mardi 12 avril 2016

Dernières mises en ligne _ St Jules Ier

149

« Mon aimable Jésus, 
pour vous témoigner ma reconnaissance 
et pour réparer mes infidélités, 
moi..., 
je vous donne mon cœur, 
je me consacre entièrement à vous 
et je me propose, avec votre secours, 
de ne plus vous offenser. »

(Courte consécration de soi-même à réciter devant une image du Sacré-Cœur)



https://montfortajpm.blogspot.fr/2016/07/sommaire-des-cantiques-de-sainte-Marguerite-Marie.html

LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS



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« À Rome, sur la voie Aurélienne,
saint Jules Ier, Pape,
qui combattit beaucoup contre les ariens
pour la défense de la foi catholique :
après avoir fait nombre d'éclatantes actions
et s'être rendu célèbre par sa sainteté,
il mourut en paix. »

(Le Martyrologe Romain au 12 avril)



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Les 5 MYSTÈRES DOULOUREUX

  sur les Ave Maria de Lourdes & Fatima

(première version)

 

(à retrouver ICI dans la Playlist "Intégral Ave Maria")


Interprète : Gilbert Chevalier (aveugle) 
Enregistrement : mars 2016

 





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La RÉSURRECTION de JÉSUS-CHRIST

sur "O filii et filiae"

(2ème version)

 


 

Chant : Jean-Myriam Chevalier
 
Orgue : Gilbert Chevalier (aveugle) 

  Enregistrement : 28 mars 2016




1- Séchez les larmes de vos yeux :
Le Roi de la terre et des cieux
Est ressuscité glorieux !
Alleluia !

R./ Alleluia, Alleluia, Alleluia !

2- Trois saintes, d’un dessein pieux,
Vinrent de baume précieux
Oindre le corps du Roi des Cieux.
Alleluia !

3- Un ange assis, plein de splendeur,
Leur dit : « Consolez votre cœur ;
En Galilée est le Seigneur. »
Alleluia !

4- Deux disciples, dès le matin,
Étant venus dans le jardin
Vers le tombeau du Souverain,
Alleluia !

5- Le disciple aimé chèrement
Court devant Pierre promptement,
Vient le premier au monument.
Alleluia !

6- En ce temps saint et glorieux,
Chantons des chants délicieux,
En bénissant le Roi des Cieux :
Alleluia !

7- Rendons-lui grâces humblement,
Et le prions dévotement
Qu’il nous conduise au firmament.
Alleluia !

8- Jésus triomphe du trépas,
Marchons sans cesse sur ses pas ;
Pourquoi ne le suivons-nous pas ?
Alleluia !

9- Pour célébrer un jour si beau,
Sortons de la nuit du tombeau :
Imitons cet Adam nouveau !
Alleluia !

10- Pour vivre avec ce Roi des rois,
Expirons au pied de sa Croix ;
Que ses exemples soient nos lois !
Alleluia !


Autre Version + autres Cantiques pour le Temps pascal :
 

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LE LUXE

(cantique de St Louis-Marie Grignion de Montfort)

1ère version

1/2

du troisième Intégral :

 

Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :

https://youtu.be/chrE3XE4uys

(exemple de site de téléchargement :  

https://www.onlinevideoconverter.com/fr/video-converter )

 

Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle) 
Enregistrement : 2014


1- Voici le plus fin des pièges
Que le démon ait tendu,
Le plus grand des sortilèges,
Presque partout répandu.

2- Voici la vaine parade
Et la sotte vanité
D’un cerveau creux et malade
Et qui se croit en santé.



LA MALICE DU LUXE :

3- C’est le luxe en ses parures,
En ses habits, ses repas,
En cent autres créatures
Dont on se sert ici-bas.

4- Le luxe est ce qui surpasse
Un entretien modéré
Dont l’homme sage se passe
Et dont le fou s’est paré.

5- Toute la sainte Écriture
Blâme ce dérèglement
Et le Saint-Esprit assure
Qu’il en fera châtiment :

6- Qu’il changera ces délices,
Ces draps fins, ces ornements
En de très rudes cilices,
En de très cruels tourments.

7- Babylone s’est perdue
Dans la pourpre et le fin lin :
Toute infâme en est vêtue
Et fera la même fin !

8- Par cette délicatesse
Le mauvais riche périt :
Il fut par cette mollesse
Condamné du Saint-Esprit.

9- En différentes manières
Tous les saints ont combattu
Cette engeance de vipères,
Ce poison de la vertu.

10- Le luxe est la frénésie
Des gens les plus orgueilleux,
C’est la vraie apostasie
Du baptême et de ses vœux.

11- Dans le luxe on ne peut être
Vrai disciple du Sauveur :
On renonce à ce bon Maître
Pauvre en biens, humble de Cœur.

12- Un chrétien sans ses épines
N’est qu’un membre délicat ;
Sans ses armures divines
Il n’est qu’un lâche soldat.

13- Dans le luxe et l’abondance,
Dans les habits éclatants,
Fantôme de pénitence,
Fantôme de pénitents !

14- Le corps devient une idole
Dès lors qu’il est trop flatté :
En son ornement frivole,
Un encens de vanité !

15- Faire de sa chair pourrie
Son idole et son encens,
Quelle horrible idolâtrie,
Quelle injure au Tout-Puissant !

16- Cette idole abominable
Vient souvent dans les lieux saints
Pour y faire un trône au diable,
Pour accomplir ses desseins.

17- Madame entre : place, place
À son train, à son coussin !
Chacun se range, elle passe
Et tous regardent son train !

18- Voilà l’idole parée
Près d’un autel dédoré :
De tous elle est adorée,
Dieu n’est pas considéré !

19- Tout le monde la regarde,
Le dos au Saint-Sacrement,
Elle-même se mignarde,
Et s’agence incessamment.

20- Cette mondaine insolente
A secoué toutes les lois,
Jusque sur sa chair puante
Elle profane la Croix.

21- Cette abominable impie
Dispute la gloire à Dieu,
Et par son immodestie
Déshonore son saint lieu.

22- Le luxe est un badinage
Dont les enfants sont trompés,
Un ridicule assemblage
De plusieurs morceaux coupés.

23- Tout étant double en malice
Dans ce misérable temps,
Tout est double en artifice
Jusque dans les vêtements.

24- On coupe, on taille, on mélange,
On falsifie, on détruit :
Tous les jours la mode change
Et nous trompe à petit bruit.

25- Une beauté naturelle
A de plus doux agréments
Que n’en a l’artificielle
Avec tous ses ornements.

26- Une propreté modeste
Renferme un charme divin,
Et n’a point cet air funeste
D’un artifice mondain.

27- Préférer le corps à l’âme,
Le temps à l’éternité :
C’est ce que le luxe infâme
Fait par sa malignité !

28- Le luxe a pour sa devise
Le plus fin de tous les maux,
Puisque c’est lui qui déguise
Tous les maux et les défauts.

29- C’est la marque naturelle
D’un pauvre cerveau tout creux,
D’une âme superficielle
Et d’un esprit orgueilleux.

30- Le luxe est des âmes lâches
Qui n’ont rien de vigoureux,
Des âmes pleines d’attaches
Rampantes dans ces bas lieux.

31- Il rend l’âme misérable,
Oisive et froide en tout lieu,
Indigne et même incapable
De grandes choses pour Dieu.

32- Le luxe rend un fidèle
Captif du respect humain,
Captif de la bagatelle,
Captif de l’esprit malin.

33- Il détruit la tempérance
Qui modère les plaisirs,
Il inspire l’abondance
Des plaisirs et des désirs.

34- Le luxe avec ses délices
Chasse la sobriété
Et détruit les sacrifices
De la sainte austérité.

35- Dans ces temps pleins de misères,
De luxe et de vanité,
On ne voit plus de nos pères
La sainte frugalité.

36- Ils avaient l’âme remplie
D’honneur, de simplicité,
D’une sainte économie,
D’une humble médiocrité.

37- Par un secret admirable
Ils joignaient l’utile au beau,
Le solide à l’agréable
Et la gloire à leur tombeau.

38- Leur conduite était unie,
Simple sans déguisement,
Charitable, sans envie,
Ferme, sans entêtement.

39- Sous leurs serges et leurs bures,
Ils cachaient plus de grandeur
Que nous tous sous les parures
De tout ce monde trompeur.

40- Mon Dieu, quelle différence
Entre nos anciens et nous !
Ils n’étaient qu’intelligence,
Nous sommes presque tous fous.

41- Leur unique nécessaire
Était d’être vertueux :
Nous ne recherchons qu’à plaire
À ce monde malheureux !

42- Ils traitaient de babioles
Et de vains amusements
Tant d’équipages frivoles,
Tant de sots raffinements.

43- Leurs parures, leurs richesses
Étaient les vertus du cœur,
Leurs plaisirs et leurs tendresses
Étaient l’amour du Seigneur.

44- Ils regardaient en gens sages
Ces ornements recherchés
Comme de purs badinages
Et des sources de péchés.

45- Un chacun vivait tranquille
Et content en son état,
Suivant le saint Évangile
Et sans luxe et sans débat.

46- Avons-nous leurs caractères ?
Ah ! nous les abandonnons :
Nous n’avons plus leurs manières,
Nous n’avons d’eux que les noms !

47- Maintenant mille chimères,
Mille petits biens trompeurs,
Mille soins non nécessaires,
Font les objets de nos cœurs.

48- Le luxe s’est rendu maître
D’un nombre infini de fous :
Un vain désir de paraître
Les anime et conduit tous.

49- Le luxe a confondu l’homme :
L’artisan fait le marchand,
Le bourgeois, le gentilhomme,
Et le marquis, l’intendant.

50- Un autre en magnificence
Égale un prince du sang :
Peu par une humble prudence
Sont maintenant dans leur rang.

51- On doit donner à la femme
D’un partisan, d’un commis,
Le beau titre de "madame"
Pour être de ses amis.

52- Les moindres femmes se donnent
Des airs de distinction,
Se parent et se couronnent
Avec toute ambition.

53- Elles entassent sur elles
L’or, l’argent et les draps fins,
La soie et riches dentelles,
Les velours et les satins.

54- Selon leur mode bizarre
Et leur cortège orgueilleux,
Rien ne leur semble assez rare,
Assez riche et précieux.

55- Ces mondaines malheureuses
Avec leur soie et fin lin
Sont presque toutes voleuses,
Mais leur larcin est bien fin.

56- Elles feront cent emplettes
Pour se parer à l’envi(e),
Au lieu de payer leurs dettes
Et rendre le bien d’autrui.

57- Pour leurs habits ridicules,
À la mode et d’un haut prix,
Elles volent sans scrupule
Leurs enfants et leurs maris.

58- Leurs désirs, leur soif ardente
D’avoir de nouveaux atours,
A mis leur pudeur en vente
Avec leurs folles amours.

59- Leur luxe et leur arrogance
Ne dit jamais : « C’est assez »,
Mais Dieu tirera vengeance
De ces biens mal dépensés.

60- Quelle injure et quel outrage
Font-elles au Créateur,
En réformant son ouvrage
Par leur appareil trompeur !

61- Elle gâtent la nature
En la voulant déguiser :
Ce n’est plus qu’une imposture,
Qu’un piège à scandaliser !

62- Ô luxe toujours infâme,
Tu souilles la pureté,
Tu brûles le corps et l’âme
Du feu de l’impureté !

63- Ô marque très évidente
D’une femme sans pudeur !
Ô la livrée éclatante
D’une orgueilleuse laideur !

64- Ô le grand piège des diables
Et leur poison amoureux,
Pour faire des cœurs coupables
En les prenant par les yeux !

65- Voilà leur secrète mine
Pour renverser le plus fort,
Voilà leur grande machine
Pour donner à tous la mort !

66- Ils dressent leur batterie
Sur ce visage fardé,
Pour en donner de l’envie
Lorsqu’il sera regardé.

67- Ils ont mis avec finesse
Leur trône en leurs vanités,
Ils ont leur bureau d’adresse
En toutes leurs nudités.

68- De cette gorge trop nue
Ils lancent des traits brûlants
Qui vont au cœur par la vue,
Et font périr mille gens !

69- Pour inspirer davantage
Le poison de leurs amours,
Ils font briller le visage,
Ils donnent l’astre aux atours.

70- Ils parleront par leur bouche,
Ils brilleront dans leurs yeux,
Afin que leur éclat touche
Et fasse des amoureux.







* * *



  L'AMOUR DIVIN

Version 5

(cantique montfortain sur le canon de Pachelbel)

 




Compositeur-interprète : Gilbert Chevalier (aveugle)
Enregistrement : 2011



1- L’autre jour, que je voya­geais
Mon amour pour le Roi des rois
Recevait les plus douces lois 
De cet Amour suprême !
À mon tour je lui répondais :
« Mon amour, je vous aime ! »

2- Je fus tout en feu dans ce jour.
Tout me parlait du saint Amour ;
Toute la campagne à l’entour
Entendait mon langage ;
Nous nous répondions tour à tour :
« Aimons Dieu davantage ! »

3- Les petits oiseaux le chantaient,
Et les ruisseaux le murmuraient ;
La pluie et les vents qui soufflaient
En augmentaient la flamme ;
La terre et les cieux embrasaient
Et mon corps et mon âme.

4- Un jour, je pensais défaillir,
Mon feu venant à s’amortir :
« Amour, sans vous, je vais périr,
Disais-je en défaillance :
Si c’est moi qui vous ai fait fuir,
Pardon de mon offense ! »

5- Je criais le long des coteaux :
« L’avez-vous vu, bois et ruisseaux ?
Cherchez-le moi, petits oiseaux,
En messagers fidèles,
Et venez, pour finir mes maux,
M’en donner des nouvelles. »

6- L’Amour nous comble de bienfaits,
L’amour est doux et plein d’attraits,
L’amour ne finira jamais :
L’amour seul est durable,
Et des biens je le reconnais
Pour le seul véritable.

7- Sans l’Amour, rien ne peut charmer,
L’amour seul peut tout désarmer
Quand on commence à s’enflammer
De la beauté suprême :
Ah ! Seigneur, qu’il est doux d’ai­mer,
Quand c’est vous que l’on aime !

8- Bien souvent je m’écrie : « Au feu,
Au feu du saint Amour de Dieu ! »
Ah ! faut-il que j’aime si peu ! 
C’est mon plus grand martyre,
Amour, venez, et sur le lieu,
Ou venez, ou j’expire.

9- Amour, que n’ai-je mille cœurs,
Pour consacrer à vos ferveurs,
Pour embraser de vos ardeurs
Et pour vous les soumettre !
Je n’en ai qu’un, plein de tiédeur,
Au moins, soyez-en maître.

10- Amour, que de biens en vos feux !
Que de plaisirs délicieux !
Que de mystères merveilleux.
Qu’on ne donne à comprendre
Qu’à ceux qui sont assez heureux
Pour avoir un cœur tendre.

11- Ne vous y trompez pas, dévots,
L’ amour n’ est pas dans le repos :
Il est parmi les grands travaux,
Et parmi les épines :
Les sanglants mépris, les grands maux,
Sont ses sources divines.

12- Quand on aime Dieu purement,
On souffre tout joyeusement.
On reçoit la croix pour paiement,
Pour prix et pour victoire
Et pour joyeux avènement
À la grâce et la gloire.

13- Gagnez son amour, pauvres gens,
Caressez-le, petits enfants ;
Recherchez-le, riches, puissants,
L’amour est magnifique ;
Conquérez-le, grands conquérants,
L’amour est héroïque.

14- Si tu ne brûles, libertin,
Du beau feu de l’Amour divin,
Tu mourras de soif et de faim,
Dans les feux de tes crimes.
Et puis, tu brûleras sans fin
Dans les feux des abîmes.

15- Quoi ! vous me commandez, Seigneur,
De vous aimer de tout mon cœur :
Quel doux plaisir, quel grand honneur
Dans ce seul nécessaire !
Mais aussi quel plus grand malheur
Que de ne le pas faire !

16- Que mon cœur n’est-il l’univers,
Plus grand que la terre et les mers
Et plus profond que les enfers,
pour vous en faire hommage ;
Amour que j’aime et que se sers,
Que j’aime davantage !

17- Ô Mère de l’Amour divin !
Percez mon cœur, brûlez mon sein 
D’une flèche de séraphin,
Qui ne me laisse en vie
Que pour aimer mon Dieu sans fin :
C’est mon unique envie.

18- Amour, amour, embrase-moi,
Je ne fais que languir sans toi :
Comme mon vainqueur et mon roi,
Taille, tranche, extermine,
En tout ce qui s oppose à toi,
Afin que Dieu domine.

 

Fichier PDF des Paroles de ce cantique : 

Toutes les versions chantées :

 

La transverbération du cœur de Sainte Thérèse d'Avila



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Il donne à tous du secours,
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avec Méthode montfortaine"