LE TRIOMPHE DE L'AVE
(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)
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https://youtu.be/F7CRwLdTQ7Y
1- Que tout chante et publie,
D’un ton bien relevé,
Les Grandeurs de l’Ave
En l’honneur de Marie !
R./ Par l’Ave Maria,
Le péché se détruira !
Par l’Ave Maria,
Le Grand Jésus règnera !
2- Ô divine prière !
Si l’on vous connaissait,
Un chacun vous dirait
Jour et nuit sur la terre.
Suite des PAROLES
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* * *
SAINT PIE V & La VICTOIRE de LÉPANTE (7 octobre 1571)
MÉDITATION MUSICALE pour NOTRE-DAME de la VICTOIRE :
(à retrouver ICI dans la Playlist "Florilèges")
« À Rome,
le saint Pape Pie V,
confesseur de l'Ordre des Frères Prêcheurs,
qui, en s'appliquant avec zèle et avec succès
à rétablir la discipline ecclésiastique,
à extirper les hérésies,
et à réduire les ennemis du nom chrétien,
donna à l’Église catholique, qu'il gouverna,
les exemples d'une vie sainte et des lois pleines de sagesse.
Il s'endormit dans le Seigneur le 1er mai. »
(Le Martyrologe Romain au 5 mai)
le saint Pape Pie V,
confesseur de l'Ordre des Frères Prêcheurs,
qui, en s'appliquant avec zèle et avec succès
à rétablir la discipline ecclésiastique,
à extirper les hérésies,
et à réduire les ennemis du nom chrétien,
donna à l’Église catholique, qu'il gouverna,
les exemples d'une vie sainte et des lois pleines de sagesse.
Il s'endormit dans le Seigneur le 1er mai. »
EN L'HONNEUR DE SAINT PIE V
(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)
1- Que la terre s’unisse aux cieux,
Que tout canonise en tous lieux
Les vertus du grand Pie !
Rien de petit où tout est grand,
Où tout étonne, où tout surprend !
Je ne sais si l’on me comprend,
Mais j’ai l’Église pour garant,
Et sa très sainte vie.
2- Grand en sa naissance, en son lieu,
Plus grand en ce qu’il tient de Dieu
Qu’en ce qu’il a de l’homme.
Il était grand lorsqu’il vivait,
Aucun des grands ne l’égalait,
Et tout à ses pieds s’abattait
Quand on savait ce qu’il était :
Un évêque de Rome !
3- Un Vicaire de Jésus-Christ,
Un organe du Saint-Esprit
D’où sortaient des oracles,
Un flambeau brûlant et brillant
Qui brûlait tout dans l’Occident,
Et qui brillait jusqu’en Orient,
Dont l’éclat était si puissant
Que tout criait : miracles !
4- Avec son Rosaire à la main,
Il battait les Turcs et païens
De son propre oratoire !
Ce Moïse tout merveilleux
Était sur terre et dans les cieux
Pour lancer des traits rigoureux
Qui foudroyaient ces orgueilleux
Et nous donnaient victoire !
5- Voyez ces vaisseaux fracassés,
Ces Turcs noyés et renversés,
Au Golfe de Lépante ;
Voyez ces autres vaisseaux pris,
Quinze mille esclaves repris,
Près de cent mille Turcs soumis :
Saint Pie a fait ce grand débris
Par sa prière ardente !
6- Oh ! l’homme de fer et de feu,
De feu du pur amour de Dieu,
De fer contre soi-même !
C’était un feu lorsqu’il priait,
Qu’il parlait ou qu’il agissait ;
C’était un fer lorsqu’il souffrait,
Et lorsqu’il se mortifiait :
En tout, grand et suprême !
7- C’est un modèle général
De l’évêque et du cardinal,
Et même du Saint-Père !
Les princes et les religieux,
Petits et grands, jeunes et vieux,
N’ont qu’à jeter sur lui les yeux
Pour savoir le chemin des cieux :
Chose extraordinaire !
8- Oui, les religieux ont en lui
Le détachement sans appui
Et l’humble obéissance ;
Les souverains, l’humilité ;
Les évêques, la charité ;
Les cardinaux, la fermeté ;
Les Papes, la fidélité,
Et chacun, la prudence.
9- Saints pénitents, voulez-vous voir
La pénitence et son pouvoir ?
Un Pape tout en larmes
Prosterné devant son Sauveur,
Le cœur tout brisé de douleur,
Pour rendre son peuple vainqueur,
Pour calmer Dieu dans sa fureur
Et lui ravir les armes !
10- Ne craignez point, pauvre orphelin,
C’est votre appui, c’est votre pain
Dans ses grandeurs sublimes ;
Aveugles, c’est votre bâton ;
Prisonniers, c’est votre rançon ;
Pauvres gens, c’est votre maison ;
Pénitents, c’est votre pardon,
Si vous pleurez vos crimes.
11- Dans son palais, quel règlement,
Et quel désintéressement
Dans les biens de l’Église !
Afin de réformer les mœurs,
Combien détruisit-il d’erreurs ?
Combien d’abus, combien d’horreurs
Chassa-t-il de Rome, et des cœurs !
L’Histoire en est surprise.
12- J’admire moins sa dignité
Que sa profonde humilité
Au sommet de la gloire.
Il fuit la gloire, elle le suit ;
On le fait Pape, il tremble, il fuit,
On le voit pleurer jour et nuit.
C’est un flambeau qui brûle et luit :
Lui seul ne le peut croire !
13- Si nous pouvions ouvrir son cœur,
Ce grand royaume du Sauveur,
Ce riche sanctuaire,
Nous y verrions de grands secrets :
Le doux repos et cette paix
Que Dieu communique aux parfaits,
Et surtout nous verrions les traits
De Jésus et sa Mère !
14- Grand Pasteur, conduit du Seigneur
De la grandeur à la grandeur,
De l’Église, la tête :
Préservez vos brebis des loups
Qui sont déguisés parmi nous ;
Priez, intercédez pour tous,
Enfin attirez-nous à vous
Dans la gloire où vous êtes !
Que tout canonise en tous lieux
Les vertus du grand Pie !
Rien de petit où tout est grand,
Où tout étonne, où tout surprend !
Je ne sais si l’on me comprend,
Mais j’ai l’Église pour garant,
Et sa très sainte vie.
2- Grand en sa naissance, en son lieu,
Plus grand en ce qu’il tient de Dieu
Qu’en ce qu’il a de l’homme.
Il était grand lorsqu’il vivait,
Aucun des grands ne l’égalait,
Et tout à ses pieds s’abattait
Quand on savait ce qu’il était :
Un évêque de Rome !
3- Un Vicaire de Jésus-Christ,
Un organe du Saint-Esprit
D’où sortaient des oracles,
Un flambeau brûlant et brillant
Qui brûlait tout dans l’Occident,
Et qui brillait jusqu’en Orient,
Dont l’éclat était si puissant
Que tout criait : miracles !
4- Avec son Rosaire à la main,
Il battait les Turcs et païens
De son propre oratoire !
Ce Moïse tout merveilleux
Était sur terre et dans les cieux
Pour lancer des traits rigoureux
Qui foudroyaient ces orgueilleux
Et nous donnaient victoire !
5- Voyez ces vaisseaux fracassés,
Ces Turcs noyés et renversés,
Au Golfe de Lépante ;
Voyez ces autres vaisseaux pris,
Quinze mille esclaves repris,
Près de cent mille Turcs soumis :
Saint Pie a fait ce grand débris
Par sa prière ardente !
6- Oh ! l’homme de fer et de feu,
De feu du pur amour de Dieu,
De fer contre soi-même !
C’était un feu lorsqu’il priait,
Qu’il parlait ou qu’il agissait ;
C’était un fer lorsqu’il souffrait,
Et lorsqu’il se mortifiait :
En tout, grand et suprême !
7- C’est un modèle général
De l’évêque et du cardinal,
Et même du Saint-Père !
Les princes et les religieux,
Petits et grands, jeunes et vieux,
N’ont qu’à jeter sur lui les yeux
Pour savoir le chemin des cieux :
Chose extraordinaire !
8- Oui, les religieux ont en lui
Le détachement sans appui
Et l’humble obéissance ;
Les souverains, l’humilité ;
Les évêques, la charité ;
Les cardinaux, la fermeté ;
Les Papes, la fidélité,
Et chacun, la prudence.
9- Saints pénitents, voulez-vous voir
La pénitence et son pouvoir ?
Un Pape tout en larmes
Prosterné devant son Sauveur,
Le cœur tout brisé de douleur,
Pour rendre son peuple vainqueur,
Pour calmer Dieu dans sa fureur
Et lui ravir les armes !
10- Ne craignez point, pauvre orphelin,
C’est votre appui, c’est votre pain
Dans ses grandeurs sublimes ;
Aveugles, c’est votre bâton ;
Prisonniers, c’est votre rançon ;
Pauvres gens, c’est votre maison ;
Pénitents, c’est votre pardon,
Si vous pleurez vos crimes.
11- Dans son palais, quel règlement,
Et quel désintéressement
Dans les biens de l’Église !
Afin de réformer les mœurs,
Combien détruisit-il d’erreurs ?
Combien d’abus, combien d’horreurs
Chassa-t-il de Rome, et des cœurs !
L’Histoire en est surprise.
12- J’admire moins sa dignité
Que sa profonde humilité
Au sommet de la gloire.
Il fuit la gloire, elle le suit ;
On le fait Pape, il tremble, il fuit,
On le voit pleurer jour et nuit.
C’est un flambeau qui brûle et luit :
Lui seul ne le peut croire !
13- Si nous pouvions ouvrir son cœur,
Ce grand royaume du Sauveur,
Ce riche sanctuaire,
Nous y verrions de grands secrets :
Le doux repos et cette paix
Que Dieu communique aux parfaits,
Et surtout nous verrions les traits
De Jésus et sa Mère !
14- Grand Pasteur, conduit du Seigneur
De la grandeur à la grandeur,
De l’Église, la tête :
Préservez vos brebis des loups
Qui sont déguisés parmi nous ;
Priez, intercédez pour tous,
Enfin attirez-nous à vous
Dans la gloire où vous êtes !
Fichier PDF des Paroles de ce cantique ici :
http://www.montfortajpm.sitew.fr/fs/Root/crwlw-En_l_honneur_de_St_Pie_V_cantique_du_Pere_de_Montfort_.pdf
+ Téléchargement : http://www.montfortajpm.sitew.fr/dl/Root/crwlw-En_l_honneur_de_St_Pie_V_cantique_du_Pere_de_Montfort_.pdf
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(à
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https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/01/la-chaire-de-saint-pierre-rome-18.html
PRIÈRE
à
NOTRE-DAME AUXILIATRICE
ou
MARIE, SECOURS des CHRÉTIENS
Vierge très puissante,
aimable Auxiliatrice du peuple chrétien,
quelle reconnaissance ne vous devons-nous point
pour l’assistance que vous avez donnée à nos pères,
quand, menacés par les Turcs infidèles,
ils ont invoqué votre secours maternel
en récitant dévotement le saint Rosaire !
Du haut du Ciel vous avez vu leur danger,
vous avez entendu leur appel avec compassion :
vous avez accueilli favorablement
leur humble prière,
suggérée par le grand Pontife Saint Pie V,
et vous vous êtes hâtée de venir à leur secours.
Ah ! faites, ô Mère chérie,
qu’aujourd’hui encore
les longs gémissements de l’Épouse du Christ
arrivent jusqu’au trône de votre miséricorde ;
ayez encore pitié d’elle ;
levez-vous pour la délivrer
de tant d’ennemis qui l’environnent.
Aujourd’hui encore, de tous les coins de la terre
cette prière qui vous est chère s’élève vers votre trône,
pour vous rendre favorable à nous
dans les calamités présentes comme dans les passées.
Hélas ! nos péchés n’empêchent,
ou du moins ne retardent que trop l’effet de cette prière !
Mère très chère, obtenez-nous donc
une vraie douleur de nos péchés,
et une ferme résolution de mourir plutôt que d’offenser Dieu :
car c’est pour nous une trop grande douleur que le secours,
dont nous avons un si extrême besoin,
soit refusé ou retardé à cause de nous.
Montrez-vous favorable, Mère chérie,
aux prières de l’univers catholique,
et domptez l’orgueil de ces malheureux qui,
dans leur insolence, osent insulter Dieu
et qui voudraient voir la ruine de cette Église
contre laquelle,
suivant l’infaillible parole de Jésus-Christ,
les portes de l’enfer ne prévaudront jamais.
Qu’une fois de plus le monde reconnaisse que,
lorsque vous prenez en main la défense de l’Église,
la victoire est certaine ;
que le triomphe peut être retardé,
mais qu’il ne saurait manquer,
comme la foi nous l’assure.
Animés de cette foi, nous espérons que,
grâce à votre intercession,
Dieu nous exaucera.
Ainsi soit-il.
Indulgence applicable : 200 jours, une fois par jour
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BIENHEUREUSE IMELDA
(16 septembre)
LES DÉSIRS DE LA COMMUNION
&
APRÈS LA COMMUNION
(cantiques montfortains)
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https://youtu.be/TIIvP4b9Z5M
(à
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« Ô Jésus, présent dans la Sainte Eucharistie,
je vous adore et je vous désire.
Venez dans mon cœur par votre grâce,
en attendant d’y venir par votre Sacrement. »
je vous adore et je vous désire.
Venez dans mon cœur par votre grâce,
en attendant d’y venir par votre Sacrement. »
Saint Alphonse vous répond ici :
>>> "LOIN de JÉSUS que J'AIME" (cantique montfortain)
>>> Mes DÉSIRS auprès de JÉSUS CACHÉ dans sa PRISON d'AMOUR (poésie de Ste Thérèse)
« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :