté
Sans regarder d’aucun côté.
121- Pour cela, sur les pas des saints,
Je veux suivre l’avis d’un sage,
Afin qu’il me prête les mains
À servir mon Dieu sans partage,
Sans aucune indiscrétion
Et sans aucune illusion.
122- Je veux me faire tout à tous
Sans nulle lâche complaisance,
Pour tâcher de les gagner tous
À Jésus par la pénitence :
Tout à tous, sans aucun péché,
Sans que le bien soit empêché.
123- Si le bien est indifférent
Et que quelqu’un s’en scandalise,
Pour lors, comme un homme prudent,
Je m’en abstiendrai sans remise,
De peur que je ne fasse tort
À ceux pour qui Jésus est mort.
124- Je soutiendrai, mais puissamment,
L’homme faible près de sa chute,
Je le reprendrai doucement,
Sans crainte qu’on m’en persécute ;
Mais pour rompre l’iniquité,
J’aurai toute la fermeté.
125- Loin de moi ces vains compliments
Qu’a trouvés la sagesse humaine,
Et tous ces grands raffinements
Qui font aujourd’hui tant de peine,
Qu’on étudie avec grand bruit,
Mais dont on ne tire aucun fruit.
126- Loin de moi ces gens si polis
Avec leurs belles révérences,
Leurs airs galants et si jolis,
Leurs contorsions, leurs cadences :
J’aime beaucoup l’honnêteté,
Mais non pas la mondanité !
127- Loin de moi ces mauvais soldats
Qui craignent quelque mot qui vole,
Et qui mettent les armes bas
Pour quelque petite parole,
Et qui sont tout tremblants de peur
Au moindre fantôme trompeur.
128- Je méprise tout ce qu’on dit
Et tous les mondains axiomes
Comme un langage tout maudit,
Ou du moins comme des fantômes,
Qui semblent d’abord des raisons,
Quoiqu’au fond ce soient des poisons.
129- Le monde parle puissamment
Afin d’inspirer ses maximes :
Il se sert très subtilement
Des vertus, même pour les crimes !
Il a mille détours secrets,
Pour nous prendre dans ses lacets.
Sinon l’orgueil ou bien l’envie,
Le faste ou l’intérêt mondain,
L’attache aux plaisirs de la vie ?
L’amour du monde dans un cœur
En est le principal auteur.
114- On fait entrer en ce poison
Une promesse, une menace,
Une apparence de raison,
Une critique, une grimace,
Une injure, un vain sobriquet,
Une action qu’on contrefait.
115- Si l’homme n’est pas abattu
Avec toutes ces batteries,
On vient attaquer sa vertu
Des plus piquantes railleries,
Des outrages les plus sanglants
Et des coups les plus accablants.
116- Ce poison partout répandu
A mis toute la terre en flammes,
Il s’est presque partout rendu
Le maître des plus saintes âmes :
Le religieux le plus saint,
Avec le prêtre, en est atteint.
117- Ah ! que c’est un subtil poison
Et qu’il est aisé qu’on le boive !
Dans une apparente raison,
On le prend sans qu’on s’aperçoive :
De l’oreille il va jusqu’au cœur
Et terrasse enfin le pécheur.
118- Serai-je aussi vaincu, Seigneur ?
En ma faveur prenez les armes
Pour vaincre le monde trompeur,
Son respect humain et ses charmes !
Pour vous servir, plus que jamais,
Voici ce que je vous promets :
119- Je veux agir tout simplement,
Selon vous, Divine Sagesse,
Sans art et sans déguisement,
Sans politique et sans finesse,
Sans aucun mépris du prochain,
Mais aussi sans respect humain.
120- Je veux faire profession
D’être dévot, mais véritable ;
D’acquérir la perfection
Autant que j’en serai capable,
Et d’aller à la sainteté
Sans regarder d’aucun côté.
121- Pour cela, sur les pas des saints,
Je veux suivre l’avis d’un sage,
Afin qu’il me prête les mains
À servir mon Dieu sans partage,
Sans aucune indiscrétion
Et sans aucune illusion.
122- Je veux me faire tout à tous
Sans nulle lâche complaisance,
Pour tâcher de les gagner tous
À Jésus par la pénitence :
Tout à tous, sans aucun péché,
Sans que le bien soit empêché.
123- Si le bien est indifférent
Et que quelqu’un s’en scandalise,
Pour lors, comme un homme prudent,
Je m’en abstiendrai sans remise,
De peur que je ne fasse tort
À ceux pour qui Jésus est mort.
124- Je soutiendrai, mais puissamment,
L’homme faible près de sa chute,
Je le reprendrai doucement,
Sans crainte qu’on m’en persécute ;
Mais pour rompre l’iniquité,
J’aurai toute la fermeté.
125- Loin de moi ces vains compliments
Qu’a trouvés la sagesse humaine,
Et tous ces grands raffinements
Qui font aujourd’hui tant de peine,
Qu’on étudie avec grand bruit,
Mais dont on ne tire aucun fruit.
126- Loin de moi ces gens si polis
Avec leurs belles révérences,
Leurs airs galants et si jolis,
Leurs contorsions, leurs cadences :
J’aime beaucoup l’honnêteté,
Mais non pas la mondanité !
127- Loin de moi ces mauvais soldats
Qui craignent quelque mot qui vole,
Et qui mettent les armes bas
Pour quelque petite parole,
Et qui sont tout tremblants de peur
Au moindre fantôme trompeur.
128- Je méprise tout ce qu’on dit
Et tous les mondains axiomes
Comme un langage tout maudit,
Ou du moins comme des fantômes,
Qui semblent d’abord des raisons,
Quoiqu’au fond ce soient des poisons.
129- Le monde parle puissamment
Afin d’inspirer ses maximes :
Il se sert très subtilement
Des vertus, même pour les crimes !
Il a mille détours secrets,
Pour nous prendre dans ses lacets.
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* * *
MOIS de MARIE
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-1-
« Celui qui porte le signe de la dévotion à Marie
est reconnu de Dieu comme lui appartenant. »
(Saint Alphonse de Liguori)
* * *
CHEZ NOUS, SOYEZ REINE !
(à
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R./ Chez nous, soyez Reine !
Nous sommes à vous !
Régnez en Souveraine
Chez nous, chez nous !
Soyez la Madone
Qu’on prie à genoux,
Qui sourit et pardonne
Chez nous, chez nous.
1- Nous avons votre image
Chez nous, sur nos autels ;
Et votre doux visage
Est un reflet du Ciel.
2- L’Archange qui s’incline
Vous loue au nom du Ciel.
Donnez la paix divine
À notre cœur mortel.
3- Salut, brillante Étoile
Qui nous montrez les Cieux !
Par vous Dieu se dévoile :
Jetez sur nous les yeux.
4- Votre front qui s’incline
Vers Dieu petit Enfant
De la grâce divine
Est tout resplendissant.
5- Et Jésus qui sommeille
S’abandonne en vos bras :
Il dort, mais son Cœur veille
Et nous parle tout bas.
6- Vous êtes notre Mère :
Daignez à votre Fils,
Offrir l’humble prière
De vos enfants chéris.
7- Salut, ô Notre-Dame !
Nous voici devant vous,
Pour confier nos âmes
À votre Cœur si doux.
8- Bénissez nos prières,
Nos joies et nos douleurs :
Nous vous offrons, ô Mère,
Chacun de nos labeurs.
9- Exaucez-nous, Marie,
Accordez-nous la paix ;
Et sur notre patrie
Répandez vos bienfaits.
10- Gardez, ô Vierge pure,
Ô Cœur doux entre tous
Nos âmes sans souillure,
Nos cœurs vaillants et doux.
11- Dites à ceux qui peinent
Et souffrent sans savoir,
Combien lourde est la haine
Et combien doux l’espoir !
12- Soyez pour nous la Reine
De douce charité ;
Et bannissez la haine
De toute la cité.
13- Le soir quand les fatigues
Alourdissent nos corps
Gardez nos cœurs prodigues
D’amour pur et d’efforts.
14- Lorsque la nuit paisible
Nous invite au sommeil
Près de nous, invisible,
Restez jusqu’au réveil.
15- De vos mains maternelles,
Guidez-nous en chemin
Vers la vie éternelle
Et le bonheur sans fin.
16- À notre heure dernière
Accueillez dans les Cieux,
À la maison du Père
Notre retour joyeux.
Fichier PDF des Paroles de ce cantique :
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+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/dgyks-Chez_nous_soyez_Reine_.pdf
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Toutes
les versions chantée & instrumentale :
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https://youtu.be/R6G8fossHhE* * *
Saint JOSEPH PARLANT à l'ENFANT-JÉSUS
(cantique de St Alphonse de Liguori)
(à
retrouver ici : https://gloria.tv/track/RqWrKsN9uFu84mEnWq2x7dSX4
Chant : Jean-Myriam Chevalier
Accompagnement à l'orgue : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 16 mars 2016
Du nom de Fils, laisse-moi te nommer :
Mon Fils ! mon Dieu ! je t'aime, et, je l'espère,
Toujours, toujours, mon cœur saura t'aimer. »
ici :
« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :