mercredi 5 juillet 2017

POÈME-DES-POÈMES 19

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« Malheur à l’âme qui, 
négligeant de se recommander à Marie, 
se ferme ce canal des grâces. »

(Saint Alphonse de Liguori)


LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS


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NEUVAINE à NOTRE-DAME DU ROSAIRE de FATIMA 
(5 au 13 juillet)
13 juillet 1917 : 3ème Apparition (le Secret)
https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/05/neuvaine-notre-dame-de-fatima.html



PRIÈRE PRÉLIMINAIRE


Très Sainte Vierge, qui, 
sur les collines de Fatima, 
avez daigné révéler à trois humbles petits bergers 
les trésors de grâces 
contenus dans la pratique de votre saint Rosaire, 
imprimez profondément dans notre âme 
l’estime pour cette dévotion qui vous est si chère. 
Faites que, 
méditant les mystères de notre Rédemption qui nous y sont rappelés, 
nous en recueillions les fruits précieux.

Faites-nous obtenir, en particulier, 
la grâce (de...) que nous vous demandons par cette neuvaine, 
si c’est pour la plus grande gloire de Dieu, 
pour votre honneur et pour le bien de nos âmes. 
Ainsi soit-il.

Pater noster, Ave Maria, Gloria Patri.
(Notre Père, Je vous salue, Gloire au Père.)


V./ Reine du Très Saint Rosaire,
R./ Priez pour nous.

etc...
* * *


MOIS du SACRÉ-CŒUR

(les 35 SALUTATIONS
de la Bse MARGUERITE-MARIE)


(pour tourner les pages, maintenir un clic tout en glissant dans le sens souhaité)
 

TRENTE-TROISIÈME JOUR
JE VOUS SALUE, CŒUR DIVIN, ORIGINE de tout BONHEUR : 
FORTIFIEZ-MOI !

PRATIQUE :
Je reconnais mon illusion : le bonheur n'est qu'en vous, ô Jésus !
Désormais toute ma vie sera pour RÉPARER
et mes égarements et ceux du prochain.

  

Ô Cœur de Dieu, Cœur adorable,
Cœur, objet de tous mes amours !
Ô Cœur infiniment aimable,
Qui m’aimez et m’aimez toujours !

Quoique très pauvre et misérable,
Quoique le plus grand des pécheurs,
Je fais une amende honorable
À votre Cœur, à vos grandeurs.

Pardon de mon ingratitude
Après tant de bienfaits reçus,
De mon peu de sollicitude
À vous suivre dans vos vertus.

Ô mon Jésus, miséricorde !
Pour tous les péchés que j’ai faits ;
Si votre Cœur ne me l’accorde,
Je suis perdu pour un jamais.

Par le Sacré-Cœur de Marie,
Honneur au vôtre, mon Jésus,
Écoutez ce Cœur qui vous prie
Et qui vous honore le plus.

Ô Sacré-Cœur, par ses mamelles,
Par son sein qui vous a porté,
Pardonnez à des infidèles
Les excès de leur cruauté.

Charmé de la flamme divine
Dont je vois votre Cœur si plein ;
C’en est fait, j’ouvre ma poitrine :
Divin Cœur, entrez dans mon sein.

Enfin, ma demande est hardie :
Chassez de moi mon cœur pécheur,
Et que je n’aie en cette vie
Point d’autre cœur que votre Cœur !

(Cantique du Père de Montfort : 
https://youtu.be/cHAj_vOhrBk?list=PLkkHVphgJH9aC1trWdGZBBJQb60tCfLcR
paroles : https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/06/acte-de-reparation-au-sacre-cur.html )




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Fidèles en prière aux pieds de Notre-Dame du Salut & de Notre-Dame de Pontoise

  « L’Église, 

société sans doute toujours visible, 

sera de plus en plus ramenée 

à des proportions 

simplement individuelles et domestiques. »


(Le Cardinal Pie, en 1880)


  
Ce que disent les Papes & les Saints 
sur l'infaillibilité pontificale,
l'obéissance due au Pape
& la cas du pape hérétique, ici :
https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/01/la-chaire-de-saint-pierre-rome-18.html



  POÈME-DES-POÈMES 19



  1801- Contre cette Bête féroce,
Il faut dès lors bien nous garder
Afin de ne point culbuter
Dans ses déviances atroces.

1802- Car ses ruses sont infernales
Et ses pièges sont bien montés
Pour que quiconque y puisse tomber
En ne croyant pas faire le mal.

1803- Et c’est le divin Rosaire
Qui nous protègera de ses traits
Si nous le disons sans arrêt,
Sans jamais nous en défaire.

1804- Il ne pourra nous surmonter,
Si, fidèles à le réciter,
Toujours nous y persévérons
Malgré toute contradiction.

1805- Mais si nous l’abandonnons,
Quel en sera le résultat ?
Vous le savez bien, n’est-ce pas ?
Dans ses griffes nous tomberons !

1806- Si durs que soient les temps actuels,
Ne désespérons pas du Ciel
Si nous gardons le saint Rosaire
Et sommes toujours en prière.

1807- Gardons donc ce que nous avons
Et jamais, jamais ne reculons :
Avec la Doctrine chrétienne,
Notre foi sera pérenne.

1808- Si même nous sommes enterrés,
N’en soyons pas désespérés
Car le bras de Dieu n’est pas court :
L’Antéchrist finira son cours !

1809- Et s’il doit vaincre les saints,
C’est comme les pharisiens
Qui vainquirent Jésus-Christ
En apparence et avec bruit.

1810- Car sa mort fut sa victoire :
Pour l’Église, ce sera pareil !
Par cela, nous pouvons voir
Que rien n’est nouveau sous le soleil.

1811- N’allons donc pas chez les conciliaires
Non plus que chez les tradis,
Mais récitons notre Rosaire
En attendant Hénoch et Élie.

1812- Car ils viendront, soyons-en certains,
Pour combattre l’Homme damné :
Ils suivront le même chemin
Qu’a suivi le Fils aîné.

1813- Eux aussi ils prêcheront ;
Eux aussi seront arrêtés,
Et eux aussi mourront :
Ils seront exécutés.

1814- Eux aussi ressusciteront ;
Eux aussi monteront au Ciel
Pour rejoindre en la sainte Sion
Le Fils du Dieu éternel.

1815- Là, ils seront accueillis
Par Jésus et par Marie.
Soyons donc dans l’espérance
Puisque nous le savons d’avance.

1816- Ne soyons pas des timorés
Non plus que des exaltés :
Restons bien à notre place
Avant que cela ne se fasse.

1817- Ne courons pas la maraude
Et n’exerçons pas la fraude
En allant de-ci et de-là
Sans savoir où poser nos pas.

1818- Ne recevons pas les sacrements
Invalidement ou illicitement
Car ce serait un sacrilège
Et un horrible manège.

1819- Attendons que Pierre revienne
Car il reviendra sûrement :
Ce n’est pas là une fredaine
Non plus d’ailleurs qu’un boniment.

1820- Cette espérance est certaine,
D’une certitude absolue :
Ce n’est pas une chose vaine
Non plus d’ailleurs qu’une berlue.

1821- Car si tel était le cas,
Nous serions les plus malheureux
Et tous condamnés par cela
À l’éternité du feu.

1822- L’anathème serait général,
La terre livrée aux méchants :
Une déflagration générale
En serait l’aboutissement.

1823- Nul espoir dans ce cas-là
Car l’Antéchrist serait vainqueur
Et l’Église serait à bas,
Vaincue par l’Exterminateur.

1824- Les portes de l’enfer prévaudraient
Contrairement à ce qui est dit,
Et l’Église de Jésus-Christ
Plus jamais n’existerait.

1825- Cette chose étant impossible,
Puisque l’Église est invincible,
C’est l’autre qui succombera
Et qui sera aux abois.

1826- Il le sait d’ailleurs fort bien,
Mais il continue son chemin :
Dans sa superbe, il ne voit rien,
Tout comme son esprit malin.

1827- Il observe, il épie
Jusqu’au jour où tu tomberas :
Voilà ce que fait cet impie,
L’Antéchrist pape-François !

1828- Il te surveille, il attend,
Puis il frappe en un instant,
Croyant sa victoire acquise
Contre qui ? La sainte Église !

1829- Pour lui, chaque particulier
Professant la catholicité
Est une victime à abattre,
Un esclave qu’il faut battre.

1830- Il n’a de cesse que d’aller
De l’avant pour remporter
Une victoire qu’il croit faite
Mais qui sera sa défaite.

1831- Sa défaite sera telle
Qu’on ne vit rien de pareil
Jamais sous le soleil,
Sur la terre comme au ciel.

1832- Quel en sera l’artisan ?
C’est saint Pierre revenant
Dans son légitime successeur
Contre l’Exterminateur.

1833- Mais qui donc le nommera ?
Pour cette question-là,
Point moi ne vous le dirai
Car point moi je ne le sais.

1834- Je sais seulement une chose,
C’est que se fera la chose
De manière extraordinaire
Pour que revienne Pierre.

1835- On me dira que c’est impossible
Puisqu’il n’y a plus de cardinaux !
Je réponds : L’Église est invincible,
Elle a vaincu bien d’autres maux.

1836- Depuis maintenant deux mille ans,
Elle a toujours vaincu Satan ;
Elle vaincra donc maintenant
Son envoyé si malfaisant.

1837- L’Antéchrist ne vaincra pas
L’Église de Jésus-Christ,
Mais l’Église de Jésus-Christ,
C’est certain, l’exterminera !

1838- Lui bien sûr croit le contraire
Comme grand-maître de l’univers,
Mais il se trompe, et je me ris
De son absolue ineptie.

1839- Avec toutes tes simagrées,
Tu n’es qu’un pauvre pygmée
Bien que tu te crois un géant :
Cela fait rire les enfants ! 

1840- Antéchrist pape-François,
Tu n’y échapperas pas :
Tu tomberas en un instant
Dans les griffes de Satan !

1841- Antéchrist pape-François,
Ton sort est bien décidé,
Saut ou pas de qualité,
C’est en enfer que tu iras.

1842- Pape-François, tu me diras :
« L’Antéchrist, ce n’est pas moi ! »
Tu t’es vanté, ces années dernières
D’avoir bien lu "Le Maître de la Terre"…

1843- « Cela ne prouve rien du tout ! »
Me répond ce méchant loup.
- Cela est vrai, pape-François,
Mais l’Antéchrist s’applique à toi.

1844- - Comment cela me répond-il :
Je n’en ai point le profil.
- Tu te trompes, pape-François,
Car l’Antéchrist c’est bien toi.

1845- - Cette chose explique-moi,
Me répond pape-François.
- C’est tout simple : ton évangile
Est le contraire de l’Évangile.

1846- Pape-François se révulse,
Et d’un coup de pied il m’expulse
Bien loin de son humanité
Que devant tous il a déifiée.

1847- « Je t’interdirai tous les droits,
Me lance le pape-François,
Puisque tu ne veux point adhérer
À ma nouvelle déité. »

1848- « Car le vrai Jésus, c’est moi,
M’assure le pape-François.
- C’est bien cela, lui dis-je,
Qui forme tout ton prestige. »

1849- « Car assurément, tous ils te croient,
Antéchrist pape-François :
C’est ce qui forme ton malheur,
À toi, Grand-Exterminateur ! »

1850- Comme Pharaon avec Moïse,
Il me chassa de sa fausse église,
Ce pape-François Antéchrist
Qui est l’adversaire du Christ.

1851- Voilà comment il agit
Avec Léon Burke par exemple,
Mais ce n’est qu’un exemple,
Et un exemple bien petit.

1852- Il ira bien au-delà
De tout ce que je dis là
Puisqu’il agit avec mesure
Quoique pourtant en démesure.

1853- « Si je me contrôle maintenant,
Dit ce méchant Léviathan,
C’est parce que -et c’est textuel-
Ça mettrait partout le bordel. »

1854- Voilà comment s’exprime ce grossier
Personnage que vous adorez :
C’est vrai que vous êtes dignes de lui
Puisque votre parler est comme celui-ci !

1855- Oui, vous méritez un tel pasteur
Qui sera votre Exterminateur :
N’allez pas vous plaindre à l’avenir
De ce qu’il vous fera souffrir !

1856- Vous voyez toutes ses âneries
Et vous restez comme ébahis ?
Dans vos problèmes, vous vous adressez
À ce Monstre d’iniquité ?

1857- Vous me faites rire vraiment
Quand je vois votre aveuglement !
« Mais il est Pape ! » me dites-vous !
Ne voyez-vous donc pas qu’il est Loup ?

1858- Il a les deux cornes de l’Agneau
Mais il parle comme le Dragon,
Et vous dites : « C’est un agneau
Mais nullement un dragon ! »

1859- Son vêtement, sa position
Vous aveuglent complètement :
Et vous prenez ce charlatan
Pour quelqu’un qui est très bon.

1860- Voyant votre crédulité,
Il ne se mesurera plus,
Et il vous fera endurer
Des maux que vous n’auriez point crus.

1861- Ah ! vous voulez savoir
Ce qui va arriver ?
Le voici, en résumé
Et sans échappatoire.

1862- L’Antéchrist vivant
Soudain sera blessé,
Blessé mortellement
Jusqu’à même décéder.

1863- Ce décès sera factice,
Nullement véritable :
Ce sera une fable
Inventée par son vice.

1864- Car cet homme vicieux,
Pour prétendre être Dieu,
Imitera Jésus-Christ
Quoiqu’en supercherie.

1865- Jésus-Christ a prêché ?
Lui prêche maintenant !
Il voudra s’y calquer
Jusque même en mourant.

1866- Cette mort fabriquée
Et bien sophistiquée
Sera suivie rapidement
D’un faux ressuscitement.

1867- On le prendra pour Dieu,
Au-dessus du vrai Dieu,
Surtout qu’après cela,
Prodiges, il fabriquera.

1868- Ses miracles simulés
Achèveront sa conquête,
Et il sera proclamé
Maître de la planète.

1869- Alors les deux Témoins
S’en viendront le combattre :
Contre eux il ne pourra rien
Et il se fera battre.

1870- Battu sur toutes les coutures
Pendant trois ans et demi
Par Hénoch et par Élie,
Il se vengera, il le jure !

1871- En attendant, ils replaceront
Le successeur de Saint Pierre
Sur sa divine Chaire :
Toutes choses ils rétabliront.

1872- Ils prêcheront la pénitence
Au milieu de toute licence,
Et s’amorcera la conversion
Des juifs et de toute nation.

1873- À l’Antéchrist et ses mirages,
Ils opposeront de vrais miracles,
Et divins seront leurs oracles
Dans ce monde d’anthropophages.

1874- Leur mission une fois terminée,
Ils se laisseront arrêter
Et mettre à mort par l’Antéchrist,
Eux, les envoyés du vrai Christ.

1875- Et c’est à Jérusalem
Qu’ils subiront l’anathème
De l’Antéchrist et de ses suppôts
Et en direct sur tous les réseaux.

1876- Et pendant trois jours durant
Leurs cadavres seront exposés
À la face de l’humanité,
Devant l’Antéchrist triomphant.

1877- Mais trois jours étant passés,
Voilà qu’ils se sont relevés,
Et ils montèrent dans les cieux,
Triomphants devant tous les yeux.

1878- L’Antéchrist, d’une rage écumante
Fera une persécution sanglante
Telle qu’il n’y en eut jamais
Et qu’il n’y en aura jamais.

1879- Et pour faire éclater sa gloire,
Il voudra monter dans les cieux,
Mais c’est par le souffle de Dieu
Qu’il perdra cette victoire.

1880- Et c’est en direct là aussi
Qu’il sera pour jamais occis,
Précipité du ciel en enfer
Comme le fut jadis Lucifer.

1881- Je puis me tromper sur la forme
Car cette chose est énorme ;
Mais pour ce qui est du fond,
Je ne me trompe pas, non.

1882- Tout cela arrivera bien :
Sera-ce aujourd’hui ou demain ?
Je ne puis pas vous le dire,
Mais la chose va venir.

1883- Ce sera bien plutôt qu’on pense
Et qu’on le pense communément
En disant : « Dans quelques millénaires
Viendra le Fils de Lucifer ! »

1884- Non non, assurément
Puisque l’Apostasie bat son plein
Et qu’elle en est même à la fin :
C’est donc qu’est venu le temps !

1885- Le temps de qui, le temps de quoi ?
D’Antéchrist pape-François
Ou bien de son successeur,
Temps de l’Exterminateur !

1886- Quand il aura bien exterminé,
Lui-même sera exterminé
Par Notre-Dame et saint Michel,
Par Jésus-Christ et par le Ciel.

1887- Que restera-t-il des huit milliards
D’hommes vivant sur la planète ?
Peut-être un tiers, peut-être un quart,
Ou encore un dixième peut-être !

1888- Car beaucoup seront martyrisés
Par l’Homme-même de péché,
Et les méchants seront emportés
Par le déluge de soufre igné.

1889- La terre sera éclaircie
Au point de paraître un désert :
Quelques hommes par-là ou par-ci !
Destruction de villes entières !

1890- Des pays seront anéantis
Comme annoncé à Fatima !
Mais le Pape sera là
Et toute l’Église aussi.

1891- Dieu protègera les siens,
Tous ceux qui doivent survivre,
Afin qu’ils soient les témoins
Des jeunes plantes qui vont suivre.

1892- Ils leur diront ce qu’ils ont vu,
Tout ce qu’ils ont entendu
Afin que l’on se souvienne
De ce que produisit la haine.

1893- S’il n’y avait plus personne,
Où serait donc le témoignage
Pour témoigner que la Madone
A bel et bien sauvé notre âge ?

1894- Elle le sauvera tellement
Que cela sera évident
Puisqu’elle-même l’a promis
À Fatima, t’en souviens-t’y ?

1895- Je nous en souvenons bien,
Me répondent les bons chrétiens,
Qu’ils soient d’ailleurs, ou vendéens :
Peu importe, ils sont chrétiens !

1896- Se souvenant tous de maintenant,
Ils diront tous en gémissant :
« Quel temps avons-nous traversé !
Qui donc peut l’imaginer ? »

1897- « Nous avons vu Jean XXIII
Qu’on disait le bon pape Jean !
Et nous autres, pauvres gens,
Nous croyions tous tout cela ! »

1898- « De Vatican II on nous disait :
C’est le concile le plus parfait !
Mais chez nous on voyait bien
Que cela n’allait pas bien ! »

1899- « La soutane était partie :
Avec elle, tout le reste aussi !
Nous nous disions naïvement
Que tout se remettrait en rang. »

1900- « Voilà que rien ne s’est remis,
Et nous n’avons rien compris :
Nous nous sommes fait berner,
Et comment nous en retirer ? »


(à suivre)

Gilbert Chevalier
l'Aveugle-Vendéen

(27/06/2017 au 02/07/2017)

 

 

 

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  + POÈME-DES-POÈMES 18

 

    
https://montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-recite-avec-vous.html


« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :