« Mon Dieu, je vous offre toutes les actions que je vais faire aujourd’hui, dans les intentions et pour la gloire du Cœur Sacré de Jésus ; je veux sanctifier les battements de mon cœur, mes pensées et mes œuvres les plus simples en les unissant à ses mérites infinis, et réparer mes fautes en les jetant dans la fournaise de son amour miséricordieux.
Ô mon Dieu ! je vous demande pour moi et pour ceux qui me sont chers la grâce d’accomplir parfaitement votre sainte Volonté, d’accepter pour votre amour les joies et les peines de cette vie passagère afin que nous soyons un jour réunis dans les Cieux pendant toute l’éternité. Ainsi soit-il. » (Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus)
1- Ma vie n’est qu’un instant, une heure passagère ; Ma vie n’est qu’un seul jour qui m’échappe et qui fuit. Tu le sais, ô mon Dieu ! pour t’aimer sur la terre Je n’ai rien qu’aujourd’hui !...
2- Oh ! je t’aime, Jésus ! vers toi mon âme aspire ! Pour un jour seulement reste mon doux appui : Viens régner dans mon cœur, donne-moi ton sourire Rien que pour aujourd’hui !
3- Que m’importe, Seigneur, si l’avenir est sombre ? Te prier pour demain, oh non, je ne le puis !... Conserve mon cœur pur, couvre-moi de ton ombre Rien que pour aujourd’hui !
4- Si je songe à demain, je crains mon inconstance, Je sens naître en mon cœur la tristesse et l’ennui. Mais je veux bien, mon Dieu, l’épreuve, la souffrance, Rien que pour aujourd’hui !
5- Je dois te voir bientôt sur la rive éternelle, Ô Pilote Divin ! dont la main me conduit. Sur les flots orageux guide en paix ma nacelle Rien que pour aujourd’hui !
6- Ah ! laisse-moi, Seigneur, me cacher en ta Face ! Là je n’entendrai plus du monde le vain bruit. Donne-moi ton amour, conserve-moi ta grâce Rien que pour aujourd’hui !
7- Près de ton Cœur divin, j’oublie tout ce qui passe : Je ne redoute plus les craintes de la nuit. Ah ! donne-moi, Jésus, dans ce Cœur une place Rien que pour aujourd’hui !
8- Pain Vivant, Pain du Ciel, divine Eucharistie, Ô Mystère sacré ! que l’Amour a produit... Viens habiter mon cœur, Jésus, ma blanche Hostie Rien que pour aujourd’hui !
9- Daigne m’unir à toi, Vigne Sainte et sacrée Et mon faible rameau te donnera son fruit, Et je pourrai t’offrir une grappe dorée, Seigneur, dès aujourd’hui !
10- Cette grappe d’amour, dont les grains sont des âmes, Je n’ai pour la former que ce jour qui s’enfuit. Ah ! donne-moi, Jésus, d’un Apôtre les flammes Rien que pour aujourd’hui !
11- Ô Vierge Immaculée ! c’est toi ma Douce Étoile Qui me donnes Jésus et qui m’unis à Lui. Ô Mère ! laisse-moi reposer sous ton voile Rien que pour aujourd’hui !
12- Mon Saint Ange gardien, couvre-moi de ton aile, Éclaire de tes feux la route que je suis : Viens diriger mes pas... aide-moi, je t’appelle Rien que pour aujourd’hui !
13- Seigneur, je veux te voir, sans voile, sans nuage, Mais encore exilée, loin de toi, je languis... Qu’il ne me soit caché, ton aimable visage Rien que pour aujourd’hui !
14- Je volerai bientôt, pour dire tes louanges, Quand le jour sans couchant sur mon âme aura lui : Alors je chanterai sur la lyre des Anges L’Éternel Aujourd’hui !...
Permettez donc que je vous dise Ce qu'est la véritable Église, Ou plutôt ce qu'elle n'est pas Et que l'autre croit qu'elle a. La sainte Église n'est pas sale Comme le prétend un visage pâle ! Elle n'est pas non plus accidentée Comme le prétend l'homme tourmenté ! Lui, il est dans son bureau ; L’Église, elle, est dans les travaux. Lui est dans la synagogue, Mais l’Église est pédagogue : Elle nous enseigne quoi faire ; Lui nous enseigne à mal faire. Lui est un révolutionnaire ; L’Église est toute débonnaire. Plus il veut la mettre dehors, Plus elle se hâte vers le port. Son Époux est un Dieu catholique ; Son dieu à lui est la mosquée ! Son âme à lui est famélique ! L’Église a l'Esprit de vérité Qui l'instruit et la guide toujours Dans un vibrant et merveilleux amour. L'église sale à lui N'est pas l’Église, je vous le dis, Mais la prostituée de Babylone Qui à tous ses amants se donne. Et qui sont donc tous ses amants Avec qui elle fait la fête ? Ce sont toutes ces vilaines bêtes Des non-vénérables traditionnements Qui iront tous en un instant Avec lui rejoindre Satan. La sainte Église est aussi vierge ; La sale église, elle, est veuve : C'est lui-même qui nous l'assure ! Il n'a pas de mots assez durs Contre la sainte Église qu'il abreuve Des coups redoublés de sa verge. Il la calomnie à tout moment, Lui, cet anti-clérical, Cette face-bouc au visage pâle Qui ira en enfer assurément S'il continue de la dénigrer Chaque matin, chaque journée. L'église sale n'est pas, Je le répète encore une fois, La sainte Église de Jésus-Christ Mais bien plutôt sa pagode à lui Qui écume les périphéries Existentielles de l'enferrerie. Vraiment je suis attristé De dire cette vérité Que plus personne ne comprend Tant est grand l'aveuglement. Ô juste jugement de Dieu Qui a aveuglé nos yeux Pour ne plus voir ce que nous voyons Tant nous avons perdu la raison. Ô sainte Vierge délivrez-nous De l'emprise de tous ces loups Qui ont usurpé la sainte Place De la gloire et de la grâce Pour en faire des superstitions Qui certainement si nous les suivons Nous mèneront droit à l'enfer Avec leur prince Lucifer. Qui réagira à tous ces blasphèmes Qui sortent de ce vieux volcan Je le dis, je le dis en pleurant : Personne ! église sale : anathème ! Maintenant écoutons pour finir Quatre vers du Père de Montfort Qui diront mieux ce que je viens de dire : D'un Saint, ce sont des vers très forts. « Je déteste tout hérétique, Le juif, le turc et le païen, L'apostat et le schismatique ; Le seul catholique est mon bien ! » La Foi catholique a parlé : À nous donc de bien l'écouter, Et de la mettre en pratique Comme nous le dit ce cantique :
« Par la patience, nous offrons à Dieu un sacrifice parfait, car en souffrant les tribulations et les contrariétés, nous n’y mettons rien du nôtre, si ce n’est l’acceptation de la croix que le Seigneur nous envoie. »
« Écoute-moi, âme bien-aimée, Écoute ce que je te dis aujourd’hui ; Si tu veux vraiment, vraiment te sauver, Il faut que moi et ma Mère tu pries. Car il est venu, il est venu, Le roi, le prince des mésélus Qui, mon Église veut ébranler, Jusqu’à même la déraciner. Mais il n’y arrivera pas, Car, moi, Dieu, je suis là, Et je la protégerai De cet Homme de péché Qui d’avance est réprouvé Comme dans l’Écriture annoncé. Cache-toi donc dans mon sein, Et près de mon Cœur, ne crains rien Car j’abrégerai ces jours À cause de mon amour Pour tous mes prédestinés Dont tu es, ma bien-aimée. Laisse donc cet Homme damné Crier et vociférer, Proclamant sa révolution : Miséricorde de damnation ! Car oui, sa miséricorde Est du pendu, la corde, Comme il arriva à l’Iscariote Que réhabilita un certain JE Qui, au milieu de sa cohorte, De mon ennemi fit le jeu. Arbres des forêts, pleurez, Car vos branches ont été coupées, Et maintenant voilà qu’il s’attaque À la racine, ce Pentacle ! Mais il n’y réussira pas Car mon Église subsistera Jusqu’à ce que Moi, je revienne, Et il me verra plein de haine ! Et je le hais moi aussi, Car je hais tous mes ennemis ! Mais pour mes vrais amis, Je les aime, je les chéris. Et tu en es, ma bien-aimée : Sois donc sans crainte et rassérénée. » Ô grande tendresse de Dieu Qui veut que nous soyons tous heureux, Qui vous fait donc agir ainsi Pour nous vouloir en votre Paradis ? « C'est ma tendresse, ma tendresse pour vous, Oui pour vous qui n'êtes rien du tout, Non une tendresse de révolution Comme le prétend l'Homme de damnation, Non plus qu'une révolution de tendresse Comme il dit dans ses feintes caresses ! Ne le croyez pas, car il ment, Et je vais vous dire comment. Ils disent que les religions Sont des moyens de salut ; Ceci est une révolution Que je n'ai jamais voulue. Reconnais par là, ma bien-aimée, Que c'est bien l'esprit malin Qui patronna cette Grande Assemblée Et non point certes mon Esprit-Saint. Ma bien-aimée, viens dans mes bras Et t'y réfugie bien là. Que sont-ce mes bras ? Crois-moi, Ce sont les deux bras de la Croix. Il te faut boire jusqu'à la lie Le calice que j'ai bu moi-même. Pour y arriver, vas à Marie Qui l'a bu tout aussi elle-même. Elle t'enseignera comment faire : Crois-la, car c'est ma sainte Mère. Par elle tu arriveras à moi, Et nous te prendrons dans nos bras Et sur nos Cœurs tous les deux Dans le Paradis des Bienheureux Où tu jouiras, loin de l'Homme damné Pendant toute une éternité Tandis que lui, l'infâme s'en ira Avec Voltaire et ses amis Dans leur infect paradis Où sont toutes les religions : Paradis de la damnation ! Fleurs des champs, quittez vos couleurs Car est arrivée son heure, L'heure des infâmes Judas Qui m'ont trahi, bafoué, Qui maintenant m'ont crucifié En crucifiant ma sainte Église Qu'ils croient briser à tout jamais. Mais ils se trompent ! Je le promets Elle ressuscitera mon Église, Et eux seront alors vaincus : Il iront avec le grand Mésélu Dans son enfer éternel ! Mais toi, ma bien-aimée, viens t'en Dans mon Cœur et dans mon beau ciel : Avec ma chérie Mère je t’attends. » Ô tendresse de mon bon Dieu, Nous sommes en adoration Devant votre commisération Pour nous qui sommes si malheureux. Ô Marie, Marie emmenez-nous Chez notre Jésus, tous avec vous. « Oh ! oui, je vous emmènerai Si vous voulez bien m'imiter, Bien m'aimer en me priant, Bien m'imiter en me suppliant, En évitant mes pires ennemis Que sont les modernistes aujourd'hui : Ne discutez pas avec eux Car ils vous auront à la fin, Vous prenant dans leurs pièges si fins Teints de belle couleur or ou feu. N'imitez donc point Ève Qui dialogua avec le démon : Malgré que sa chute fut brève, Elle entraîna sa postérité. Si donc avec eux vous dialoguez, En enfer ils vous précipiteront Car ce sont des fils de malédiction Et non de prédestination : Leur plaie est inguérissable Et leur mal est incurable, Ayant mauvaise volonté Qui est la cause qu'ils sont damnés. Méfiez-vous donc de leurs dires, Car ils disent tout et le contraire : Du diable ils ont le sourire Cachant la face de Lucifer. Craignez-les, mes chers enfants, craignez-les Et les fuyez à tout jamais, Sinon comme eux vous serez damnés Parce que vous aurez été trompés. Ce que je vous dis ne leur plaira pas, Mais de cela ne vous occupez pas. Pour vous, faites votre salut : Laissez de côté les mésélus, Car ils ne sont pas mes enfants Mais les enfants de Satan Qui vous calomnieront toujours Quoique vous disiez, et pour Vous tirer de ce mauvais pas, Avec eux ne dialoguez pas. » Merci, ô Mère de tendresse Pour ces si bonnes paroles Qui feront que ni leurs caresses, Ni leurs menaces, ni leurs oboles, Ni point d'ailleurs tout ce qu'ils feront N'aura prise sur notre raison. C'est la grande tribulation Annoncée dans les saints Évangiles. Levons la tête, levons Car notre délivrance est proche, Nous en sentons bien les approches, Même si notre âme est débile. Jésus, Marie, de tout cela, Merci, Ave Maria ! « Ô ma bien-aimée, viens dans mes bras, Dans mes bras qui sont ceux de la Croix ! Ô ma bien-aimée, viens sur mon Cœur : Ne me reconnais-tu pas ? Je suis le Sacré-Cœur ! De toutes tes contrariétés, Je ne suis nullement contrarié. Je t'aime plus que tu ne peux croire Et plus que tu ne peux savoir, Car c'est moi qui suis le véritable Amour, Et cela, pour toujours, toujours, toujours. Mes ennemis sont les réprouvés, Les démons et tous les damnés : Les modernistes qui disent le contraire Iront l'apprendre au fond de l'enfer. Mais pour toi, ma colombe, mon amie, Tu viendras avec moi en Paradis Si cependant tu veux bien m'écouter, M'aimer, m'imiter et me prier. » Je tombe de confusion Devant une telle tendresse. Ô Marie, aidez ma faiblesse Et me mettez vite en possession De mon bon Dieu si tant aimable, De mon Jésus si tant affable.
1- Mère chérie, dès ma tendre jeunesse Ta douce Image a su ravir mon cœur : En ton regard je lisais ta tendresse Et près de toi je trouvais le bonheur.
R./ Vierge Marie, au Céleste rivage, Après l’exil j’irai te voir toujours ! Mais ici-bas ta douce Image, C’est mon Perpétuel-Secours !...
2- Quand j’étais sage et bien obéissante, Il me semblait que tu me souriais ; Et si parfois j’étais un peu méchante, Je croyais voir que sur moi tu pleurais...
3- En exauçant ma naïve prière Tu me montrais ton amour maternel, Te contemplant je trouvais sur la terre Un avant-goût des délices du Ciel.
4- Lorsque je lutte, ô ma Mère chérie, Dans le combat tu fortifies mon cœur, Car tu le sais, au soir de cette vie Je veux offrir des Prêtres au Seigneur !...
5- Toujours, toujours Image de ma Mère Oui tu seras mon bonheur, mon trésor. Et je voudrais à mon heure dernière Que mon regard sur toi se fixe encor.
Dernier Refrain : Puis m’envolant au Céleste rivage, J’irai m’asseoir, Mère, sur tes genoux, Alors je pourrai sans partage Recevoir tes baisers si doux !...
« Par l’autorité de Notre-Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux apôtres Pierre et Paul, et par la Nôtre, nous proclamons, déclarons et définissons que c’est un dogme divinement révélé que Marie, l’Immaculée Mère de Dieu toujours Vierge, à la fin du cours de sa vie terrestre, a été élevée en âme et en corps à la gloire céleste. »
(Pie XII, définition du dogme de l’Assomption, 1er novembre 1950)
Ô sainte Vierge Marie, qui, pour nous inspirer une confiance sans bornes, avez voulu prendre le nom si doux de Mère du Perpétuel-Secours, je vous supplie de me secourir en tout temps et en tout lieu : dans mes tentations, après mes chutes, dans mes difficultés, dans toutes les misères de la vie et surtout au moment de ma mort.
Donnez-moi, ô charitable Mère, la pensée et l’habitude de recourir toujours à vous ; car je suis sûr que, si je vous invoque fidèlement, vous serez fidèle à me secourir.
Procurez-moi donc cette grâce des grâces, la grâce de vous prier sans cesse et avec la confiance d’un enfant, afin que, par la vertu de cette prière fidèle, j’obtienne votre Perpétuel Secours et la persévérance finale.
Bénissez-moi, ô tendre et secourable Mère, et priez pour moi, maintenant et à l’heure de ma mort. Ainsi soit-il.
Seigneur, ayez pitié de nous. Jésus-Christ, ayez pitié de nous. Seigneur, ayez pitié de nous. Jésus, écoutez-nous. Jésus, exaucez-nous. Père céleste, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous. Dieu le Fils, Rédempteur du monde, ayez pitié de nous. Esprit-Saint, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous. Trinité Sainte, qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous.
Notre Mère du Perpétuel-Secours, Femme bénie qui avez trouvé grâce devant Dieu, secourez-nous. Notre Mère du Perpétuel-Secours, Mère spirituelle de nos âmes, Notre Mère du Perpétuel-Secours, Mère du Bel-Amour, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui nous avez aimés au point de sacrifier pour nous votre Fils unique, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui avez coopéré à notre salut par le mérite de vos douleurs, Notre Mère du Perpétuel-Secours, entre les mains de qui Dieu a remis tout le prix de la Rédemption, Notre Mère du Perpétuel-Secours, que nous ne saurions nous lasser d’appeler notre Mère, Notre Mère du Perpétuel-Secours, que Dieu a créée comme un doux appât pour s’attirer les pécheurs, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes la ravisseuse des cœurs, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui surpassez en amour toutes les mères ensemble, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes la médiatrice de paix entre Dieu et les hommes, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes toute-puissante par la toute-puissance de votre Fils, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes la dispensatrice des trésors du Cœur de Jésus, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui ne pouvez voir nos misères sans y compatir, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes immensément riche en miséricorde, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui ne repoussez jamais celui qui vous implore, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes perpétuellement en prière pour nous auprès de votre divin Fils, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui avez le privilège d’être toujours exaucée de votre Fils, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui obtenez le pardon à tout pécheur dès qu’il recourt à vous, Notre Mère du Perpétuel-Secours, dont l’invocation est un sûr moyen de vaincre tous les assauts de l’enfer, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui consolez dans leurs afflictions tous ceux qui se confient en vous, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes notre refuge assuré dans tous les dangers de cette vie, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes notre soulagement dans nos douleurs, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui avez des faveurs spéciales pour les fidèles imitateurs de votre chasteté, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui embrasez de l’amour divin tous ceux qui vous aiment, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui ne cessez de traiter la grande affaire de notre salut, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes, après Dieu, notre unique espérance, Notre Mère du Perpétuel-Secours, en qui il faut encore espérer quand il n’y a plus d’espoir, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui promettez la persévérance à tous ceux qui vous servent fidèlement, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui êtes la consolatrice des mourants, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui soulagez et délivrez les âmes du Purgatoire, Notre Mère du Perpétuel-Secours, qui promettez la vie éternelle à ceux qui vous font connaître et aimer des autres, Notre Mère du Perpétuel-Secours, grande Souveraine du ciel et de la terre.
Dans toutes mes difficultés et mes peines, venez à mon secours, ô charitable Mère ! Quand j’aurai eu le malheur de pécher, pour que je me relève, Si quelque lien funeste m’enchaîne au service du démon, pour que je le brise, Si je vis dans la tiédeur, pour que Jésus-Christ ne me vomisse pas de sa bouche, Quand je négligerai de recourir à vous, pour qu’aussitôt je vous prie, Pour que j’approche dignement des sacrements, Dans tous les exercices d’un chrétien fervent, et notamment dans la prière et la méditation, Pour que je conserve ou recouvre la chasteté, Pour que j’acquière l’humilité, Pour que je parvienne à aimer Dieu de tout mon cœur, Pour que, par amour pour Dieu, je me conforme en tout à sa sainte Volonté, Pour que j’accomplisse fidèlement mes devoirs d’état, Quand la maladie fera souffrir mon corps et abattra mon âme, Quand le chagrin et la tristesse s’empareront de moi, Si Dieu me soumet au tourment des peines intérieures, Si la Providence m’éprouve par la pauvreté ou les revers de fortune, Si je trouve dans ma propre famille des sujets de douleurs, Quand je serai humilié, contrarié, maltraité, Pour que j’obtienne la conservation et le soulagement de ceux qui me sont chers, Pour que je procure la délivrance des âmes du Purgatoire, Pour que je coopère au salut des pécheurs, Pour que j’obtienne la grâce de la persévérance finale, Quand viendra ma dernière maladie, À mon dernier soupir, Quand je paraîtrai devant votre Fils qui sera mon Juge, Quand je serai en Purgatoire, En tout temps et en tout lieu, Pour que je vous serve, vous aime, et vous invoque toujours, Pour que je vous fasse aimer et servir par beaucoup de chrétiens, Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous Seigneur. Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous Seigneur. Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, ayez pitié de nous Seigneur.
V./ Ô Notre-Dame du Perpétuel-Secours, R./ Montrez que vous êtes véritablement notre Mère.
Oraison
Ô Seigneur Jésus-Christ, qui nous avez donné votre Mère Marie, dont nous vénérons l’insigne image, comme notre Mère toujours prête à nous secourir, faites, nous vous en prions, qu’implorant assidûment son aide maternelle, nous méritions de goûter le fruit de votre rédemption. Ainsi soit-il.
Seigneur, ayez pitié de nous. Jésus-Christ, ayez pitié de nous. Seigneur, ayez pitié de nous.
Jésus-Christ, écoutez-nous. Jésus-Christ, exaucez-nous. Père Céleste, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous. Fils, Rédempteur du monde qui êtes Dieu, ayez pitié de nous. Esprit-Saint, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous. Trinité Sainte, qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous.
Sainte Marie, priez pour nous. Sainte Mère de Dieu, Sainte Vierge des vierges, Mère du Christ, Reine conçue sans péché, Reine du Très Saint Rosaire, Notre-Dame du Perpétuel-Secours,
Ô Mère du Perpétuel-Secours, dont le nom inspire la confiance, venez à notre secours, ô charitable Mère. Pour que nous puissions aimer Dieu de tout notre cœur, Pour que nous nous conformions en toute choses à la Volonté de Dieu et à Celle de Votre Divin Fils, Pour que nous puissions déjouer les pièges du Malin, Pour que nous nous souvenions toujours de nos derniers moments, Pour que nous nous approchions toujours des Sacrements avec ferveur, Pour que nous évitions toute occasion de pécher, Pour que nous ne négligions jamais la prière, Pour que nous n’oubliions jamais de Vous invoquer dans les moments de tentation, Pour que nous soyons toujours victorieux des tentations du Malin, Pour que nous pardonnions généreusement à tous nos ennemis, Pour que nous ne puissions jamais commettre de péché mortel, Pour que nous évitions toute mauvaise fréquentation, Pour que nous puissions être fortifiés dans notre inconstance, Pour que nous ne puissions jamais remettre notre conversion quotidienne, Pour que nous combattions nos mauvaises habitudes avec zèle, Pour que nous Vous aimions toujours plus, Pour que nous portions notre prochain à Vous aimer, à Vous servir et à Vous invoquer, Pour que nous vivions et que nous mourions dans l’amitié de Dieu, Dans tous les besoins de l’âme et du corps, Dans notre pauvreté et dans notre détresse, Dans les persécutions et les moments d’abandon, Dans les moments où notre esprit souffrira, Dans les périodes de guerre, de famine et d’épidémie, Dans toutes les occasions de pécher, Quand nous sommes assaillis par les forces du Mal, Quand nous succombons aux tentations de ce monde, Quand nous luttons contre les mauvais penchants de notre nature corrompue, Quand nous sommes tentés contre la sainte vertu de pureté, Quand la mort sera proche, Quand nous perdrons nos sens, Au moment de notre départ de ce monde, pour que nous ne soyons pas remplis de crainte et de terreur, Au moment de la mort, quand le mauvais essaiera de plonger mon esprit dans le désespoir, Au moment où le Prêtre nous donnera la dernière absolution et la dernière bénédiction, Quand nos amis et nos relations, entoureront notre lit avec compassion pour invoquer sur nous la clémence de Votre Nom, Quand ce monde disparaîtra de notre vue et que notre cœur cessera de battre pour toujours, Pour que nous remettions notre âme entre les mains du Créateur, Quand notre âme paraîtra devant le Souverain Juge, Lorsque la sentence irrévocable sera prononcée, Quand nous serons en Purgatoire et que nous soupirerons après la vision de Dieu,
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous, Seigneur. Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous, Seigneur. Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, ayez pitié de nous, Seigneur. V./ Priez pour nous, ô Mère du Perpétuel-Secours. R./ Afin que nous soyons rendus dignes des promesses de Jésus-Christ.
Prions : Ô Dieu tout-puissant et miséricordieux, qui, en vue de secourir la race humaine, avez voulu que la Bienheureuse Vierge Marie devienne la Mère de Votre Fils unique, accordez-nous par Son intercession, nous Vous en supplions, de toujours éviter la contagion du péché pour que nous Vous servions toujours avec un cœur pur. Nous Vous le demandons, par Jésus-Christ Notre-Seigneur. Ainsi soit-il.