« Si le saint amour de Dieu n’entre pas dans un cœur,
(Saint Alphonse de Liguori)
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dans les classes élevées par la franc-maçonnerie,
et dans la basse classe par le compagnonnage.
Les confréries étaient des écoles de religion
et de vertu, d’ordre et de paix ;
la franc-maçonnerie et le compagnonnage sont des sociétés secrètes,
hostiles à la religion catholique
qu’elles voudraient voir disparaître. »
(Mr Hamon, curé de Saint-Sulpice, dans "Notre-Dame de France")
« L’étude du compagnonnage au XIXe siècle soulève la question de ses relations avec la franc-maçonnerie. La double appartenance est fréquente, surtout à partir de la fin de la Restauration : Perdiguier, Bouchard, Voisin, par exemple, sont francs-maçons. L’influence maçonnique est très visible, notamment dans les rituels qui sont profondément modifiés à partir du début du siècle. »
("Ils voyageaient la France" par Barret & Gurgand, 1980, p.296)
« Les docteurs en Sorbonne ont, au XVIIe siècle, condamné les rituels du compagnonnage qui sentent bien évidemment le soufre, comme des « simulacres » de la célébration de la Messe. En effet ce sont ces pratiques sacrilèges qui leur ont permis de condamner ces sociétés de compagnonnage, tout comme ce fut sur ses rituels de réception que fut interdit l'ordre du Temple en 1313. »
("Ils voyageaient la France" par Barret & Gurgand, 1980, p.114 et 226)
Sur vos enfants au milieu des pécheurs :
Chassez les sectes infernales
Qui corrompraient nos esprits et nos cœurs !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »