jeudi 25 janvier 2018

Le GRAND AVERTISSEMENT du 25 JANVIER 1938 annoncé par Notre-Dame de Fatima

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 « L’effet de la prière est infaillible 
toutes les fois qu’elle réunit les quatre conditions suivantes :
        1- demander pour soi ;
        2- demander des choses nécessaires au salut ;
        3- les demander avec piété ;
        4- les demander avec persévérance.
    Ces quatre conditions réunies rendent toujours infaillible la prière du juste ; 

si elle ne l’est pas, tenez pour certain qu’une ou plusieurs de ces conditions n’ont pas été remplies.
    Celle du pécheur est également exaucée, 

non pas en vertu des lois de la justice, mais par miséricorde, 
lorsqu’elle procède d’un bon désir 
et qu’elle est revêtue des quatre conditions indiquées plus haut. »

(Saint Thomas d’Aquin)

LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS

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  Il y a 80 ans :


LE GRAND AVERTISSEMENT 
du 25 JANVIER 1938 
annoncé  
par Notre-Dame de Fatima 
le 13 juillet 1917 



« Vous avez vu l’enfer où vont les âmes des pauvres pécheurs. 
Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. 

Si l’on fait ce que je vais vous dire, beaucoup d’âmes se sauveront et l’on aura la paix. La guerre va finir. Mais si l’on ne cesse d’offenser Dieu, sous le règne de Pie XI, en commencera une autre pire. 

Quand vous verrez une nuit illuminée par une lumière inconnue, sachez que c’est le grand signe que Dieu vous donne qu’il va punir le monde de ses crimes, par le moyen de la guerre, de la famine et des persécutions contre l’Église et le Saint-Père. 

Pour empêcher cela, je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis du mois. 

Si l’on écoute mes demandes, la Russie se convertira et l’on aura la paix. Sinon elle répandra ses erreurs à travers le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l’Église. Les bons seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, plusieurs nations seront anéanties. 

Au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi. 

[ici le texte du troisième secret] 

À la fin mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie qui se convertira, et il sera donné au monde un certain temps de paix. »


La lumière inconnue :

La nuit des 25-26 janvier 1938 : les lumières célestes prédites à Fatima le 13 juillet 1917 se sont manifestées à la grandeur de l’Europe et de l’Amérique du Nord. Tous s’étonnaient d’un pareil spectacle que les scientistes identifièrent comme « des aurores boréales d’une magnitude exceptionnelle ».  
De son couvent de Tuy en Espagne, Sœur Lucie aussi s’émerveilla et a transmis une lettre à l’Évêque de Leiria, le 8 août 1941, dans laquelle elle mentionnait : « Votre Excellence n’ignore pas qu’il y a quelques années, Dieu s’est manifesté par un signe du ciel, désigné habituellement par les astronomes sous le nom d’aurore boréale. Si l’on étudie bien la question, on s’apercevra qu’étant donné la forme sous laquelle ce signe est apparu, il ne s’agissait pas et il ne pouvait s’agir d’une aurore de ce genre : quoiqu’il en soit, il a plu à Dieu de me faire comprendre de cette manière que le poids de Sa Justice était sur le point de s’appesantir sur les nations coupables, et de m’inciter ainsi à demander avec insistance la Communion réparatrice des premiers samedis et la consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie. »  
Déjà Jacinta avait confié peu avant sa mort (février 1920), à la Supérieure de l’Orphelinat de Lisbonne : « Si les hommes ne changent pas de vie, le bon Dieu enverra au monde, à commencer par l’Espagne, un châtiment comme on n’en a jamais vu ! » Et elle parlait, ajouta la Supérieure, « de grands événements mondiaux qui auraient lieu vers 1940. » 
Pas plus que quelques mois plus tard, l’armée d’Hitler entrait en Autriche et l’annexait à l’Allemagne. La terrible agression hitlérienne commençait et bientôt la deuxième guerre mondiale débutait avec l’invasion de la Pologne le premier septembre 1939. 

Plusieurs témoignages d’époque :



Le journal le Nouvelliste de Lyon, écrivait le 26 janvier 1938 : «  Une aurore boréale d’une ampleur exceptionnelle a sillonné hier le ciel de l’Europe occidentale ; elle a révolutionné nombre de départements, où l’on a cru tout d’abord à un gigantesque incendie. Dans toute la région des Alpes, la population a été fort intriguée par cet étrange spectacle. Le ciel était embrasé comme un immense foyer mouvant provoquant une lueur rouge très vive. Le bord du foyer était blanc comme si le soleil allait se lever… Après 21 heures, le phénomène est allé en décroissant. La clarté était si vive à Briançon que les postiers ont travaillé sans lumière artificielle. Un certain affolement a régné dans quelques communes de la montagne. »  
Le Soir, de Bruxelles, dans ses colonnes du 27/01/1938, écrit : « … Le météore occupait toute la constellation de la Grande Ourse, en longues bandes d’une luminosité très intense, d’un rouge foncé. Les bandes du centre paraissaient un peu plus orangées et elles se dirigeaient nettement du nord au sud. Le phénomène s’atténua pour se déplacer vers le nord, tandis que les lueurs se dissipaient en un brouillard rougeâtre. Vers l’ouest, entre les deux constellations du Cygne et d’Andromède, notre observateur remarqua également l’apparition d’un phénomène semblable. Seulement les lueurs s’étendaient sous forme de nappes d’un rouge sombre, pareilles aux flammes d’un incendie… »  
En Italie, le Corriere della Sera, signalait : «  La nuit dernière, de 21h à 23h, on a pu admirer à Rome, dans le ciel resplendissant, une magnifique aurore boréale de couleur rouge »      
À Londres, le Times du 26/01/1938, sous la signature de son correspondant à Lisbonne, publiait : « … L’aurore boréale a été observée dans tout le pays pendant plus de deux heures et demie. Un semblable météore lumineux n’avait pas été vu au Portugal depuis cinquante ans… Les gens simples ont interprété le phénomène comme un signe surnaturel et ils en ont conçu de vives alarmes. »  
La Libre Belgique du 27/01/1938, recevait de son informateur en Norvège, où les aurores boréales sont fréquentes, les lignes suivantes : «… Jamais on n’en avait vu d’aussi intenses, à tel point que la ville de Riukanfoss, dans le département de Tellemarken, a été éclairée pendant plusieurs heures, comme en plein jour. »


Des astronomes commentèrent l’événement : 
Mme Gabrielle Camille Flammarion écrit dans l’Illustration du 5 février 1938 : « Une aurore boréale d’une grandiose beauté a été visible en France, dans presque tous les pays d’Europe, jusqu’au Portugal, ainsi que dans le nord de l’Italie. Elle a été d’une intensité exceptionnelle. C’est une aurore nocturne, étrange, dont la lumière vient du septentrion, et comme on n’en avait pas vu depuis très, très longtemps… Quand le soleil a reparu, au jour, nous l’avons ausculté. Il n’y avait rien d’anormal, en apparence, à sa surface. »  
Mr Dufay, directeur de l’Observatoire de St-Genis-Laval, dans le Nouvelliste de Lyon précise : «Le spectacle dont nous venons d’être témoins est curieux. Il s’agit d’une aurore boréale à haute altitude, phénomène fort rare sous nos latitudes, particularisée cette fois par la lumière rouge provoquée par des raies d’émission d’oxygène et d’azote d’une composition spectrale particulière. Les aurores boréales sont en corrélation avec une tache qui passe à certaines époques au méridien centre du soleil. Ces phénomènes visibles dans le ciel ont lieu normalement 48h après le passage de la tache. Or les études que nous avons faites sur le soleil, au cours de ces derniers jours nous permettent d’affirmer qu’aucune ombre n’est passée sur l’astre central. Cette constatation rend le phénomène plus curieux encore, puisque les causes de l’aurore boréale que nous venons de constater ne subsistent pas. » 
 L’explication aurore boréale est loin de faire l’unanimité des savants : Les aurores boréales ont pour particularité de se produire au pôle, ou dans les environs immédiats du pôle. Pas au Maroc ou en Grèce, ni même en France ! Partout on a été vivement frappé par la phase durant laquelle le phénomène évoquait, par sa vive couleur rouge, la lueur d’un gigantesque incendie. Les régions du monde, où la lueur fut visible, correspondent de façon remarquable à la zone de la chrétienté qui allait être embrasée par la 2e guerre mondiale.  

Albert Marty écrivait dans Alerte au Monde : « … Le signe est du 25 janvier 1938. Un mois et demi plus tard, les troupes allemandes entraient à Vienne. L’Anschluss était accompli. Hitler s’engageait sur le chemin de la guerre. Ce fut ensuite la Tchécoslovaquie, l’attaque contre la Pologne, l’intervention de l’Angleterre et de la France… » 

D’aucuns auront entendu le témoignage de vieilles personnes se rappelant cette grande lueur rougeâtre survenue le soir du jour où l’Église commémore la Conversion de Saint Paul, tel ainsi Marie-Anne Rouleaux dans un commentaire en date 9 août 2014à l’article de la revue La Nature reproduit ci-dessous : « Ma mère, 12 ans au moment des faits, l’observa de sa campagne d’Ile et Vilaine. Souvent elle nous relatait cet évènement, nous décrivant les couleurs embrasées du ciel. Toute sa vie elle en garda une vive émotion. » 


L’aurore boréale du 25 janvier 1938 

Lucien Rudaux, La Nature N°3020 - 1er mars 1938


Beaucoup de personnes pensent assez volontiers que les aurores boréales ou australes se produisent uniquement dans les régions polaires où leur splendeur lumineuse vient souvent dissiper les longues périodes d’obscurité que subissent ces régions chaque hiver. Cependant, de tels phénomènes ne sont pas aussi strictement localisés, ils peuvent au contraire s’étendre largement sur le globe terrestre et se manifester ainsi à des latitudes relativement basses ; et ceci plus fréquemment qu’on ne le croit en général. Aussi bien, observer une aurore boréale en France, comme le 25 janvier dernier, n’est pas du tout un événement exceptionnel ; mais cet événement est seulement assez rare pour que nous ne soyons pas blasés à son endroit. Et alors le spectacle attire vivement l’attention, surtout lorsqu’il revêt une magnificence l’imposant à l’admiration, même de ceux qui n’ont pas pour habitude de diriger leurs regards vers le ciel ou de s’occuper de ce qui s’y passe.

L’aurore boréale qui se développa largement le soir du 25 janvier, principalement de 18 h 30 à 21 h 30, mérite de prendre rang parmi les plus belles qui aient été observées hors des régions où elles se montrent classiquement. On la vit non seulement sur toute l’étendue de la France, mais jusqu’au Sud de l’Europe et même du Maroc, car elle fut aperçue d’un navire, par 28° de latitude Nord. En maints endroits ce brillant météore provoqua une impression d’inquiétude, sinon de terreur, car d’aucune, raconte t-on, furent portés à l’interpréter comme le présage de proches calamités ! Résultat immanquable, jusqu’à nouvel ordre, de tout phénomène inattendu dont la cause première est ignorée du commun des mortels .... Mais superstitions ou interprétations fantaisistes mises à part, nous enregistrons que partout les spectateurs eurent dès l’abord, et avant toute autre constatation susceptible d’édifier les initiés, l’impression de se trouver en présence des conséquences lumineuses d’une catastrophe, d’un immense incendie dont le reflet s’étendait largement sur le ciel. Cette unanimité apporte le témoignage d’une générale coloration rouge très accusée, qui a été la note dominante. Ainsi s’explique, d’après ce que rapportent les quotidiens, que bien des postes de pompiers, et en particulier tous ceux de Londres, furent alertés ! Par ailleurs, nous apprenons aussi que nombre de pêcheurs de la Mer du Nord restèrent au port, et que ceux qui se trouvaient en Manche furent si vivement impressionnés par le calme extraordinaire de la mer et l’aspect du ciel qu’ils n’osèrent pas jeter leurs filets. Sans répéter ici tous les détails pittoresques que l’on a lus abondamment à cette occasion, soulignons seulement qu’ils sont significatifs de l’émotion éprouvée par une grande partie des populations.

Il importe davantage de chercher à résumer les caractères généraux du phénomène. A la vérité, il est difficile de décrire un tel spectacle, aux phases multiples et sans cesse changeantes à tous égards : des plages lumineuses naissent, se dilatent, se transforment ou s’éteignent, se déplacent ou mieux se propagent d’un lieu à un autre, le tout dans l’espace de quelques instants ; la lueur dont elles brillent semble palpitante ou affectée d’ondulations comme sous l’effet d’un souffle lent. Des rayons semblables à des jets de projecteurs s’élancent à des hauteurs variables, eux aussi fugaces et instables. Certaines aurores se manifestent seulement sous l’aspect de ces grandes lueurs mobiles isolées, ou se succèdent pour former une draperie, ou éclairement d’un segment de ciel plus ou moins voisin du Nord ; d’autres ne dessinent que des rayons de développement variable et vertical ou divergeant d’un point ou d’une zone déterminée soit dans les hauteurs du ciel, soit d’un arc voisin de l’horizon. D’après les observations effectuées un peu partout sur notre territoire le 25 janvier, la plupart de ces particularités ont été vues simultanément ou successivement. Les renseignements proviennent de relations qui nous sont parvenues directement et surtout de la documentation fournie par les différents postes ou stations de l’Office National Météorologique et que M. Wehrlé, directeur de cet organisme, a mise à notre disposition avec une obligeance dont nous tenons à le remercier. Citons également l’excellent et très circonstancié rapport établi par les élèves-maîtres de l’École normale d’instituteurs de Caen, et que le directeur de cet établissement a bien voulu adresser aussitôt à La Nature. 

Tous ces renseignements concordent d’abord, comme nous l’avons dit plus haut, pour signaler la lueur d’incendie répandue dans le ciel, lueur provenant de grandes taches mobiles et fluctuant dans leur éclat en même temps que dans l’intensité de leur coloration. Bien entendu, les aspects sont variables suivant les lieux d’observation. Il s’agit d’apparences se développant dans les très hautes régions de l’atmosphère ; les déterminations effectuées par M. Carl Störmer, l’éminent physicien norvégien, spécialiste de ces études, ont révélé des altitudes qui, à partir de 100 km, s’élèvent parfois jusqu’à 800, 900 et même 1.000 km. Nous ne connaissons pas encore les mesures relatives au phénomène actuel ; en tout cas, son ensemble se développa sur une étendue énorme. En raison des distances en jeu, les diverses particularités qui sont localisées dans telle ou telle portion de l’atmosphère se voient sous des angles différents ; en même temps des effets lumineux prennent une importance variable : on ne saurait donc donner une description unique, correspondant à toutes les observations.


D’une manière générale, les aspects les plus notoires ont consisté dans l’apparition première de lueurs vers le Nord-Est et surtout vers le Nord-Ouest, et se développant en se propageant en direction du Sud-Ouest. Formes mobiles et changeantes dans leur intensité et leurs contours diffus, on les signale parfois comme des traînées allongées d ’Ouest en Est. Au poste de l’O. N. M., de Reims, on vit à 20 h 59 une grande ache lumineuse en forme d’éventail courbe ou de virgule. Un aspect analogue mais orienté tout à fait différemment, a été observé à un autre moment à la station météorologique de Rennes par M. Rieffel. Généralement, ces grandes plages sont notées plus claires au centre ; en Bretagne et dans le Sud du Cotentin, elles sont vues se propageant du Nord-Ouest ou du Nord-Est vers le Sud-Ouest où elles s’évanouissent. Dans l’illumination rouge du ciel créée par ces formations, et recoupant celles-ci, s’élancent des rayons rouges, roses, blancs ou verdâtres, suivant les différents observateurs qui les comparent volontiers à des faisceaux de projecteurs. En divers lieux, on a observé ces faisceaux émanant d’arcs ou de segments se formant vers l’horizon Nord-Ouest, leur groupement semblant parfois dessiner les plis d’une céleste draperie. De grandes lueurs, comme une clarté de jour naissant, s’élevèrent aussi de l’horizon Nord ou Nord-Est. A Lille, cette sorte d’aube, vue à 21 h, parut bleuâtre, donnant l’impression d’une belle nuit d’été ; des colorations bleues sur différents points ont été également notées à l’observatoire de Juvisy par Mme Flammarion et M. Quénisset. A Caen, on remarqua à 20 h la formation, au Nord-Est, d’une lueur que l’on compare au lever du jour ; cette lueur grandit vers le Nord et à son maximum (20 h 20), elle formait un demi-cercle très éclairé à la base et occupant toute la moitié nord du ciel : son intensité était alors telle que le paysage parut aussi illuminé que par le plus brillant clair de Lune.

Rien que par ces quelques descriptions - car la place nous fait défaut pour citer en détail toutes les observations effectuées, nous pouvons juger du caractère général, de la diversité, des multiples apparences et de la splendeur de ce magnifique phénomène dont, après la féérie maximum, les dernières phases furent visibles en certains points jusque vers 2 h du matin, le 26 janvier. 
Sans nous étendre sur les théories modernes relatives aux aurores polaires, rappelons que l’on admet qu’elles sont dues à des jets d’électrons en provenance du Soleil puis déviés ct captés par le champ magnétique terrestre qui leur inflige des trajectoires courbes les faisant converger vers des régions de notre globe situées alors dans la nuit. A l’excitation lumineuse ainsi provoquée dans la très haute atmosphère s’ajoutent de notoires perturbations magnétiques ; remarquons cependant que de telles perturbations se manifestent sans que pour cela on constate au ciel un spectacle lumineux. Celui du 25 janvier s’est accompagné d’un trouble intense dont la conséquence pratique a été tout d’abord (comme on l’avait déjà constaté fréquemment) l’arrêt prolongé de communications télégraphiques ou téléphoniques et d’émissions de T. S. F. Les magnétographes ont enregistré de notables variations des composantes horizontale et verticale et de la déclinaison. La figure 4 reproduit la variation de la déclinaison à l’Observatoire magnétique de l’Institut de Physique du Globe (à Chambon-la Forêt, Loiret) que nous remercions pour son obligeante communication ; quoique très forte, puisqu’elle atteint une amplitude de près de1°5, il en a été noté néanmoins de plus considérables : celle du 25 septembre 1909 s’est élevée à 3°, sans s’être accompagné, semble-t-il, d’une aurore très importante. 
Ceci nous incite, pour terminer à rappeler certains faits antérieurs. Personnellement nous avons contemplé de fort belles aurores en 1894, 1898, 1908, 1915 : et bien d’autres observations encore, à des époques plus récentes, notamment en 1926, témoignent de la fréquence relative du phénomène dans nos contrées. Mais plus reculés en date, il faut se souvenir des spectacles féériques qui illuminèrent le ciel dans l’hiver 1869-1870 et pendant le siège de Paris, et dont nombre de témoins se souviennent encore. Cependant le plus magnifique de tous paraît être celui du 4 février 1872 ; celui-là fut visible de presque tout l’hémisphère N., ou plus exactement il se manifesta des aurores sur l’étendue de cet hémisphère ; citons même que le 2 septembre 1859, de tels phénomènes se produisirent simultanément sur toute la Terre. 
Ainsi, comme nous le disions au début, ces magnifiques spectacles dont par ailleurs l’étude plus poussée contribuera à une connaissance de nombreux phénomènes cosmiques et de la très haute atmosphère, ne sont pas exclusivement l’apanage des contrées polaires elles sont là seulement plus fréquentes en raison des causes initiales de leur production.




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 >>> Le GRAND CHÂTIMENT (3ème SECRET de FATIMA) 





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SOMMAIRE des ARTICLES ayant trait à la GRANDE APOSTASIE :

 

 

« Priez le Rosaire, 
Portez votre croix, 
Afin que la terre 
Revienne à la foi. »  

Ave, ave, ave Maria ! 
Ave, ave, ave Maria ! 

Disons le Rosaire, 
Convertissons-nous : 
Au Ciel notre Mère 
Nous conduira tous ! 

  Le ROSAIRE chanté sur les AVE MARIA de LOURDES & FATIMA :  

https://montfortajpm.blogspot.ro/2016/10/le-Rosaire-sur-les-Ave-Maria-de-Lourdes-et-Fatima.html



 


https://montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-recite-avec-vous.html


« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :