lundi 20 juin 2022

Le 20 JUIN avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Le plus grand désespoir des damnés dans l’enfer 
est et sera toujours 
d’avoir pu se sauver avec tant de facilité 
en demandant à Dieu les grâces dont ils avaient besoin 
et de ne l’avoir point fait 
et de n’être plus dans le temps de le faire. »
 
(Saint Alphonse de Liguori)


LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS

C’est notre modèle pour vivre :
Prenons ses mêmes sentiments,
Tâchons cœur à cœur de le suivre
Dans ses pas et ses mouvements.



 

20 JUIN
 






 
              
              Afin que ce mois soit partagé en trois neuvaines en l’honneur de la Mère de Dieu, commencez-en aujourd’hui une qui vous servira de disposition à la fête du glorieux saint Jean-Baptiste. Réjouissez-vous avec la Vierge de ce que, pour l’amour d’elle, Dieu a béni et choisi sa famille pour en faire les principaux de son Royaume évangélique. Autrefois, le Seigneur disait : « Pour l’amour d’Abraham, pour l’amour d’Isaac et de Jacob, je ferai telle et telle grâce » ; aujourd’hui, il dit : « Pour l’amour de Marie, je choisis son cousin et sa cousine, Zacharie et Élisabeth, pour faire naître d’eux mon précurseur, le paranymphe de mon amour, Jean-Baptiste, ma voie et mon premier officier. »

Apprenez, mon cœur, apprenez combien il fait bon appartenir à Marie : car c’est pour l’amour d’Elle que Dieu nous fait du bien ; c’est pour l’amour de cette belle Esther que son peuple est sauvé et qu’on expédie l’acte miséricordieux de la rémission, du pardon et de la grâce ; c’est pour l’amour de cette sage Abigaïl que nous ne sommes pas mis à mort. Oh ! que bienheureux sont ceux qui appartiennent à Marie !...

 
 

dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622) 

illustre serviteur de Marie,
priez pour nous.
 

        Le 20 juin 1622, notre Père saint François de Sales ayant heureusement fini le Chapitre général des Pères Feuillants, partit de Pignerol et arriva le même jour à Turin, où Son Altesse Madame Royale, Christine de France, le reçut comme un Ange. On lui avait fait préparer un logis magnifiquement orné, et Madame Royale le voulait faire traiter comme son premier aumônier et plus encore, selon la pieuse inclination et révérence qu’elle avait pour cet homme de Dieu. Mais il supplia si instamment Son Altesse Royale qu’il obtint la permission de se retirer chez les Pères Feuillants, au Monastère de la Consolata de Turin, où il prit une petite cellule de huit ou neuf pieds carrés, fort incommode dans l’excessive chaleur de la saison et du pays. « Laissez-moi, leur dit-il, la consolation de vivre un peu de temps avec vous comme votre frère, puisque je le suis. » Et lorsque ces Pères lui faisaient quelque compliment sur l’incommodité de son logement. « Quoi donc, disait-il, est-ce que, par vos civilités, vous me voulez chasser de la maison de notre Père saint Bernard ? Souvenez-vous qu’il aimait à recevoir et à faire l’hospitalité. » Il avait une consolation toute particulière à faire des discours très-fervents sur le nom de ce couvent des Feuillants de Turin, parce qu’il s’appelle Notre-Dame de la Consolation : « Je suis, disait-il, aux pieds de la Sainte Vierge et de la Mère de toutes consolations. Saurais-je jamais être mieux ! » Il se retirait de la Cour autant qu’il lui était possible, et disait que plus il voyait le monde, plus il avait à contre-cœur de devenir mondain ; que c’était un noviciat où il ne voulait jamais faire profession, et qu’il n’y pourrait pas demeurer tant soit peu, si le service et l’utilité de plusieurs bonnes âmes ne l’y arrêtaient.

 

 

ÉGALEMENT au 20 JUIN :
 
 
 
 
 
 
 

 


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