De m'aider par moi-même,
Je ne mérite rien,
Dans ma douleur extrême ;
Ami, si vous voulez,
Il vous sera facile,
Le peu que vous ferez
Me sera bien utile.
3- MOIS des ÂMES du PURGATOIRE 2/2 : Le MYSTÈRE du PURGATOIRE
4- LITANIES de NOTRE-DAME de MONTLIGEON
10 NOVEMBRE
10 NOVEMBRE
Le septième chœur angélique s’appelle les Trônes. Ce n’est pas mon
dessein, non plus que ma capacité, de discourir des propriétés et
dignités des Anges, mais seulement de les regarder selon que la sainte Église nous les propose, pour y voir toujours en chef leur Reine, que vous honorerez aujourd’hui tout spécialement comme Dame des Trônes, ce qui veut dire autant que Reine de la stabilité et tranquillité divines. Ô Marie, vous êtes le plus digne et le plus vénérable de tous les trônes de Dieu ! Saint François de Sales dit que : « Hors du sein de Dieu, l’Homme-Dieu est plus glorieusement sur vos genoux et sur votre sein que dans le ciel empiré, parce que, dit-il, si le ciel a plus d’êtres visibles, votre Cœur a plus de vertus invisibles. » Vous recourrez dans vos misères à Marie, la regardant comme le trône de la divine Miséricorde.

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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
Le septième chœur angélique s’appelle les Trônes. Ce n’est pas mon
dessein, non plus que ma capacité, de discourir des propriétés et
dignités des Anges, mais seulement de les regarder selon que la sainte Église nous les propose, pour y voir toujours en chef leur Reine, que vous honorerez aujourd’hui tout spécialement comme Dame des Trônes, ce qui veut dire autant que Reine de la stabilité et tranquillité divines. Ô Marie, vous êtes le plus digne et le plus vénérable de tous les trônes de Dieu ! Saint François de Sales dit que : « Hors du sein de Dieu, l’Homme-Dieu est plus glorieusement sur vos genoux et sur votre sein que dans le ciel empiré, parce que, dit-il, si le ciel a plus d’êtres visibles, votre Cœur a plus de vertus invisibles. » Vous recourrez dans vos misères à Marie, la regardant comme le trône de la divine Miséricorde.

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TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
Le septième chœur angélique s’appelle les Trônes. Ce n’est pas mon dessein, non plus que ma capacité, de discourir des propriétés et dignités des Anges, mais seulement de les regarder selon que la sainte Église nous les propose, pour y voir toujours en chef leur Reine, que vous honorerez aujourd’hui tout spécialement comme Dame des Trônes, ce qui veut dire autant que Reine de la stabilité et tranquillité divines. Ô Marie, vous êtes le plus digne et le plus vénérable de tous les trônes de Dieu ! Saint François de Sales dit que : « Hors du sein de Dieu, l’Homme-Dieu est plus glorieusement sur vos genoux et sur votre sein que dans le ciel empiré, parce que, dit-il, si le ciel a plus d’êtres visibles, votre Cœur a plus de vertus invisibles. » Vous recourrez dans vos misères à Marie, la regardant comme le trône de la divine Miséricorde.

TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES

TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
qui aviez pris pour devise ou mourir ou aimer,parce que la vie sans amour de Dieu vous semblait pire que la mort, priez pour nous.
Le dixième jour de novembre 1622, notre Père saint François de Sales ayant dit le dernier adieu à tous les Messieurs d’Annecy qui l’avaient accompagné jusqu’à Seyssel, leur fit une seconde prédiction, leur disant : « Dans quelque temps, vous me reviendrez au devant ici même où nous nous disons adieu. » Ce qui fut vrai ; mais ce fut à la rencontre de son corps mort, car son âme bienheureuse s’était retirée au ciel. Il s’embarqua sur le Rhône pour descendre à Belley, le temps étant très-froid et inconstant ; et, comme on plaignait ce saint homme, « Eh ! dit-il, ne savez-vous pas que nous sommes captifs et en servitude sous les éléments de ce monde ? » Il dit à un de ses officiers, qui voulut parler de l’extrême affliction du peuple d’Annecy : « Ne parlons pas de cela, parlons du bienheureux pays où nous nous acheminons ; je partirai pour cela promptement et ne ferai pas comme les chevau-légers, car je délogerai sans tambour ni trompette ; je serai arrivé avant qu’on ait su mon départ. » En cela même, il signifiait de quelle mort il devait mourir ; ce qui arriva tout comme il l’avait prédit.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »